09 Oct 2006, 21:43
Mais avant de parler de la Turquie , fais attention .
Peu importe qui passe parmis les cités tant que c'est pas un mec de gauche ou des extremes...
Mais j'ai tendance a dire Sarko parce que meme si des fois il depasse un peu les bornes des limites il a le courage de dire ce qu'il pense
09 Oct 2006, 21:44
09 Oct 2006, 21:48
Thorgal a écrit:loursin a écrit:Je ne suis pas un partisant de Dupont-Aignant. J'ai simplement à première vue, le sentiment qu'il est le plus à gauche de la droite dans son discours et ses propositions. Je les encore un peu entendu ce matin sur rmc, il aurait sa place au PS dans la branche sociale démocrate.
il a viré de bord ? j'ai toujours eu l'impression qu'il etait plutot a droite de la droite.
Des exemples ? des citations ? des cas concrets ?
09 Oct 2006, 21:48
loursin a écrit:Thorgal, bin c'est un exemple de sujet sur lequel il partage l'avis de Villiers ou Lepen et non pas de Bayrou ou l'aile centriste du PS... idem pour la constitution, à l'époque (et ne me dis pas qu'il la rejettait pour les memes raisons que l'extreme-gauche)
09 Oct 2006, 21:49
09 Oct 2006, 21:51
09 Oct 2006, 21:55
Thorgal a écrit:loursin a écrit:Thorgal, bin c'est un exemple de sujet sur lequel il partage l'avis de Villiers ou Lepen et non pas de Bayrou ou l'aile centriste du PS... idem pour la constitution, à l'époque (et ne me dis pas qu'il la rejettait pour les memes raisons que l'extreme-gauche)
Si ton seul argument c'est de dire "tiens, ils ont un avis identique sur 1 sujet" pour taxer de suite Dupont Aignant d'extrême droite, tu admettras toi même que c'est très léger comme démonstration...
Au fait Sarkosy aussi est contre l'entrée de la Turquie. On le range direct avec Le pen et De Villiers ?
Toutefois, en janvier 1999, après s'être prononcé contre la ratification du traité d'Amsterdam, il est remplacé dans ses fonctions de secrétaire aux fédérations, et amorce un rapprochement avec le souverainisme, notamment avec Charles Pasqua.
Le 16 mars 1999 (ou le 1er avril, selon les sources), il fonde le club Debout la République, au sein du RPR, et, pour les élections européennes du 13 juin 1999, appelle à voter pour la liste « souverainiste » conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers.
Il quitte alors le RPR, le 15 juin, pour devenir dans la foulée le secrétaire général adjoint du Rassemblement pour la France, nouvelle formation lancée par Charles Pasqua, y étant plus particulièrement chargé des fédérations.
Toutefois, avant la rupture entre Charles Pasqua et Philippe de Villiers il choisit de démissionner du RPF en mai 2000.
S'ensuit une période de rapprochement avec Philippe Séguin (à cette époque candidat à la succession de Jean Tiberi, maire de Paris) puis, à l'automne 2001, une certaine proximité idéologique avec Jean-Pierre Chevènement, alors qualifié de « troisième homme » par certains médias français, dans la perspective de l'élection présidentielle de 2002. Il publie même, avec ce dernier, dans les colonnes du Figaro, le 24 octobre 2001, une tribune libre, « La République est morte, vive la République ! ».
La victoire du président sortant, Jacques Chirac, face à Jean-Marie Le Pen, le 5 mai 2002, le voit revenir dans l'orbite de la majorité présidentielle, puis être réélu député de l'Essonne dès le premier tour, le 9 juin.
Il adhère notamment à l'Union pour un mouvement populaire lors de sa création formelle, et se présente à la présidence, le 17 novembre 2002, face à Alain Juppé, Rachid Kaci, Brigitte Freytag et Mourad Ghazli. Il obtient 14,91 % des suffrages des délégués.
Incarnant toujours un gaullisme à vocation souverainiste et sociale, il semble désormais déterminé à incarner durablement ce courant au sein du parti majoritaire au sein de la droite parlementaire française. En mai 2004, dans la perspective du futur référendum français sur la constitution européenne, il présente une motion intitulée « Pour une autre Europe » lors d'un conseil national de l'UMP, motion qui obtient près de 20 % des voix. Dans la foulée, il se prononce pour les listes animées par Philippe de Villiers pour les élections européennes du 13 juin 2004.
Il se présente à nouveau à la présidence de l'UMP, le 28 novembre 2004, face à Nicolas Sarkozy et Christine Boutin, n'obtenant cette fois que 9,7 % des suffrages.
Il appelle naturellement à voter non lors du référendum du 29 mai 2005, après avoir lancé un « Comité pour le non à la constitution européenne ».
Avec Philippe de Villiers, il est l'un des tenants du NON de droite au référendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen.
09 Oct 2006, 21:59
etienne92200 a écrit:Pour info, dsl pour le HS : une boite cherche du 12 au 25 octobre, des mecs pour conduire des smarts.![]()
(si ça peut aider qqu'un ds la merde et à qui ça peut rendre service)
Fin du HS, me contacter par mp. Avoir le permis depuis 2 ans.
09 Oct 2006, 23:14
09 Oct 2006, 23:15
09 Oct 2006, 23:19
09 Oct 2006, 23:19
09 Oct 2006, 23:25
09 Oct 2006, 23:28
10 Oct 2006, 02:00
loursin a écrit:Thorgal a écrit:loursin a écrit:Thorgal, bin c'est un exemple de sujet sur lequel il partage l'avis de Villiers ou Lepen et non pas de Bayrou ou l'aile centriste du PS... idem pour la constitution, à l'époque (et ne me dis pas qu'il la rejettait pour les memes raisons que l'extreme-gauche)
Si ton seul argument c'est de dire "tiens, ils ont un avis identique sur 1 sujet" pour taxer de suite Dupont Aignant d'extrême droite, tu admettras toi même que c'est très léger comme démonstration...
Au fait Sarkosy aussi est contre l'entrée de la Turquie. On le range direct avec Le pen et De Villiers ?
tu me demandes des exemples, je t'en donne 2. mais je peux continuer à te rappeller son parcours
extrait de sa bio sur wikipédia :Toutefois, en janvier 1999, après s'être prononcé contre la ratification du traité d'Amsterdam, il est remplacé dans ses fonctions de secrétaire aux fédérations, et amorce un rapprochement avec le souverainisme, notamment avec Charles Pasqua.
Le 16 mars 1999 (ou le 1er avril, selon les sources), il fonde le club Debout la République, au sein du RPR, et, pour les élections européennes du 13 juin 1999, appelle à voter pour la liste « souverainiste » conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers.
Il quitte alors le RPR, le 15 juin, pour devenir dans la foulée le secrétaire général adjoint du Rassemblement pour la France, nouvelle formation lancée par Charles Pasqua, y étant plus particulièrement chargé des fédérations.
Toutefois, avant la rupture entre Charles Pasqua et Philippe de Villiers il choisit de démissionner du RPF en mai 2000.
S'ensuit une période de rapprochement avec Philippe Séguin (à cette époque candidat à la succession de Jean Tiberi, maire de Paris) puis, à l'automne 2001, une certaine proximité idéologique avec Jean-Pierre Chevènement, alors qualifié de « troisième homme » par certains médias français, dans la perspective de l'élection présidentielle de 2002. Il publie même, avec ce dernier, dans les colonnes du Figaro, le 24 octobre 2001, une tribune libre, « La République est morte, vive la République ! ».
La victoire du président sortant, Jacques Chirac, face à Jean-Marie Le Pen, le 5 mai 2002, le voit revenir dans l'orbite de la majorité présidentielle, puis être réélu député de l'Essonne dès le premier tour, le 9 juin.
Il adhère notamment à l'Union pour un mouvement populaire lors de sa création formelle, et se présente à la présidence, le 17 novembre 2002, face à Alain Juppé, Rachid Kaci, Brigitte Freytag et Mourad Ghazli. Il obtient 14,91 % des suffrages des délégués.
Incarnant toujours un gaullisme à vocation souverainiste et sociale, il semble désormais déterminé à incarner durablement ce courant au sein du parti majoritaire au sein de la droite parlementaire française. En mai 2004, dans la perspective du futur référendum français sur la constitution européenne, il présente une motion intitulée « Pour une autre Europe » lors d'un conseil national de l'UMP, motion qui obtient près de 20 % des voix. Dans la foulée, il se prononce pour les listes animées par Philippe de Villiers pour les élections européennes du 13 juin 2004.
Il se présente à nouveau à la présidence de l'UMP, le 28 novembre 2004, face à Nicolas Sarkozy et Christine Boutin, n'obtenant cette fois que 9,7 % des suffrages.
Il appelle naturellement à voter non lors du référendum du 29 mai 2005, après avoir lancé un « Comité pour le non à la constitution européenne ».
Avec Philippe de Villiers, il est l'un des tenants du NON de droite au référendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen.
le nom de De Villiers apparait souvent, ils ont souvent été alliés.
tu me demandes des exemples, je t'en donne 2. mais je peux continuer à te rappeller son parcours
tu me demandes des exemples, je t'en donne 2. mais je peux continuer à te rappeller son parcours
10 Oct 2006, 08:46
peezee a écrit:Ouais, sur les banlieues.
Ce qui me gave - et me fout les jetons, accessoirement- c'est que RIEN n'a avancé depuis l'an dernier, et j'entends à peu près exactement les mm discours, les mm mots, la mm incompréhension, les mm frustrations...
Put... ça craint du boudin. Et je crois pas que la Présidentielle qui approche va arranger les choses (ce serait mm plutôt l'inverse, nan?)...
10 Oct 2006, 08:48
etienne92200 a écrit:Bon, je viens d'arriver. Dsl, j'ai pas eu le temps de tout lire .......
Juste un truc qui m'a choqué. Ce n'est pas parce que c'est mon pote, mais d'une manière générale, je ne vois pas pkoi un beur de droite serait taxé de traitre. Le mot est petit, peut-etre à l'image du mec qui a posté cela.
Ensuite, Ideh : il n'est pas le beur qui est invité pour casser du beur.
Voilà un mec qui s'est intégré, s'est battu, s'est retroussé les manches, en a chié, fait du bon boulot, bosse et on vient le casser, car il aurait pas cette fameuse pensée de gauche ....
Peut-etre devrait-il etre sans papiers, de façon illégale sur le territoire, donc en infraction par rapport à la loi pour etre apprécié ....
Peut-etre devrait-il faire du trafic de shit, toucher des allocs, rouler ds une belle bagnole .......
10 Oct 2006, 08:50
loursin a écrit:Je ne suis pas un partisant de Dupont-Aignant. J'ai simplement à première vue, le sentiment qu'il est le plus à gauche de la droite dans son discours et ses propositions. Je les encore un peu entendu ce matin sur rmc, il aurait sa place au PS dans la branche sociale démocrate.
il a viré de bord ? j'ai toujours eu l'impression qu'il etait plutot a droite de la droite.
Et quand tu prétends que Dupont-Aignant est reciste parce qu'il a voté non à la constitution européenne t'es sérieux ou c'est juste une blague ? Shocked
Politiquement, le jeune loup se situe à droite de Philippe Seguin, dont il a été longtemps proche, mais à gauche de Philippe de Villiers.
10 Oct 2006, 10:45
10 Oct 2006, 11:46
Bayrou accuse Sarkozy de mener campagne avec les moyens de l'Etat
PARIS (AP) - Le président de l'UDF François Bayrou accuse le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy de mener une campagne présidentielle avec les moyens de l'Etat, dans un entretien publié mardi dans le quotidien "20 Minutes".
"Tous les jours, on voit une campagne présidentielle menée avec les moyens de l'Etat sans rappel à l'ordre", déplore le patron du parti centriste. "Ce qui me choque, c'est que les moyens du gouvernement sont utilisés sans contrôle dans une action partisane. L'Etat de droit ne devrait pas le permettre".
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