MassaliaLive.com

[Dragan]

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Coupe du monde 2022 : «T’es où ?», Kimpembe chambre Guendouzi, absent de la photo des Bleus

Le joueur de l’OM, formé au PSG, n’a pas posé avec ses coéquipiers qui ont tous rendu hommage à leur premier club.

Était-il seulement en coulisses ? Ou derrière l’objectif, peut-être ? L’absence de Mattéo Guendouzi sur la dernière photo postée par l’équipe de France, dont chaque joueur a posé avec un maillot de son tout premier club dans une mise en scène en forme de clin d’œil pour la formation française, a en tout cas été très remarquée. Jusqu’à Paris, où Presnel Kimpembe n’a pas pu s’empêcher de commenter, sur l’Instagram de l’équipe de France, un chambreur « Mattéo, t’es où ? », deux émojis hilares attachés au texte.

La raison de son absence est toute simple : actuellement joueur de l’Olympique de Marseille, Mattéo Guendouzi est sorti du centre de formation du FC Lorient mais son premier club n’est autre que... le PSG. Il y a joué de ses 6 à ses 15 ans, entre 2005 et 2014, avant de prendre la direction du Morbihan où il sera révélé au grand public.

Alors que les 23 joueurs présents sur la photo, donc sans Guendouzi, Benzema et Lucas Hernandez, ont tous posé avec les maillots de leur petit club du coin où ils ont grandi, profitant de ce moment pour échanger sur leurs expériences du plus jeune âge, voir le Marseillais poser avec le maillot du grand rival aurait sans doute été mal vu. Fidèle à son club, auquel il a maintes fois démontré un grand attachement, Guendouzi a donc convenu, en accord avec la FFF comme l’expliquait RMC Sport, de sécher la photo de classe.

Cela n’a pas empêché de voir grand nombre de clubs de Paris et d’Île-de-France, premier centre de formation de cette Coupe du monde, représentés sur le cliché. 10 des 23 joueurs présents sur la photo portaient ainsi des maillots franciliens : l’AS Bondy pour Kylian Mbappé et William Saliba, le Paris FC pour Ibrahima Konaté, l’Olympique de Neuilly-sur-Seine pour Marcus Thuram, l’US Sénart-Moissy pour Kingsley Coman, l’US Créteil-Lusitanos pour Adrien Rabiot, le FC Villepinte pour Randal Kolo Muani, le JS Villiers-le-Bel pour Axel Disasi, l’ES Petits-Anges pour Alphonse Aréola et l’Espérance Paris 19e pour Youssouf Fofana.

Le Parisien

[Dragan]

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Coupe du monde « Mattéo n’a jamais pris son métier en dilettante »

L’entraîneur du FC Lorient Régis Le Bris évoque la progression de Mattéo Gendouzi (23 ans), le deuxième joueur formé chez les Merlus (après André-Pierre Gignac) à jouer en équipe de France.

Comment avez-vous accueilli la sélection Mattéo Guendouzi ?

Je suis très heureux pour lui, d’abord. C’est un garçon ambitieux, mais qui se donne les moyens de ses ambitions, contrairement à certains jeunes joueurs. Je suis fier pour le FCL et notre formation, qui l’ont accompagné pendant une partie de son chemin (de 2014 à 2018 en U19, puis avec la réserve et l’équipe première).

Il a parfois renvoyé l’image d’un joueur immature, voire dilettante…

Il n’a jamais pris son métier en dilettante. Il a parfois été difficile à canaliser, mais jamais dilettante. Il a toujours beaucoup travaillé. Il a fait des erreurs aussi, comme tout jeune joueur ambitieux. Il a pu être impatient à certains moments. Et quand il est impatient, il le fait savoir. Mais je crois qu’il a beaucoup appris. Il a pris en maturité.

Tout n’a pourtant pas été rose, notamment lors de la saison 2017-18 avec Mickaël Landreau ?

Quand on est confronté à ce type de joueurs très ambitieux, il faut beaucoup de dialogue. Nous deux avons réussi à l’avoir, mais ça a pu être plus difficile avec d’autres, à certains moments. Il faut faire des erreurs et se tromper pour pouvoir progresser.

Êtes-vous surpris de son parcours ?

Pas vraiment. Depuis qu’il est à Marseille, il n’a fait que progresser et prendre du leadership à l’intérieur du groupe, avec deux entraîneurs différents (Jorge Sampaoli et Igor Tudor). Cela montre bien qu’il sait s’adapter à une pression très élevée.

SAS Le Télégramme

[Dragan]

[Dragan]

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Guendouzi au cœur du sujet

Courtisé par Aston Villa, qui n’a toujours pas formulé d’offre à l’OM, le milieu ne semble pas affecté par son avenir. Il a même signé le but de la qualification face à Rennes, hier soir. DE NOTRE ENVOYé SPéCIAL

BAPTISTE CHAUMIER MARSEILLE – Mattéo Guendouzi a du cœur, et il l’a encore montré aux supporters marseillais, au sens propre comme au figuré, hier soir. Le milieu de l’OM a quadrillé le terrain comme à son habitude, de bout en bout du match face à Rennes (1-0). Mais il ne s’est pas contenté de courir, il a aussi été décisif en marquant le but de la qualification en huitièmes de finale avant de venir le fêter au pied du virage nord du Vélodrome, mimant un cœur avec ses doigts. Comme un message.

L’international est au milieu de nombreuses interrogations depuis quelques jours et la révélation dans ces colonnes d’une approche très concrète d’Aston Villa, qui a d’ores et déjà entamé des discussions avec son entourage. Cet intérêt ne s’est toujours pas traduit par une offre ferme à l’OM, où les dirigeants semblent très sereins sur le sujet. Ils n’ont pas besoin de vendre de joueur lors de ce mercato et un départ de Guendouzi n’est pas à l’ordre du jour, à moins d’une proposition qui ne se refuse pas.

À l’aise plus haut

Toutes ces questions, toutes ces hypothèses, ne semblent pas perturber l’ancien Gunner qui a donc été l’un des hommes de la victoire marseillaise, hier soir. Aligné en soutien de Sanchez, comme depuis de nombreuses semaines maintenant, il a été très actif dans la construction du jeu, où il a souvent réclamé le ballon, et à la récupération aussi, malgré une position plus haute que la saison dernière. Mais ce nouveau rôle semble lui convenir puisqu’il lui permet d’être plus près du but adverse et de soigner ses statistiques aussi, un critère essentiel pour les joueurs qui évoluent au milieu de terrain.

Elles sont plutôt correctes dans l’ensemble, jusqu’à présent – 4 buts et 4 passes décisives toutes compétitions confondues –, et elles prouvent aussi que Guendouzi s’est bien adapté à la philosophie de son nouveau coach, Igor Tudor, avec lequel les premières semaines ont été un peu tendues. Mais celui qui était très lié à son prédécesseur, Jorge Sampaoli, a su mettre l’affect de côté, avec l’objectif de la Coupe du monde au Qatar, comme il sait balayer, officiellement en tout cas, toutes ces questions sur son avenir, aujourd’hui. Les supporters marseillais, qui en ont fait l’un de leurs chouchous, retiendront tout de même leur souffle jusqu’aux dernières heures du mercato, cet hiver.

L'Equipe

[Pancho11]

Ils en font un partant alors qu'il y a rien

[Dragan]

Il a fait un énorme match, à son meilleur poste

[jarlandine]

Ce gars est fait pour l' OM, le laisser partir serait une énorme erreur

[peezee]

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... om/1381572

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Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM

Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.


Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)

Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé
etc...

Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseille mis à jour le 19 février 2023 à 00h15

[the big boss]

Je le trouve toujours aussi indispensable perso

[Pancho11]

Ils en savent rien. En cas de ldc perso je le vois bien prolonger

[koni]

Comme d’hab cet article (et cette une) sur Guendouzi, à cet instant de la saison, pendant cette bonne série, n’a aucun sens.

Pour ne pas dire concrètement c’est quoi le but précis.

[jarlandine]

Nous foutre la gerbe

Guendouzi à vie à l' om

[dxd92]

Comme d’hab cet article (et cette une) sur Guendouzi, à cet instant de la saison, pendant cette bonne série, n’a aucun sens.

Pour ne pas dire concrètement c’est quoi le but précis.

C'est Sergueï la merguez en même Temps

[alexduke]

le PQ sur la Une, ils se sont dit que pour faire vendre il fallait foutre un article sur l'OM
Alors on sort un article sur du vent, à coup des fameux "d'aprés un cadre du vestiaire", "d'aprés une source interne", qui permette de faire croire absolument ce que l'on veut pour étayer l'argument que l'on veut mettre en avant pour son petit article polémique qui fera du click ou de la lecture.

Ca me ferait rire que certains utilisent les mêmes outils contre ces "journalistes".

"D'après une source bien informée au sein de la rédaction de l'Equipe, XYZ serait un con, détesté par la plupart de ses collègues et qui serait responsable d'une ambiance délétère et d'une atmosphère de travail pesante."

[Kenshi]

Vous êtes quand même des grands malades, ici aussi depuis plusieurs semaines y'a eu plusieurs messages évoquant le fait que Guendouzi était un candidat au départ l'été prochain, que les sollicitations de cet hiver était plutôt logique et que personne ne serait choqué si on faisait une belle vente sur lui en 2023. Mais là comme c'est l'Equipe, c'est un tissu de mensonge à gerber fait pour perturber le club

L'article complet, pour ceux que ça intéresse :

Spoiler: montrer

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Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM

Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.

Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier

Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

[Dragan]

[Dragan]

Quel impact à son entrée

[Dragan]

Il a perdu son niveau Matteo et ça nous impacte fortement

[gob]

Quand il joue trop bas comme hier soir, il ne fait que des passes vers l’arrière et ne sert à rien.

[Pancho11]

Quand il joue plus haut on dit qu'il est trop haut...

Hier jusqu'à la 80eme il s'est pas livré il a pensé qu'il y en avait pas besoin...