Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 02:43
c'était pas un but de Dernis plutot ?
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 14:12
romano13, si dans le temps additionnel.
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 22:27
C'était pas Costil ?
Bizarre, Puel a pas voulu commenter le match de ses joueurs
Bizarre, Puel a pas voulu commenter le match de ses joueurs
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 22:31
puel est le pire des entraineurs de L1
a chaque fois que je le vois ouvrir la bouche, j'ai envie de lui en coller une
ils se sont bien trouvés avec Aulas.....
a chaque fois que je le vois ouvrir la bouche, j'ai envie de lui en coller une
ils se sont bien trouvés avec Aulas.....
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 22:49
Aulas, je l'ai croisé vendredi.
J'ai commencé à aller vers lui, pour lui parler, y'avait moins de monde à ce moment là, de l'OM ... Et il est parti
J'étais pas agressif, plutôt cool, dans un monde professionnel.
J'ai commencé à aller vers lui, pour lui parler, y'avait moins de monde à ce moment là, de l'OM ... Et il est parti
J'étais pas agressif, plutôt cool, dans un monde professionnel.
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 22:50
ET t'es sur qu'il est parti à cause de l'OM? 
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
18 Oct 2009, 22:50
etienne, ca m'étonne pas
si tu viens lui parler d'autre chose que l'OL, il s'en tape
si tu viens lui parler d'autre chose que l'OL, il s'en tape
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 07:37
Interview de Gaudin au Figaro sur ses relations avec l'OM.
Information
INTERVIEW - À l'orée d'une semaine cruciale, avec un déplacement à Zurich en Ligue des champions et la réception du Paris-SG en Ligue 1, le maire de Marseille évoque l'OM, qui déchaîne les passions dans sa ville.
LE FIGARO. - Que représente l'OM pour Marseille ?
Jean-Claude GAUDIN. - C'est le symbole de l'esprit marseillais. L'OM et le Stade-Vélodrome restent le centre de toutes les passions, de toutes les rencontres, de toutes les fêtes. Le football est un leitmotiv dans les conversations.
Quand on ne parle pas du club, on parle du Stade-Vélodrome et de sa rénovation : une nécessité urgente ?
La ville est en plein développement et souhaite disposer d'un stade à l'image de ses ambitions de métropole euroméditerranéenne. Nous élaborons un projet d'agrandissement et de couverture des installations actuelles dans la perspective de la candidature française à l'Euro 2016. On ne peut imaginer que cette compétition se déroule sans Marseille. En 1995, la municipalité avait refait le stade et améliorer ses accès de façon onéreuse. Le 9 juillet 2009, le conseil municipal a voté la mise en œuvre d'un contrat de partenariat pour la réalisation du projet. Nous avons sélectionné les entreprises le 15 septembre dernier (les groupes Bouygues et Vinci Concessions, NDLR). Le financement sera mixte, public et privé.
Enfant, auriez-vous rêvé de devenir footballeur à l'OM ?
Je n'ai jamais rêvé d'être footballeur ni même président de l'OM, que je suis pourtant devenu de 1995 à 1997 après l'épisode Tapie où le club avait été rétrogradé injustement en 2e division. Après, j'ai laissé la place à l'actionnaire principal Robert Louis-Dreyfus, qui a sorti de sa poche 210 millions d'euros.
Le club constitue un pan de votre vie. Racontez-nous un peu…
C'est surtout mon père, artisan maçon, qui était un passionné de l'OM. Il me l'a fait découvrir. Habitant Mazargues, nous n'étions pas loin du Stade-Vélodrome. Il m'y emmenait quand j'avais 6, 7 et 8 ans. Quant aux déplacements que j'ai vécus comme président, ils ont eu lieu en France, car nous étions en D2. Je me souviens des matches à l'extérieur et de dîners avec les joueurs. Notamment à Valence, chez Pic, un restaurant gastronomique. J'avais cru leur faire plaisir : le menu proposait des chaussons aux truffes et du loup au caviar. Dans mon dos, j'ai entendu un joueur dire : «Putain, j'aurais préféré des spaghettis à l'italienne !» J'en ai ri.
Il le fallait, la période était sombre…
Oui, quand je deviens maire, il n'y a plus d'équipe, plus d'entraîneur, plus de manager, mais 350 millions de francs de dettes et le tribunal dit : «Il faut transformer l'OM en société d'économie mixte présidée par le maire.» Je me retrouve donc pendant deux ans à surveiller les comptes du club, à regarder les contrats des joueurs. Ma fierté, c'est que la justice n'a jamais rien trouvé à redire sur ces deux années-là où l'OM a vécu uniquement des ressources dues aux entrées au stade et à quelques sponsors. De ces temps agités, des joueurs sont devenus des amis : Eric Di Meco, Jean-Philippe Durand, Marcel Dib ou Jean-Christophe Marquet. Puis, des élus voulaient que je mélange politique et sport. Je m'y suis refusé. J'ai vu des présidents de l'OM mêlant les genres comme Marcel Leclerc ou Bernard Tapie, ça n'a pas bien fonctionné.
Donc pas d'interférence sur le domaine sportif ?
Chacun à sa place ! Qu'on laisse l'entraîneur faire ce qu'il doit faire, qu'on ne critique pas les joueurs pour la moindre faute. Quand je vais au stade, en tribune officielle et non en loges, j'entends derrière moi des personnalités critiquer les joueurs, ça me choque, ces personnalités seraient incapables de marquer !
Comment se traduit l'aide de la Ville ?
La Ville, propriétaire du Stade-Vélodrome, de la Commanderie, rebaptisée Robert-Louis-Dreyfus, ainsi que la Bastide où vivent les jeunes joueurs de l'OM, met à disposition ses équipements. Elle offre aussi un peu de publicités, mais aucune subvention depuis la loi Bredin. Pourtant, l'importance de l'OM dans la vie de la cité dépasse la compétition. L'OM est un facteur d'intégration des populations. Quand l'équipe gagne, c'est un esprit de fête, de fraternité et d'espoir. Pour le maire de la deuxième ville de France (840 000 habitants), c'est mieux que le résultat. Même si le succès est un élément de fierté et de stabilité dans la ville. Évidemment, nous ne sommes pas à l'abri d'événements dramatiques.
En cas de crise, que fait le maire ?
Quand tout va bien, on ne s'intéresse pas au maire, quand ça ne va pas, on demande : «Alors, qu'est-ce qu'il fiche ?» Les crises sont souvent suscitées par la presse elle-même. Or, je ne peux pas choisir les joueurs, il faut être du métier. Libéral ? Je sais. Libéro ? J'ignore, ce n'est pas à moi de faire ce choix. J'ai toujours fait confiance aux entraîneurs. Je ne me mêle pas de choses que je ne connais pas. Laissons travailler Didier Deschamps et son directeur sportif, José Anigo.
Et Jean-Claude Dassier, le président ?
Je lui demande surtout d'être un patron rigoureux et peut-être même un peu sévère. Il faut ça dans le Midi !
LE FIGARO. - Que représente l'OM pour Marseille ?
Jean-Claude GAUDIN. - C'est le symbole de l'esprit marseillais. L'OM et le Stade-Vélodrome restent le centre de toutes les passions, de toutes les rencontres, de toutes les fêtes. Le football est un leitmotiv dans les conversations.
Quand on ne parle pas du club, on parle du Stade-Vélodrome et de sa rénovation : une nécessité urgente ?
La ville est en plein développement et souhaite disposer d'un stade à l'image de ses ambitions de métropole euroméditerranéenne. Nous élaborons un projet d'agrandissement et de couverture des installations actuelles dans la perspective de la candidature française à l'Euro 2016. On ne peut imaginer que cette compétition se déroule sans Marseille. En 1995, la municipalité avait refait le stade et améliorer ses accès de façon onéreuse. Le 9 juillet 2009, le conseil municipal a voté la mise en œuvre d'un contrat de partenariat pour la réalisation du projet. Nous avons sélectionné les entreprises le 15 septembre dernier (les groupes Bouygues et Vinci Concessions, NDLR). Le financement sera mixte, public et privé.
Enfant, auriez-vous rêvé de devenir footballeur à l'OM ?
Je n'ai jamais rêvé d'être footballeur ni même président de l'OM, que je suis pourtant devenu de 1995 à 1997 après l'épisode Tapie où le club avait été rétrogradé injustement en 2e division. Après, j'ai laissé la place à l'actionnaire principal Robert Louis-Dreyfus, qui a sorti de sa poche 210 millions d'euros.
Le club constitue un pan de votre vie. Racontez-nous un peu…
C'est surtout mon père, artisan maçon, qui était un passionné de l'OM. Il me l'a fait découvrir. Habitant Mazargues, nous n'étions pas loin du Stade-Vélodrome. Il m'y emmenait quand j'avais 6, 7 et 8 ans. Quant aux déplacements que j'ai vécus comme président, ils ont eu lieu en France, car nous étions en D2. Je me souviens des matches à l'extérieur et de dîners avec les joueurs. Notamment à Valence, chez Pic, un restaurant gastronomique. J'avais cru leur faire plaisir : le menu proposait des chaussons aux truffes et du loup au caviar. Dans mon dos, j'ai entendu un joueur dire : «Putain, j'aurais préféré des spaghettis à l'italienne !» J'en ai ri.
Il le fallait, la période était sombre…
Oui, quand je deviens maire, il n'y a plus d'équipe, plus d'entraîneur, plus de manager, mais 350 millions de francs de dettes et le tribunal dit : «Il faut transformer l'OM en société d'économie mixte présidée par le maire.» Je me retrouve donc pendant deux ans à surveiller les comptes du club, à regarder les contrats des joueurs. Ma fierté, c'est que la justice n'a jamais rien trouvé à redire sur ces deux années-là où l'OM a vécu uniquement des ressources dues aux entrées au stade et à quelques sponsors. De ces temps agités, des joueurs sont devenus des amis : Eric Di Meco, Jean-Philippe Durand, Marcel Dib ou Jean-Christophe Marquet. Puis, des élus voulaient que je mélange politique et sport. Je m'y suis refusé. J'ai vu des présidents de l'OM mêlant les genres comme Marcel Leclerc ou Bernard Tapie, ça n'a pas bien fonctionné.
Donc pas d'interférence sur le domaine sportif ?
Chacun à sa place ! Qu'on laisse l'entraîneur faire ce qu'il doit faire, qu'on ne critique pas les joueurs pour la moindre faute. Quand je vais au stade, en tribune officielle et non en loges, j'entends derrière moi des personnalités critiquer les joueurs, ça me choque, ces personnalités seraient incapables de marquer !
Comment se traduit l'aide de la Ville ?
La Ville, propriétaire du Stade-Vélodrome, de la Commanderie, rebaptisée Robert-Louis-Dreyfus, ainsi que la Bastide où vivent les jeunes joueurs de l'OM, met à disposition ses équipements. Elle offre aussi un peu de publicités, mais aucune subvention depuis la loi Bredin. Pourtant, l'importance de l'OM dans la vie de la cité dépasse la compétition. L'OM est un facteur d'intégration des populations. Quand l'équipe gagne, c'est un esprit de fête, de fraternité et d'espoir. Pour le maire de la deuxième ville de France (840 000 habitants), c'est mieux que le résultat. Même si le succès est un élément de fierté et de stabilité dans la ville. Évidemment, nous ne sommes pas à l'abri d'événements dramatiques.
En cas de crise, que fait le maire ?
Quand tout va bien, on ne s'intéresse pas au maire, quand ça ne va pas, on demande : «Alors, qu'est-ce qu'il fiche ?» Les crises sont souvent suscitées par la presse elle-même. Or, je ne peux pas choisir les joueurs, il faut être du métier. Libéral ? Je sais. Libéro ? J'ignore, ce n'est pas à moi de faire ce choix. J'ai toujours fait confiance aux entraîneurs. Je ne me mêle pas de choses que je ne connais pas. Laissons travailler Didier Deschamps et son directeur sportif, José Anigo.
Et Jean-Claude Dassier, le président ?
Je lui demande surtout d'être un patron rigoureux et peut-être même un peu sévère. Il faut ça dans le Midi !
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 11:47
marseillais74, thanx.
La vieille réflexion de gamin de 12 ans:
La vieille réflexion de gamin de 12 ans:
Information
Donc pas d'interférence sur le domaine sportif ?
Chacun à sa place ! Qu'on laisse l'entraîneur faire ce qu'il doit faire, qu'on ne critique pas les joueurs pour la moindre faute. Quand je vais au stade, en tribune officielle et non en loges, j'entends derrière moi des personnalités critiquer les joueurs, ça me choque, ces personnalités seraient incapables de marquer !
Chacun à sa place ! Qu'on laisse l'entraîneur faire ce qu'il doit faire, qu'on ne critique pas les joueurs pour la moindre faute. Quand je vais au stade, en tribune officielle et non en loges, j'entends derrière moi des personnalités critiquer les joueurs, ça me choque, ces personnalités seraient incapables de marquer !
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 11:54
Dans la vraie vie, Gaudin n'a rien à foutre du ballon, si ? (C'est pas un reproche en soi.)
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 11:55
Il préfère les boules, effectivement
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 11:58
Moi ski m'a
c'est ça:Habitant Mazargues, nous n'étions pas loin du Stade-Vélodrome. Il m'y emmenait quand j'avais 6, 7 et 8 ans.
mon père m'emmenait aussi au Stade à 7-8 ans (on était pas loin non plus, Sainte-Marguerite pour les connoisseurs), et j'ai pécho le virus dès le 1er match. Me souviens comment je le faisais ch*** le paternel jusqu'à skil se résolve à aller voir mm les matches les plus pourraves...
Visiblement le Gaudin avait d'autres préoQppations. Oh well...
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 12:50
peezee a écrit::mrgreen:
Moi ski m'aHabitant Mazargues, nous n'étions pas loin du Stade-Vélodrome. Il m'y emmenait quand j'avais 6, 7 et 8 ans.
mon père m'emmenait aussi au Stade à 7-8 ans (on était pas loin non plus, Sainte-Marguerite pour les connoisseurs), et j'ai pécho le virus dès le 1er match. Me souviens comment je le faisais ch*** le paternel jusqu'à skil se résolve à aller voir mm les matches les plus pourraves...
Visiblement le Gaudin avait d'autres préoQppations. Oh well...
et tu allais donner a bouffer aux canards au parc de la mairie ?
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 12:53
au parc borély 
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 12:56
loursin a écrit:au parc borély
c'est juste a l'oppose de Marseille le Parc Borely et Sainte Margerite
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 12:58
à l'opposé ?
pour moi le parc où on nourrit les canards quand on est minot à marseille c'est borély, après y'en a peut-être d'autres mais bon c'est pas du tout à l'opposé
pour moi le parc où on nourrit les canards quand on est minot à marseille c'est borély, après y'en a peut-être d'autres mais bon c'est pas du tout à l'opposé
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 12:59
c'est pas la porte a cote on va dire
pour moi le parc borely c'est la ou on fait du tandem et de la petite voiture
pour moi le parc borely c'est la ou on fait du tandem et de la petite voiture
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 13:00
oui aussi
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 13:12
En fait, même si je suis très critique sur la relation Gaudin/OM, il faut reconnaitre qu'il n'a pas tort quand il dit ne pas trop vouloir intervenir ou interférer.
Re: [Brèves de foot] ** Le Bar d'OMlive **
19 Oct 2009, 13:17
Betsamee a écrit:c'est juste a l'oppose de Marseille le Parc Borely et Sainte Margerite
Genre l'Aixois de mes deux qui n'a jamais mis les pieds à Marseille.
Powered by phpBB © phpBB Group.
phpBB Mobile by Artodia.