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01 Mar 2010, 21:51
Olympien a écrit:ruby a écrit:fourcroy,
faillot va

un avocat qui sait pas écrire

c'était fait exprès, écrit à la peezee
01 Mar 2010, 22:04
ruby, fake peezee aurait dit
"bean qui fait farter va !"
01 Mar 2010, 23:46
Moon, mon propos n'était pas de mettre en valeur les performances de Nasri en Angleterre, mais juste de dire qu'à Marseille il ne se donnait pas à fond, ce qui explique pourquoi je ne vois ce mec que comme une petite tarlouze @ Nicolin.
01 Mar 2010, 23:47
Magneto a écrit:Rob77, Au rythme où ça va, on n'en prend pas le chemin (de sa sélection)
RD donne une liste de 25 mecs, y'a déjà 6 blessés, et Nasri n'est pas appelé.
A moins d'une fin de saison stratosphérique, il peut regarder les séjours sur les sites de vacances.
C'est assez jouissif
Mais bon, de là à en faire un Meriem, il a encore une petite marge le gonze.
02 Mar 2010, 15:00
Information
Le foot-business est au bord de la crise. Endettés, déficitaires, les clubs peinent à suivre les exigences de leurs joueurs et de leurs agents. Un problème pourtant réglé depuis longtemps outre-Atlantique, dans le basket par exemple, où sportifs comme dirigeants y trouvent leur compte.
Une perte globale de 578 millions d'euros
Le rapport de l'UEFA sur la situation économique des clubs de foot européensL'UEFA vient de faire état de la situation économique catastrophique des clubs européens, en particulier chez les grandes écuries.
On y apprend que les salaires des joueurs ont augmenté de 18,1% en 2008, et que 57 équipes y consacrent plus d'argent qu'ils n'ont de revenus… (Téléchargez le rapport de l'UEFA)
Côté transferts, la palme revient aux clubs anglais et espagnols : entre les sommes dépensées pour l'achat de joueurs et les sommes rapportées par la vente d'autres joueurs, les clubs perdent 385 millions d'euros (sur un marché de 550 millions d'euros pour toute l'Europe).
Au final, le football européen affiche pour la même année une perte globale de 578 millions d'euros et 22% des clubs accusent un déficit supérieur à 20%…
Michel Platini, président de l'UEFA, tente d'ouvrir le débat sur une harmonisation européenne des législations. Véritable enjeu : la réduction de la dette des grands clubs. 650 millions d'euros pour Manchester, 562 pour le Real ou 420 pour l'Inter de Milan…
La surenchère salariale et les transferts exorbitants ont plombé les bilans, avec la bienveillance des banques et des actionnaires, censés assurer leurs arrières. Des clubs qui n'ont pas intérêt à abandonner leur hégémonie sportive et qui font pression pour maintenir le statu quo.
Un système mieux régulé aux Etats-Unis
On pourrait croire que les ligues outre-Atlantique connaissent les mêmes problèmes. Loin de là : la rémunération des joueurs des grandes équipes de basket est extrêmement cadrée. Pourtant c'est, pour les joueurs, le sport d'équipe le plus lucratif du pays.
Le secret réside dans le « salary cap », qui définit la masse salariale maximale à laquelle tous les clubs sont soumis. Chaque dollar de dépassement peut entraîner jusqu'à un dollar d'amende et des restrictions de recrutement.
Détail déterminant : un contrat signé ne peut être rompu. Même en cas de longue blessure ou de transfert, le salaire des joueurs reste immuable jusqu'à la fin de leur engagement. Un bon moyen d'empêcher l'inflation et de maintenir un niveau de jeu relativement homogène.
Les joueurs y sont aussi beaucoup mieux organisés. Tous syndiqués, le « collective bargaining agreement » (ou CBA), sorte de convention collective, est renégocié tous les sept ans avec les clubs et définit le « salary cap », les conditions de transferts ou encore le « Smic » des joueurs. Un salaire minimum qui se chiffre en millions de dollars mais qui, couplé à un plafond de rémunération, empêche les stars de monopoliser tout l'argent disponible.
A tout cela s'ajoute un droit de grève illimitée, dont l'utilisation s'est déjà révélée décisive. Ainsi, en 1999, après un désaccord sur les salaires, la NBA avait démarré avec deux mois de retard, pour finalement céder à toutes les revendications des joueurs.
Une autre conception de la formation
Il serait pourtant impossible d'importer ce système tel quel aux ligues du vieux continent. Les championnats américains sont des « franchises fermées » : il existe une liste fixe des clubs participants et il n'y a pas de système de divisions inférieures. Tout l'inverse du football européen, où la relégation est une tradition et les liens avec le sport amateur plus forts.
La formation n'a elle non plus rien à voir. Les joueurs américains sont formés dans les facs et choisis par les clubs selon un système savant de tours (« drafts ») : les équipes choisissent à tour de rôle des joueurs sortant de l'université.
En Europe, les clubs forment eux-mêmes les joueurs, achetés parfois lorsqu'ils sont à peine adolescents pour des millions d'euros et soumis très vite au monde professionnel et à la compétition de haut niveau. La reconversion des joueurs, une fois leur carrière terminée, est d'autant plus difficile qu'ils arrêtent très tôt leurs études souvent par manque de temps, quand les sportifs américains restent dans le système scolaire jusqu'à parfois 20 ans.
Tout le monde s'accorde pour dire qu'une réforme ne pourra se faire qu'à l'échelon européen. Mais en attendant des positions claires des instances footballistiques ou une véritable action politique, ce sont les supporters qui s'activent.
Les craintes des supporters
Critiquant ouvertement les actionnaires de leurs clubs -comme à Manchester où la famille Glazer, propriétaire du club, envisage de s'en débarrasser pour être tranquille-, ils s'inquiètent des sanctions sportives à l'encontre de leur équipe en cas de problèmes financiers.
En Angleterre, la faillite du club de Southampton lui a coûté une rétrogradation en troisième division. Portsmouth, Valence et la Lazio de Rome seront bientôt dans le même cas, et tout le monde redoute que la chute d'un grand club ait un effet domino dévastateur.
Dans ses plus mauvaises années, le Real Madrid avait pu compter sur le roi d'Espagne pour renflouer ses caisses. Pour les autres…
source, rue89.
Bon, ça vaut ce que ça vaut, ça sent le mec qui connaît pas vraiment le football, mais la comparaison avec le système NBA m'a assez plu je dois dire...
02 Mar 2010, 15:17
je dois dire qu'on bon début serait d'interdire aux clubs de vivre au dessus de leurs moyens
les français et les allemands y arrivent bien, eux
02 Mar 2010, 15:24
Betsamee, le salary cap, on en parle depuis un bout de temps, et je trouve l'idée plus qu'intelligente. Ca en devient honteux parfois.
Le principe des drafts et de la formation universitaire, je trouve ça plutôt bidon, ça enlève toute une partie de monde du football "hors-terrain". Dénicher des talents purs avant tout le monde (bon nous on est mauvais, mais Porto gère très bien ce domaine par exemple), savoir choisir un joueur s'adaptant parfaitement au système de jeu établi par l'entraineur, gérer la taille d'un effectif etc.
Et puis l'obligation de finir son contrat putain! Ca c'est une chose primordiale! Ca eviterai aux clubs de faire des paris trop risqués ou de grandes conneries (arrache, mendoza etc.) tout en leur garantissant la stabilité de leur effectif. Quitte à ce que les joueurs signent pour moins longtemps!
Modifié en dernier par
svinkelsoner le 02 Mar 2010, 18:03, modifié 1 fois.
02 Mar 2010, 15:40
Enfin la NBA c'est bien mais en ce moment la NBA accuse un deficit de 400 millions d'euros. Et la renegociation avec les syndicats de joueurs est pour bientot. sa sent une saison reduite de moitié pour bientot en NBA.
Deja ,obliger les clubs a ne pas vivre au dessus de lerus moyens et ne pas avoir recours aux credits serait deja un tres bon début.
Ensuite proteger la formation des jeunes. Sa sert a quoi de former un tres bon jeune pour le voir partir pour 3 cacahouetes a 17 ans ?
02 Mar 2010, 18:22
Le salary cap c'est une illusion en Europe.
1°) On se baserai sur les salaires espagnols ou anglais pour établir le plafond max, ce qui ne changerai rien pour la France qui serait toujours loin de ces sommes.
2°) On ne pourra pas mettre des salaires minimum trop élevés sinon ce sont les pays comme Chypre ou l'Albanie qui ne pourraient plus payer leurs joueurs.
Ce qu'il faut c'est limité le nombre de joueurs professionnels par club (Manchester City possède 40 joueurs pro, c'est beaucoup trop) et imposer un quota de joueurs "nationaux" par match (mais est-ce légal au niveau de l'UE ?).
02 Mar 2010, 18:31
Non mais le Salary Cap, le truc qui change rien du tout au systeme
Le salary cap, ça repose sur un systeme d'amendes pour ceux qui les clubs qui depassent ce "cap" et les obliger à ne pas le dépasser or les clubs les plus riches le dépassent allègrement et vu qu'ils sont plus riches, peuvent se permettre de payer les amendes imposées par la fédération. En conclusion, les seuls qui gagneraient quelque chose avec ce systeme, c'est l'UEFA
02 Mar 2010, 19:21
negrOM, sauf que si tu depasses le salary cap, tu peut plus recruter d'autres joueurs. juste augmenter les tiens;
02 Mar 2010, 19:22
negrOM, Haha, tu peux quand même pas penser ça.
Si l'UEFA mettait en place ce genre de système type "salary cap", c'est certainement pas pour s'indexer sur les salaires les plus élevés! Et c'est d'ailleurs bien pour cette raison qu'elle ne le fait pas! Manque de courage.
Si j'adhère à ce principe de "fourchette de salaire", c'est clairement pour changer les choses, diminuer le foot-business!
02 Mar 2010, 19:51
j'espère qu'il va rentrer en jeu
02 Mar 2010, 19:58
Kaveen a écrit:negrOM, sauf que si tu depasses le salary cap, tu peut plus recruter d'autres joueurs. juste augmenter les tiens;
Une fois que t'as les meilleurs joueurs tu t'en fous non? Au pire tu te fais une saison blanche tout les 4-5ans pour renouveler ton effectif comme ça se passe en NFL, NHL ou NBA
svinkelsoner a écrit:negrOM, Haha, tu peux quand même pas penser ça.
Si l'UEFA mettait en place ce genre de système type "salary cap", c'est certainement pas pour s'indexer sur les salaires les plus élevés! Et c'est d'ailleurs bien pour cette raison qu'elle ne le fait pas! Manque de courage.
Si j'adhère à ce principe de "fourchette de salaire", c'est clairement pour changer les choses, diminuer le foot-business!
C'est pas ce que je pense, c'est ce qui se passe aux Etats-Unis ce que je te raconte là.
Diminuer le foot business en se servant de ce qui se fait dans le pays où le capitalisme et le plus avancé et où les championnats de sports sont les plus tournés vers le business, excuses-moi mais je trouve pas ça super convaicant.
édit: sans compter que si on mettait le Salary Cap en place, on serait obliger de jouer dans une ligue Européenne géante avec la même dotation en droits TV et toussa puisque la base de ce concept est l'égalité entre les concurrents
02 Mar 2010, 20:47
negrOM, le salary cap, en brut ou en net.
car avec les taxes, impots, prelevements etc.. tu payes pas la meme choses pour un joueur selon qu'il joue en espagne et en france
Aucunes equipes n'a les meilleurs joueurs. Le real a bien acheter benzema alors qu'ils avaient deja higuain et raul + VNR
02 Mar 2010, 20:55
Qui a le 7 en EdF ?
02 Mar 2010, 21:17
Un "salary cap" dans le foot européen aurait pour but selon l'UEFA de limiter la surenchère sur les salaires que pratiques des clubs comme le Real, et ainsi de faire baisser lea part salaire dan le budget des clubs et donc de pérenniser l'économie des clubs.
Si l'effet au niveau des clubs français serait peut être limité, je trouve que cela pourrait niveler le niveau des tops teams car un joueur se verrait ainsi proposer des salaires équivalents par plusieurs clubs, le sportif aurait alors plus le poids au moment des choix (dans le sens ou les joueurs seraient moins tentés de signer pour l'oseille et de faire banquette).
Mais il me semble plus opportun d'unifier la fiscalité des joueurs de foot au niveau européen (mais cela est-il possible?), de protéger la formation et d'imposer un "quota" de joueurs nationaux...
02 Mar 2010, 21:21
Phenix-le-tacticien, Malouda ??
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