[Ligue 1 2023 - 2024] la Ligue détalant

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar alexduke » 29 Juin 2023, 23:22

Pancho11 a écrit:Calendrier jouable en plein tour préliminaire c'est bien

Mais septembre octobre ça va être tendu


Mouai. Nous on sera normalement plus prêt que d'autre, et encore frais, donc affronter un gros en tout début n'aurait pas été mal.
La, on va se les frapper alors qu'eux auront pris leurs marques, au milieu des matchs de poules de Ldc, après un petit marathon de 2 mois de compet
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar spy » 30 Juin 2023, 08:06

alexduke, on peut toujours se plaindre de tout mais enchaîner des équipes comme Monaco, rennes ou Lens en plein milieu de matchs hyper importants, pas sûr que tu te trouves gagnant.
Ceci dit, je pense surtout que le calendrier ne changera rien à notre qualif en ldc.
L’année dernière j’étais prétentieux, mais cette année je suis parfait
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar alexduke » 30 Juin 2023, 11:03

de toute façon, a part pour certains cas très rares où il est évident à l'avance que le calendrier va être avantageux (je pense par exemple aux équipes qui devaient affronter le PQ en janvier au retour de coupe du monde, dont Lens et Rennes qui en ont profité), un bon ou mauvais calendrier va dépendre de la forme quand arrive le match.
Par ex, on a la chance de jouer Nice qui était à la dérive en tout début de saison, mais la malchance de les jouer au retour juste après l'arrivé de Pep Digard, ou ils ne se sentaient plus pisser sur 3 ou 4 matchs. On les aurait joué 1 mois avant ou après, ça aurait été une autre histoire.

Le truc important, ce sont déjà ces 4 journées de moins, quasi aucune journée un mercredi, ce qui réduira quand meme ces enchainements à 2 matchs par semaines pendants plusieurs semaines
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar Jester » 30 Juin 2023, 15:02

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar Jester » 30 Juin 2023, 15:25

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar Dragan » 08 Juil 2023, 10:45

Information
franck haise : “Je n’aurais jamais pensé en arriver là”

Méconnu du grand public il y a trois ans, Franck Haise a été élu entraîneur français de la saison 2022-2023. Son fils et France Football l’attendaient avec le trophée, le 29 juin dernier, au premier jour d’une nouvelle saison lensoise marquée par la Ligue des champions.

“Maël, votre fils de 21 ans (joueur de Compiègne, N3), qui vous remet le trophée de l’entraîneur français de la saison : vous ne l’attendiez pas, celle-là… Ah, ça, non ! Mon fils et mon épouse sont vraiment doués pour garder un secret. Je m’étais interrogé, justement, parce que ce trophée arrivait d’habitude en début d’année pour couronner non pas une saison sportive mais une année civile. Donc j’ai fini par penser que France Football avait arrêté les nominations d’entraîneurs. Quand je suis arrivé (dans l’amphithéâtre de La Gaillette, à 17 heures), j’ai vu Maël, je me suis dit : « Qu’est-ce qu’il fait là, mon fils ? C’est une belle surprise. Mais je l’avais vu ce midi à la maison ! » (Éclat de rire.)

« Meilleur entraîneur français », quels sentiments vous parcourent en entendant ces mots ? Ça signifie beaucoup d’être avec tous ces noms prestigieux. (Il observe le palmarès au dos du trophée). Il y a juste à lire les noms, c’est exceptionnel. Il y a peu de choses qui me rendent vraiment fier, mais que des entraîneurs de cette qualité votent pour moi, c’est très touchant. Ça fait vingt ans que j’ai débuté ce métier. Donc, c’est un chemin. Je n’aurais évidemment jamais pensé en arriver là. C’est une très belle récompense. C’est la reconnaissance aussi d’un club. Un entraîneur, sans un club, son staff et ses joueurs, ne peut pas prétendre à grand-chose.

Vous terminez loin devant le sélectionneur national Didier Deschamps. L’effet des 84 points en Championnat, du capital sympathie et du jeu de Lens depuis quelques saisons ? Un peu de tout ça. D’abord, il faut des résultats, et les entraîneurs qui votent le savent très bien. On en a eu. Même si je tiens à rappeler qu’on a fini deuxièmes. Il y a eu un champion, le Paris-Saint-Germain, avec Christophe Galtier comme entraîneur. Mais bon, Christophe en avait déjà eu tellement (deux trophées FF, en 2019 et 2021), il pouvait en laisser un peu aux autres ! Ensuite, l’évolution du jeu sur les trois ans. On s’inscrit dans la régularité, avec un budget qui n’a jamais été le plus gros de L1 et qui ne le sera jamais. Et puis, je veux y croire, il y a aussi un capital sympathie pour le club, par rapport à ce qu’on essaie de véhiculer. Tout ça, mêlé, donne ce résultat. Mais, en effet, finir devant Didier Deschamps, qui a mené l’équipe de France une fois encore en finale de la Coupe du monde, ce n’est pas rien.

Au vu de votre saison, est-ce vraiment une surprise ? Si les entraîneurs ont voté pour moi, c’est qu’il y a du travail derrière. Il y a un alignement entre la direction et les gens qui bossent pour le club. C’est une vraie chance parce que c’est un métier difficile. Vous le voyez bien, ça saute de partout. On est passés à moins de douze mois d’espérance de vie en moyenne pour un coach dans un même club.

Vous aurez l’honneur d’être juré dans un an. Pour qui auriez-vous voté cette saison ? Je vais être assez franc, il y a trois entraîneurs pour lesquels j’ai voté pour les trophées UNFP. Dans l’ordre alphabétique : Pascal Gastien, Régis Le Bris et Philippe Montanier. Mais c’est un choix loin d’être simple.

Trois entraîneurs qui ont des principes et arrivent à faire bien jouer leur équipe. Oui, ils n’ont pas les plus gros moyens et ont quand même fait des choses assez exceptionnelles.

Lors de notre rencontre dans votre cave à vin préférée, il y a un an, vous nous disiez que la condition pour boire quelques bouteilles avec les joueurs était de se qualifier pour l’Europe. Combien en avez-vous descendu ? Je n’ai pas compté ! On a fait un séjour à Marbella (en Espagne) pour célébrer notre saison. Il y a eu un peu de vin, de champagne, de gin. Ça m’a rappelé ma jeunesse.

À quel moment de la saison vous êtes-vous dit que vous pouviez faire quelque chose de grand ? On a quand même été assez vite réguliers, on a connu une seule défaite lors de la phase aller (à Lille, 0-1, le 9 octobre). Mais il y a peut-être un point de bascule : la victoire contre le PSG, 3-1 à Bollaert (le 1er janvier). Quand on est capables de faire ça, beaucoup de choses deviennent possibles. Mais, à ce moment-là, je ne pensais pas finir deuxième. On avait totalisé cinq points de plus entre la première et la deuxième saison en L1, de 57 à 62. Donc, je me disais qu’avec 67 points, on aurait déjà de grandes chances d’atteindre l’Europe.

Vous sentiez votre équipe capable de durer ? Oui. On a eu un trou d’air (1 victoire, 4 nuls et 2 défaites entre fin janvier et début mars), mais, dans les stats et dans le jeu, sur le plan athlétique, sur le nombre d’occasions créées et concédées, on était toujours à un très bon niveau. Et puis, on était calmes. J’avais des meneurs, des cadres pour insuffler l’idée qu’on se devait d’être ambitieux. Avec la confiance qui a grandi dans ce groupe et cette solidité qui était affirmée – 29 buts encaissés en Championnat –, on parvient à terminer deuxièmes avec 84 points. Les joueurs étaient assez fous pour y penser, peut-être plus tôt que moi.

La Coupe du monde en milieu de saison a-t-elle été un avantage pour régénérer les corps et tenir la distance physiquement, cette fois-ci ? Oui, je l’ai pris comme une opportunité de pouvoir couper. Trois de nos joueurs ont disputé la Coupe du monde (Openda, Frankowski, Abdul Samed ; Medina était réserviste), mais ils ne sont pas allés au bout et on a pu les récupérer assez tôt. Ça nous a aussi permis d’avoir du temps pour intégrer Julien Le Cardinal, Adrien Thomasson et Angelo Fulgini.

Lens était plus craint, cette saison. À quel point la manière d’aborder les rencontres a-t-elle été différente ? Il y a deux grands points sur lesquels on devait être meilleurs. Le premier, en situation d’attaque placée face à des blocs plus bas, plus denses. Il fallait trouver des solutions dans notre animation offensive collective. On a beaucoup travaillé pour que les joueurs connaissent les déplacements, anticipent, bougent en fonction de ce que le jeu demande. Et le second aspect, c’est la solidité. On avait toujours la volonté, sur certaines séquences, de récupérer le ballon haut. Mais on savait aussi défendre à partir d’un bloc plus médian, qui ouvre moins d’espaces dans notre dos et qui en libère dans le dos adverse.

Est-il possible de faire mieux que ces 84 points ? Le club, né en 1906, n’avait jamais atteint un tel total. J’espère que Lens fera mieux un jour, mais il faut saisir la réalité : on a fait quelque chose d’exceptionnel. Pourra-t-on refaire des choses exceptionnelles sur la durée ? Je ne sais pas. Mais des choses sortant un peu de l’ordinaire, je le pense.

Avez-vous conscience d’être entré dans le cœur des supporters ? Oui, dans le cœur des gens de la région et des amoureux du club. Mais Lens est entré dans mon cœur aussi. Quoi qu’il se passe dans le futur. Peut-être que je serai encore là dans dix ans, même si je commencerai à vieillir. (Il a 52 ans.) J’ai demandé à Maël de me dire d’arrêter le jour où je commence à fatiguer, si je n’ai pas la lucidité, qu’il me dise : « Papa, allez, retraite en Bretagne. » J’ai beaucoup de témoignages d’affection. Ça touche. Oui, c’est important pour un club d’avoir des résultats. Mais, le plus important, c’est de créer des émotions, et ces échanges qu’on a avec les gens. Il y a des matches disputés depuis trois ans, des moments de vie du club dont ils se rappelleront très longtemps. On n’aura pas été champions, on oubliera les 84 points, mais les gens se souviendront de ce dernier match à l’extérieur avec 38 000 personnes devant les écrans géants à Bollaert. On a eu un problème d’avion au retour (d’Auxerre, 3-1), on espérait arriver à 1 h 30. On a débarqué au stade à 3 h 15 avec encore plus de 15 000 personnes présentes. On ne peut pas l’oublier. Les joueurs non plus, même ceux qui vont partir.

Et dire que si Florian Sotoca n’avait pas inscrit son penalty face à Orléans en L2 le 9 mars 2020 (1-0), vous n’en seriez peut-être pas là… Certains appellent ça le destin. Moi, je pense que quand on sème de bonnes choses – et ils sont nombreux à le faire au RC Lens –, il y a quand même plus de chances qu’on récolte de belles choses.

Vous êtes maintenant un Ch’ti d’adoption, vous, le Rouennais, passé par la Mayenne, Beauvais, Rennes ou Lorient. Je suis adopté. Ma famille et moi nous sommes toujours totalement intégrés dans les clubs ou les régions dans lesquelles nous étions. Ici, il n’y a peut-être pas tout, ça manque un peu de luminosité l’hiver, l’automne aussi parfois, mais il y a tellement d’autres choses. On a déjà fait plein de belles rencontres et pas uniquement au club. Vivre ça et vivre Bollaert, c’est quand même une sacrée expérience.

Vous aviez émis des doutes quant à votre avenir lors des trophées UNFP en déclarant que vous espériez être encore sur le banc à la reprise. Ces doutes ont-ils été levés ? Je n’ai pas dit que je partirais (il est sous contrat jusqu’en 2027), mais il était légitime que je me pose avec ma direction. Je voulais être sûr qu’on continue à être alignés. Je n’ai pas demandé de garanties, ce n’était pas un délire de dire « il faut garder lui et lui », je suis aussi manager général, donc je sais qu’il y a certaines choses qu’on ne peut pas faire. Il était question de la façon dont on voit les prochaines années. Pendant ces jours à Marbella, on n’a pas fait que boire des coups. On a eu une longue discussion avec le président (Joseph) Oughourlian (aussi propriétaire), Arnaud Pouille (directeur général) et Greg Thil (directeur sportif). Même s’il y a eu des sollicitations, ma décision intime a été rapidement prise. J’avais envie de vivre la saison prochaine ici et pas uniquement pour la Ligue des champions.

Comptiez-vous sur des moyens financiers supérieurs pour jouer l’Europe ? Je savais que l’objectif n’était pas de faire des recrutements à 30, 40 ou 50 millions d’euros. Le club avance, progresse. Mais je n’oublie pas qu’il y a six ans, on vivait un plan de sauvegarde de l’emploi. Des gens ont perdu leur job. Et ce n’est pas vieux. Donc, il faut grandir, centimètre par centimètre. C’est comme dans la vie, on ne prend pas 15 centimètres d’un coup.

Vous avez vu partir Florent Ghisolfi (directeur sportif), puis Laurent Bessière (directeur de la performance) à Nice en cours de saison. Là, votre capitaine Seko Fofana est proche d’Al-Nassr en Arabie saoudite, Loïs Openda tenté par Leipzig. Craignez-vous une saignée ? D’abord, il y a des opportunités. Quand ça fonctionne, c’est normal, et chacun fait ses choix. Ce serait facile de dire que je les comprends ou ne les comprends pas. C’est tellement personnel. Le plus important, pour les joueurs qui partent, c’est qu’ils aient tout donné pour le club.

Au fond, si vous continuez, est-ce parce que vous êtes certain de ne pas avoir atteint un plafond de verre ? Je suis certain de ne pas avoir joué la Ligue des champions avec Lens, déjà. Je n’ai jamais joué ni entraîné à ce niveau-là. Et, si j’avais le sentiment qu’on avait atteint notre plafond de verre, j’aurais certainement pris une autre décision, cet été. Il y a encore beaucoup de choses sur lesquelles on peut progresser : dans la structuration du club, la formation, chez les féminines, peut-être l’achat de Bollaert…

Le PSG, l’OM, Nice et Monaco cherchaient un entraîneur. Impossible de ne pas être sollicité après une telle saison, non ? Essayez de ne pas nous faire une réponse de Normand… Je vais vous faire une réponse très simple. Ce sera celle d’un Normand, d’un Breton d’adoption et de Lensois de cœur, comme vous voulez. Il y a eu des sollicitations, ce n’est pas la première année. Mais, après avoir échangé avec ma direction, j’ai décidé de continuer à vivre l’aventure, dans un club, un endroit où je me sens bien.

Avez-vous pu couper et vous reposer ? J’ai eu trois semaines de vacances, elles sont passées à une vitesse folle, J’étais au téléphone tous les jours, avec Arnaud (Pouille) Greg (Thil), Sarah (M’Barek), manageuse des féminines, mes adjoints aussi, avec Benoît (Delaval), le responsable de la perf. J’ai envoyé des messages aux internationaux et leur ai octroyé deux jours de plus pour la reprise (le 12 juillet).

Quel est votre degré d’implication dans le recrutement ? La plupart du temps, je n’impulse pas. Une cellule est là pour ça. Et j’ai entièrement confiance en Samir Chamma (coordinateur technique), en Greg Thil. Je le dis souvent aux futures recrues : quand un joueur vient à Lens, ce n’est pas le choix du président, du directeur sportif ou de l’entraîneur. C’est le choix d’un club.

Ne vous manque-t-il pas un joueur avec une grosse expérience pour la C1 ? (Il réfléchit longuement.) Peut-être qu’on en fera un !

À quel point vous renseignez-vous sur la personnalité d’un joueur et sa capacité à se fondre dans votre collectif ? On cherche à ce que les joueurs viennent avec leur personnalité. Je ne cherche pas à ce qu’ils se fondent (Il insiste) dans le collectif.Je veux que ce qu’ils sont vraiment, comme joueur mais aussi en tant qu’homme, fasse grandir le collectif. La partie importante de mon job, c’est d’arriver à ce que tout ça alimente des résultats, un projet de jeu, à travers des attitudes. Que ça renforce leur ambition, leur folie, leur côté cartésien parfois. Pour que l’équipe, donc le club, soient plus forts. Ce n’est pas facile, un sportif de très haut niveau est aussi un ego de très haut niveau.

Y a-t-il des profils potentiellement problématiques  que vous écartez ? On cherche des gens travailleurs, respectueux, engagés. Ambitieux, mais aussi humbles. Car cela ressemble aux valeurs du club, aux valeurs que je défends.

Vous avez longtemps été formateur. En quoi vos expériences en amateur ont forgé l’entraîneur que vous êtes ? Je n’en serais pas là s’il n’y avait pas eu tous ces moments-là, et notamment ma première expérience au Stade Mayennais (en CFA2, l’équivalent du N3). Je sors de ma carrière pro et j’arrive dans un club de 400 licenciés où l’idée est de jouer trois-quatre saisons (il a 32 ans) pour, ensuite, reprendre l’équipe. Le coach part, l’adjoint dirige la première séance. Au bout de dix minutes, je prends les exercices. Et à la fin, il me dit : « Franck, il vaut mieux que ce soit toi le coach. » Ça part comme ça ! J’ai fait trois ans là-bas, je me suis éclaté. C’était hyper formateur. Il fallait connaître tous les licenciés, convaincre, sans moyens, des joueurs, des éducateurs de venir, avoir des résultats, mettre une politique sportive en place, faire les réunions de direction, aller chercher des sponsors… La dernière année, j’essayais même de trouver des arbitres. Pour le coup, j’avais atteint le plafond de verre. Le club est redescendu un an après mon départ et n’est jamais remonté, mais il vit toujours (en R1) !

On a du mal à trouver des gens qui disent du mal de vous. Est-ce normal ? En creusant, vous en trouverez. Je préfère quand même être apprécié… Je suis comme je suis. Quand j’ai quelque chose à dire, tout le monde sait que je suis capable d’en parler. Et donc, certaines personnes peuvent aussi moins m’apprécier.

Est-ce facile de travailler avec vous ? Je dirais oui, 95 % du temps.

Et les 5 % restants ? Je veux que ça aille plus vite, je peux être un peu impulsif. Je me suis soigné, mais, parfois, il y a des réminiscences.

Comment vivez-vous le succès actuel ? Je n’ai pas peur de l’après. Il y aura un moment où nous n’aurons pas les mêmes résultats. Je ne dis pas que je suis prêt, parce qu’il faut le vivre pour le savoir. Mais je sais comment ça fonctionne.

Imaginons : en décembre, vous n’avez marqué qu’un point sur 18 en C1, vous êtes treizième de Ligue 1 et menacé… Je continuerai à donner le meilleur de moi-même. J’essaierai de faire tout ce qui dépend de moi. Mais je sais qu’un jour je vais me faire virer. Ça fait partie du jeu.

On ne vous a pas trop chicoté ? En tout cas, vous m’avez posé beaucoup de questions !” h T. T. et E. Bj.

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar Voj » 08 Juil 2023, 18:41

Je propose comme titre "Retrouver le titre". La blague est un peu récursive mais bon..
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar Ryo Saeba » 08 Juil 2023, 19:36

Avec une petite pointe de culture made in fr3 c’est pas sorcier

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar peezee » 08 Juil 2023, 20:40

Voj, on a trouvé le titre : Titre à retrouver. :mrgreen:


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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A TROUVER

Messagepar dxd92 » 09 Juil 2023, 01:09

En espérant que Marcel innove"
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Dragan » 10 Juil 2023, 08:20

Information
MONTPELLIER: "SI C’EST ÇA L’AVENIR DE LA FRANCE…", RÉAGIT NICOLLIN À LA POLÉMIQUE SUR LE PROJET DU NOUVEAU STADE

Le projet de construction du futur stade de Montpellier à Pérols piétine, divise et commence à sérieusement agacer son président Laurent Nicollin. Outre des problèmes financiers, le patron du MHSC ne comprend pas l’opposition des représentants et militants écologistes.

Semaine agitée pour Laurent Nicollin. Si le président de Montpellier doit gérer la reprise de son club, le mercato, il a aussi sur son bureau le bouillant dossier du futur stade à Pérols. Et ça n’avance pas. Le projet a été récemment freiné il y a quelques jours après qu’un des partenaires, la banque des Territoires, a annoncé qu’elle ne voulait plus investir la somme prévue initialement.

"Si le permis de construire n'est pas déposé d'ici la fin de l'année, le projet sera abandonné, a regretté le président montpelliérain lundi pour la reprise de l’entraînement. On restera à la Mosson, il faudra réhabiliter le stade, le mettre aux normes avec l'argent des contribuables."

"Des gens prêts à faire dépenser des millions aux contribuables"

Une perspective qui réjouit en revanche certains politiques, notamment du côté des écologistes. Vendredi, Coralie Mantion, membre du parti Europe Ecologie Les Verts et vice-présidente de la Métropole, a publié "Laurent Nicollin, restez Pailladin", une lettre ouverte au président du MHSC dans laquelle elle s’oppose au projet du nouveau stade. "Ne gaspillons pas le potentiel du Stade de la Mosson. Au lieu de partir et de construire un nouveau stade, je vous propose de lui donner une nouvelle dimension, d’y développer de nouvelles activités, concerts, festivals pendant la pause estivale. Faisons vivre notre stade toute l’année", écrit-elle après avoir rappelé que le budget pour une rénovation avait été évalué à 50 millions d’euros… en 2014.

Ce courrier n’a pas convaincu Laurent Nicollin. Soutenu par une partie des supporters qui ont lancé une pétition pour défendre son projet, le président a répondu à l’élue écologiste. Sans langue de bois : "Ce que ça m'inspire, c'est que ce sont des gens prêts à faire dépenser des millions aux contribuables", déplore Laurent Nicollin, cité par Midi-Libre. Et le patron montpelliérain de poursuivre : "Si c'est ça l'avenir de la France, que les contribuables payent, que ce soit toujours l'Etat providence alors qu'il y a des projets privés... C'est dommage quand c'est nous qui payons."


https://rmcsport.bfmtv.com/football/lig ... 90205.html
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Lo Provençau » 10 Juil 2023, 08:38

En vrai ca paraît absurde de construire un stade de 25000 place en périphérie de Montpellier en plus de ceux existant déjà.
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar prtdr » 10 Juil 2023, 11:20

Ça l'est effectivement. Hormis pour penser à son intérêt particulier, je vois pas trop l'intérêt.

Mettre le MHSC hors Paillade parce que ca craint pour certains, je pense pas que ce club puisse attirer vraiment une autre cible de spectateurs (à l'exemple de Nice potentiellement après le Ray). Ça paraît pas en tout cas.
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Dragan » 26 Juil 2023, 19:35

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Dragan » 26 Juil 2023, 19:36

Le 9 qui va remplacer Balogun au Vélodrome pour la 1ère journée de Ligue 1 du côté de Reims :

Information
Oumar Diakité, la recrue percutante du Stade de Reims

Arrivé du RB Salzbourg (D1 autrichienne), le jeune attaquant ivoirien Oumar Diakité (19 ans) a déjà frappé quatre fois pour ses trois premiers matches de préparation avec le Stade de Reims.



Cet été, le Stade de Reims a perdu son artilleur américain Folarin Balogun, prêté la saison dernière sans option d'achat par Arsenal. Pour pallier le départ de son meilleur buteur (21 buts en L1), le club champenois a recruté précocement deux attaquants : l'Ivoirien Oumar Diakité (19 ans), acheté 3,5 M€ au RB Salzbourg (D1 autrichienne), et Amine Salama (23 ans), en provenance d'Angers pour près de 4 M€.

« L'idée est d'instaurer une concurrence saine à ce poste avec des profils différents pouvant être complémentaires », indique le directeur général Mathieu Lacour. Et l'entraîneur Will Still cible encore un attaquant axial, « dans un monde idéal, un profil avec un peu d'expérience, de savoir-faire et de vice par moments. Mais s'il y a possibilité de trouver un jeune mec très bon comme "Balo" (Balogun) qui nous avait rejoints en toute fin de mercato la saison dernière, je prends », sourit le technicien anglo-belge.

Alors que les Rémois, en stage dans le sud de l'Espagne, disputeront leur quatrième match de préparation, ce mercredi soir contre Getafe (15e de Liga la saison dernière), Diakité (1,82 m), qui figurait sur les tablettes de deux clubs belges (Anderlecht et Union Saint-Gilloise), a déjà tout d'une bonne pioche.

Prêté la saison dernière en D2 autrichienne au FC Liefering, un club satellite du RB Salzbourg, il y avait inscrit 9 buts et délivré 4 passes décisives en 23 matches de Championnat. Depuis son arrivée en Champagne, l'attaquant ivoirien formé à Abidjan, à l'ASEC Mimosas, a déjà claqué quatre buts en un peu plus de trois périodes disputées avec les Rouge et Blanc. « Son intégration se passe bien, souligne le capitaine Yunis Abdelhamid. Il se sent à l'aise aux entraînements et dans les matches, où il arrive à marquer à chaque fois. Pour un attaquant, c'est parfait, pour nous aussi. Qu'il continue comme ça. »

Buteur pour ses deux premières apparitions dans le huis clos du centre de vie Raymond-Kopa face aux clubs belges d'Eupen (2-3, sur penalty) et de Charleroi (3-1, lancé en profondeur), le nouveau numéro 22, lié à Reims jusqu'en 2028, a été adopté samedi par le gros millier de supporters rémois venus assister à Épernay au succès de leurs protégés contre Amiens (L2, 3-2).

Après un face-à-face perdu face à Régis Gurtner (23e), il a inscrit un doublé : de la tête sur un centre déposé par Thibault De Smet (37e), puis en transformant un penalty qu'il avait lui-même provoqué (43e). Avant de sortir à la pause.

« Oumar arrive en pleine forme et en pleine bourre. Quatre buts en trois matches, c'est bien », note Still, qui, outre l'efficacité de sa recrue, apprécie aussi « son impact dans le jeu. C'est un tout autre profil que "Balo", avec plus de puissance et de réactivité. C'est une machine physique, la force incarnée. C'est un tronc d'arbre, il va droit au but. » L'OM, qui recevra Reims à la reprise, est prévenu.


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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Dragan » 29 Juil 2023, 11:13

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Foot - L1 - DNCG; Mickeler : «Autour de 300M€ de pertes» la saison dernière

Jean-Marc Mickeler, le président de la DNCG, révèle le déficit des clubs de Ligue 1 pour la saison dernière. Et répond fermement à John Textor, le propriétaire de l'OL, qui a mis en cause son institution. À l'issue des auditions de fin de saison, Jean-Marc Mickeler, le patron de la DNCG (Direction nationale du contrôle de gestion), dresse le tableau financier de l'élite du football français. En progrès, la Ligue 1 a néanmoins encore perdu environ 300 millions d'euros en 2022-2023, contre 581 millions la saison précédente. Mickeler (qui dirige également la branche Audit et Assurance au niveau mondial chez Deloitte) en profite au passage pour répliquer aux attaques de John Textor, le propriétaire américain de l'OL, qui a été prévenu, à de nombreuses reprises, des conditions dans lesquelles garantir les 60 millions d'euros demandés par la DNCG.« Au vu des dernières auditions faites par la DNCG, quel est le bilan financier des clubs de Ligue 1 ?

On est dans le prolongement de la saison précédente. Les revenus continuent à progresser avec 2,3 milliards d'euros hors trading (vente de joueurs). Le sponsoring, la billetterie, le merchandising, tout progresse, à l'exception des droits télé européens (des clubs disputant les coupes d'Europe), en baisse au vu des performances sportives réalisées. On a aussi une stabilisation des charges (3,2 milliards d'euros). En 2021-2022, on a un déficit d'exploitation estimé de l'ordre de 900 millions d'euros, avant transferts. Il devrait être de 750 millions d'euros la saison prochaine.lire aussiLa LFP souhaite un allongement à 5 ans pour l'exploitation des droits TVAu 30 juin 2022, la perte nette pour la Ligue 1 était de 581 millions d'euros. À quel niveau doit-on s'attendre pour les comptes clôturés au 30 juin dernier ? La Ligue 1 va perdre autour de 300 millions d'euros. On a environ 650 millions d'euros de cessions de joueurs (qui permettent de réduire les 900 millions d'euros de pertes d'exploitation). Mais on a un endettement important, avec des frais financiers pour les clubs de 45 millions d'euros. C'est l'un des éléments d'inquiétude, car ce montant sera de 80 millions d'euros la saison prochaine.Cette perte un peu moins importante est due aux transferts ?Oui. La plus-value sur les transferts était de 380 millions en 2021-2022. Là, elle est de plus de 650 millions d'euros.Mais cela appauvrit les effectifs de Ligue 1...Ce n'est pas en effet ce que l'on souhaite stratégiquement. On a encore une dépendance trop importante à la vente de joueurs pour équilibrer les comptes. Le deuxième point d'attention est que presque tous les actionnaires ont fait ce que l'on attendait d'eux. Les pertes sont compensées par des augmentations de capital ou des apports en compte courant.L'un d'entre eux, l'OL, ne l'a pas fait selon les normes du football français et connaît un encadrement de sa masse salariale et de ses indemnités de mutation. John Textor, le propriétaire du club lyonnais, explique que la DNCG n'a rien compris et n'a cessé de lui mettre des bâtons dans les roues. D'abord, je tiens à dire que si le budget avait été présenté par Jean-Michel Aulas (l'ancien président de l'OL), la mesure aurait été la même. La DNCG essaie de nouer des relations de confiance avec tous les présidents, sans exception, pour comprendre la stratégie des clubs, pour alerter et éviter d'avoir à prendre des mesures. J'ai eu l'occasion d'échanger à de nombreuses reprises avec John Textor pour répondre à ses questions et expliciter clairement le courrier que j'ai adressé à tous les clubs début avril. Les attentes vis-à-vis de l'OL étaient claires. Les réponses apportées le jour de l'audition (le 4 juillet) n'étaient pas en ligne avec ces attentes. La commission a donc pris des mesures qu'elle aurait prises vis-à-vis de n'importe quel autre club.lire aussiLes drôles de promesses de Jean-Michel Aulas à la DNCGL'OL devait fournir une garantie de 60 millions d'euros. Elle n'a pas été apportée dans les conditions prévues ?Pour respecter les demandes, l'OL devait avoir sur le compte de la SASP (société anonyme à objet sportif) 60 millions d'euros apportés en compte courant d'actionnaire. Cela n'avait pas été fait le jour de l'audition. Je conclus de la décision d'appel que cela n'avait pas été fait non plus à cette occasion-là (le 18 juillet). Quand on demande à un club de mettre de l'argent en compte courant, il faut qu'il soit immédiatement disponible pour le management afin d'honorer les échéances de trésorerie. La direction générale doit pouvoir initier un virement sans demander une autorisation particulière. Les garanties apportées par John Textor ne rentraient pas dans cette définition-là.L'OL sous-entend que la DNCG a été plus conciliante dans le passé avec Jean-Michel Aulas.C'est absolument faux. Les 18 membres sont totalement indépendants. Et les décisions se prennent à l'unanimité.L'OL laisse aussi entendre qu'Aulas aurait fait pression sur la DNCG pour pénaliser Textor.C'est du pur fantasme. Personne ne fait pression sur la DNCG.Comment la DNCG a apprécié la réaction de John Textor, qui a violemment critiqué le fonctionnement du football français ?L'une des missions de la DNCG est de porter une appréciation sur les projets de reprise de clubs. Nous rencontrons tous les investisseurs avant qu'ils signent. Nous expliquons le fonctionnement institutionnel du football en France, les attentes de la DNCG... Lorsque nous avons rencontré John Textor, nous avions dès le départ attiré son attention sur le fait que son projet reposait notamment sur une qualification européenne et qu'en cas de non-qualification, un apport complémentaire en fonds propres allait s'imposer. Cet élément était connu de lui au moment de l'acquisition. Il connaissait les règles du jeu.lire aussiDNCG : Lyon était sous la menace d'une rétrogradation en Ligue 2À la lumière de ce qui s'est passé à Sochaux, la DNCG ne doit-elle pas être encore plus vigilante sur les repreneurs de clubs ? La DNCG n'a pas le pouvoir d'empêcher la reprise d'un club par un investisseur. Elle a vocation à préparer l'acquéreur à la nécessité de suivre un certain nombre de fondamentaux sous peine de pouvoir être entravé par des mesures. La loi ne prévoit pas une capacité de s'opposer à un projet de reprise. La DNCG émet un avis, charge ensuite au vendeur et à l'acquéreur de prendre leurs responsabilités. Pour Sochaux, ce qui se passe quatre ou cinq ans après notre avis est difficile à appréhender.L'appel d'offres des droits de la L1 est lancé le 12 septembre. Est-il vital pour la santé financière des clubs français ? Oui, bien sûr. Même si d'autres revenus progressent, les recettes télévisées restent très importantes. Avoir autour du milliard d'euros (droits domestiques et internationaux) par an est un élément fondamental pour beaucoup de clubs.

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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Max216 » 29 Juil 2023, 11:35

Tout dépend de ce qu'on veut pour le titre du sujet, quel objectif, un simple jeu de mot, destiné à notre club ou à l'ensemble des équipes de Ligue 1, c'est pas très clair. Coté jeu de mots, y en a des tonnes.

Avec le mercato intéressant à date et en attendant quelques renforts complémentaires à la sauce Pablo (même si rien à voir avec le Qatar), je voudrais qu'on vise enfin la gagne de la Ligue 1 cette saison malgré le Qatar et ses milliards, l'objectif du podium n'est plus satisfaisant, désormais il faut viser le Gral en France !

Et donc je propose un titre très simple en rapport avec notre ambition du type "Opération Reconquête".
"Tout champion de la démocratie qui défend des principes sans pouvoir, n'a aucune chance de faire une différence dans la vie des opprimés"@ C.Rice - 30/09/2005.
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Batigoalgk » 29 Juil 2023, 12:39

trop zemmourien :shock:
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Jester » 29 Juil 2023, 12:41

Clair, no way :lol:
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Re: [Ligue 1 2023 - 2024] TITRE A RETROUVER

Messagepar Batigoalgk » 29 Juil 2023, 14:03

vu que c'est la "ligue des talents" mais qu'ils se barrent tous en AS, je propose "la ligue des détalant" :mrgreen:
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