il préparerait, selon nos informations, la biographie de robert louis dreyfus, propriétaire d'un club de foot dans le sud de la france, et accessoirement fondateur d'un courant de pensée en marketing auquel se réfère le brave gustave.
en guise de préface, une simple phrase voulue par dreyfus et empruntait à alberto moravia:
"pour gagner de l'argent, il faut un don, mais pour le dépenser, il faut une culture".
gustave se jura d'en comprendre le sens afin de pouvoir regarder un match de foot l'esprit apaisé
