MassaliaLive.com

[Confetize]

il n'empêche c'est énorme 20 patates

Une aussi bonne nouvelle que son arrivée ici

[Magneto]

On l'a vendu 20? C'est quoi cette vanne?

En tout cas j'espère qu'il ira à la CDM.

[Koenigs Sbire]

20ME: transfert + salaire sur les 4 ans de contrat ama.

[peezee]

Ouais fin le salaire de Cissé c'est pas l'OM qui l'encaisse hein...

Nan c'est de conneries de comptable grec.

[Koenigs Sbire]

peezee, le coût global de Cissé pour le Pana est de 20 ME, s'il va au bout de son contrat.

[marcos011]

8 M € de Transfert + 3 M € annuel de salaire sur 4 ans .

[peezee]

Ouais nan mais j'avais capté, c'est juste la tournure de phrase qui prêtait à confuse.

[Dragan]

[Dragan]

[The Flankeur]

voila, ca j'aime, faire revenir des anciens a des postes autres que chauffeur de tribunes.
et puis moi Cisse je l'ai toujours kiffe, depuis toujours avant Marseille, a Marseille et après Marseille

je crois que c’était Gaby qui avait partage une interview de lui ou il racontait sa relation a Pape Diouf et sa signature après sa blessure avec la France...

bienvenue chez toi Djibril

[boodream]

Je trouve son passage ici sous-estimé. Ca continue à sicer Gignac alors que je le trouve 10 fois plus attachant. A Auxerre, il était fabuleux. Mexès aussi, d'ailleurs, complètement kiffant.

[the big boss]

Le truc qui fait que son passage ici est sous estimé , c’est qu’avec son statut , tout le monde s’attendait à ce qu’il marche sur la L1 en négligeant la difficulté de revenir après ses blessures , surtout avec son style de jeu

Au final il fait un passage très correct , mais assez loin de son statut présumé à son arrivé

[Dragan]

Information

Djibril Cissé du ballon rond aux platines de DJ Tcheba

Un DJ n’est pas là pour se faire plaisir, mais pour faire danser et chanter son public.

Ne l’appelez plus Djibril Cissé, mais Tcheba. Après avoir mis le feu aux pelouses grâce à ses buts, l’ancien footballeur international aux 41 sélections en équipe de France enflamme aujourd’hui les pistes de danse des discothèques en s’installant aux platines. Samedi soir, il était à Angoulême, à la discothèque Le Duplex où il s’est produit.

«Je mixe depuis que j’ai 14ans, par passion de la musique»

, dit-il dans la foulée d’un set d’échauffement d’une vingtaine de minutes, sitôt descendu du train, tout de noir vêtu dans une tenue siglée «Tcheba». Une reconversion qui mène aujourd’hui Tcheba -

«Le guerrier

» - à courir les discothèques et les festivals. L’exigence que s’impose aujourd’hui Djibril Cissé est la même que lorsqu’il foulait les pelouses, claquant les buts pour Auxerre, l’OM ou Liverpool, comme il fait aujourd’hui claquer les décibels.

«Là, tu n’es pas onze sur le terrain, tu es seul face au public. Aucun droit à l’erreur», lâche-t-il.

Son inspiration?

«J’aime tout ce qui est house electro, l’afro house, mais il faut aussi tenir compte de l’émergence de la musique urbaine pour répondre à l’attente des gens,répond-il.

Un DJ n’est pas là pour se faire plaisir, mais pour faire danser et chanter.»

Un pari tenu pendant plus de trois heures, samedi soir !

« Notre plus grosse soirée de l’année! », jure Alexis Bouyer, le responsable du Duplex.

Djibril Cissé est passé très naturellement du monde du football pro à celui du mix et des DJ. Photo Julie Desbois

La Charente Libre

[peezee]

L'aurait dû s’appeler DJ Ibril.

[superolive]

Parait que c'est bien ce qu'il fait d'ailleurs.
En parlant de çà mes potes des Eurockeennes de Belfort le font jouer le 24/09

[Dragan]

Information

Lidl veut frapper fort avec Djibril Cissé; Le géant de la grande distribution s'associe à l'ancien international pour lancer une ligne de prêt-à-porter tendance disponible à partir de demain

Jouer à l'OM, devenir le meilleur buteur du championnat de France, gagner la Ligue des champions, porter le maillot bleu frappé du coq... Djibril Cissé a réalisé une grande partie de ses rêves d'enfance. L'Arlésien va une nouvelle fois au bout de ses envies en lançant une collaboration de vêtements inédite. La star du football s'associe en effet au géant de la grande distribution Lidl pour sortir une collection de prêt-à-porter. Sobrement nommée LidlxDjibril, elle propose une dizaine de références, du survêtement en polaire à la paire de sneakers, et sera disponible demain dans les quelque 1 500 magasins de l'enseigne.

Une collaboration qui n'est pas tout à fait née par hasard. "Je suis un grand passionné de mode et de baskets en particulier, explique Djibril Cissé. Quand Lidl a sorti ses sneakers, je les avais contactés pour récupérer une paire. Le produit était très cool, avait fait un petit buzz et je l'avais mis en avant sur Instagram. Ce que le grand patron de Lidl avait souligné lors d'une interview à la télé. Quand je l'ai contacté pour le remercier, on a commencé à parler de cette enseigne que ma famille a pas mal fréquentée quand j'étais plus jeune... Et l'idée de travailler ensemble est arrivée presque naturellement."

Après des apparitions comme simple égérie de la marque, l'histoire continue la volonté d'une collaboration plus poussée et d'une ligne de vêtements, co-créée avec les équipes de Lidl et l'ancien olympien. "Quand je suis arrivé sur le projet, ils avaient déjà pas mal avancé, reconnaît l'international tricolore. Mais j'ai pu ajouter ma sauce, en choisissant certains coloris, en modifiant la place d'un logo ou en poussant pour qu'on fasse certains articles, comme les bananes par exemple. Ça donne une collection vraiment cohérente. Quelque chose que je peux porter tous les jours et qui est vraiment dans l'air du temps."

De la paire de chaussettes au caleçon, du bob au bonnet, en passant par le survêtement en polaire ou à la paire de baskets, la ligne LidlxDjibril propose 8 références, dans les couleurs iconiques de l'enseigne (rouge, jaune et bleu) ou dans un coloris crème très tendance.

Le tout pour des prix compris entre 1,99€ (pour les chaussettes) et 14,33€ (pour le sweat en polaire ou les sneakers). "Beaucoup de gens savent que je suis un passionné de mode. Mais cela ne veut pas forcément dire mettre des mille et des cents pour s'habiller, argue le gamin de Barriol. Certains me demandent si ce n'est pas risqué de m'associer à Lidl et si je n'ai pas peur d'abîmer mon image... Mais je n'ai jamais eu peur d'être moi-même. Cette marque fait partie de mon enfance et la création de cette ligne, ça a du sens pour moi."

Survet' en polaire et cake aux fruits

Une approche partagée par l'état-major de l'enseigne allemande. "Depuis 2012, on a un peu changé de modèle et on est sorti du hard discount. On propose des produits plus tendance qui contribuent à rajeunir l'image de la marque, confie Michel Biero, directeur exécutif achats et marketing chez Lidl France. La collaboration avec Djibril Cissé s'inscrit dans cette lignée. Mais cela ne veut pas dire collaborer avec n'importe qui. Et quand je discute avec Djibril et qui me parle du cake aux fruits Lidl qu'il mangeait quand il était petit, je me dis qu'on a une histoire à raconter ensemble."

Une histoire dont la collection de demain pourrait ne pas être le point final. "On sent un vrai engouement autour de la collection et si ça se confirme dans les ventes, on pourrait réitérer l'expérience", conclut Djibril Cissé. Même vision chez les équipes de Lidl qui décrivent l'ancien numéro neuf des Bleus comme "une véritable machine à idées".

La Provence

[jarlandine]

Si ça peut inciter des gamins à réclamer la gamme Lidl Cissé pour aller en cours

[Dragan]

Information

DJIBRIL CISSÉ; "Je voulais fouler la même pelouse que Papin"

Racontez-nous le jour où vous avez signé à l'OM.

Ce jour-là, je suis encore en béquilles (à l'été 2006 après une nouvelle fracture tibia-péroné lors de France-Chine avant la coupe du monde, Ndlr). Ça se passe à La Commanderie. Je signe et je fais ma conférence de presse. Ce qui était spécial, c'est que je suis venu et je suis reparti pendant quatre ou cinq mois (il a rejoué en décembre 2006, à l'occasion d'un OM-Monaco). J'étais blessé, en rééducation. J'ai le souvenir d'être hyper content et satisfait de réaliser un rêve de gosse. Je voulais fouler la même pelouse que Jean-Pierre Papin, porter ce numéro 9 et marquer au Vélodrome. Une carrière réussie, ça passait par là.

Votre meilleur souvenir à l'OM ?

Il y en a eu tellement. Un but contre le PSG à Marseille (1-1, en février 2007). C'est un rêve de gosse aussi. On connaît la rivalité entre l'OM et Paris. C'était assez spécial de marquer et de battre Paris aussi (il y a notamment eu une victoire au Vélodrome la saison suivante). Encore aujourd'hui, c'est une fierté de pouvoir dire que j'ai marqué contre le PSG. Il y a plein de trucs (dans la tête). Je me dis que c'est bien d'avoir marqué mais aussi qu'il reste du temps. Après le match, tu réalises ce que tu as fait, que tu entres dans l'histoire de l'OM et dans le coeur des gens. Tu réalises quand tu vas faire tes courses, à l'entraînement, le match d'après... Les gens se comportent autrement avec toi. C'est là que tu vois que c'est un match spécial et que tu as fait quelque chose d'assez important pour l'équipe.

Votre pire souvenir à l'OM ?

La période où ça n'allait pas trop (au printemps 2007). Quand le public te prend en grippe, ce n'est jamais cool. Il y a eu des insultes, ma mère qui ne voulait plus venir au stade parce que ça lui faisait mal. En même temps, c'est mal me connaître parce qu'en général, je suis beaucoup plus fort quand je suis en bas. Ça m'a réveillé et j'ai décidé que ça allait durer quelque temps, que je n'allais pas leur laisser la chance d'aller plus loin et de faire un peu plus de mal à mes proches. Moi, ça ne me touchait pas trop. On est avant la demi-finale de coupe de France contre Nantes (3-0, le 18 avril 2007). J'étais remplaçant, j'entre et je marque (à la 76e minute). C'est là que tout se débloque. Même ce match-là, je crois qu'il y a des sifflets quand je rentre. C'est mon tempérament : quand ça va, je suis fort, et quand ça ne va pas, je suis encore plus fort.

Le coéquipier à l'OM qui a vous a le plus impressionné ?

Celui dont on parlait le moins parce qu'il était calme, Micka Pagis. Techniquement, il était très très doué ! Il était efficace devant le but. J'ai rarement vu un joueur aussi technique que lui ! On avait un jeu complémentaire. Il était technique, j'aimais bien la profondeur, on s'entendait bien.

Le joueur qui vous a le plus déçu ?

Non, je n'ai jamais été dans cette optique-là. Si un joueur n'est pas à son maximum, c'est qu'il y a une raison : il ne s'adapte pas au club ou c'est une période compliquée pour lui. Il y a toujours une raison.

Le joueur le plus drôle ?

On avait un bon groupe ! Beaucoup de déconneurs, Franck (Ribéry), Samir (Nasri), Mamad' (Niang), moi... Le groupe vivait bien.

Le joueur le plus méchant sur le terrain ?

Ju Rodriguez, c'était pas mal ! En entraînement et en match, il se donnait tout le temps à fond. Et il ne fallait pas le chercher.

Le joueur le plus fêtard ?

On s'entendait bien, on faisait souvent des restos ensemble, je les invitais de temps en temps à la maison, mais il n'y avait pas tant de fêtes que ça. J'étais souvent avec Franck, Mamad', Samir, Lorik (Cana). C'était un peu ça. Mais il n'y avait pas de clans. On s'entendait tous bien dans le groupe, après tu as plus d'affinités avec certains qu'avec d'autres. Mais je le redis, on avait vraiment un bon groupe.

Le ou les joueurs qui sont devenus des amis ?

Mamad', Samir... Cédric Carrasso, je le connaissais de quand on était petits. (Gaël) Givet est l'un de mes meilleurs amis dans le football, on a joué ensemble à Arles à 7 ans. Bolo Zenden (avec lequel il a joué à Liverpool), j'ai beaucoup participé à sa venue. C'est vraiment un mec que j'adore. Il est super intelligent, avec une carrière de fou ! Il est super gentil. J'étais content d'avoir participé à sa venue.

Un joueur que vous avez perdu de vue et avec qui vous aimeriez renouer le contact ?

Wilson Oruma. Je n'ai plus de nouvelles. C'était un bon gars, on rigolait bien.

La plus grosse embrouille ?

Le coach Gerets avec Karim Ziani à Nantes pour le match de coupe de France qu'on perd contre Carquefou (en 2008). Ça a chauffé un peu à la mi-temps, mais ce sont des choses qui arrivent, c'est rentré dans l'ordre. Tu perds contre une équipe qui est normalement inférieure à toi. La preuve que non, ils nous ont tapés ! Les esprits s'échauffent, ça se brouille un peu...

Le joueur de l'OM qui vous ressemble le plus aujourd'hui ?

Aubame (Pierre-Emerick Aubameyang) peut-être. On a les mêmes qualités. On aime bien aller droit au but.

L'ambiance la plus folle que vous ayez connue au Vélodrome ?

Paris. Quand on gagne 2-1 (en 2007-2008), c'est pas mal.

Votre match le plus abouti ?

Contre Caen (6-1, en janvier 2008). Je mets un triplé. C'est compliqué de faire mieux que ça en tant qu'attaquant.

Est-ce que vous vous êtes déjà demandé ce que vous faisiez là ?

Non. Il y a eu des moments où j'étais déçu et énervé du comportement des supporters. Mais de là à se demander ce que je faisais là et à vouloir partir, non.

L'entraîneur que vous avez le plus apprécié à l'OM ?

Je n'en ai pas eu beaucoup, je n'en ai eu que deux (Albert Emon puis Éric Gerets). Ce sont deux différents. Quand je suis arrivé, Albert m'a aidé à me mettre en place. Et Gerets, il y a eu cette rigueur, à la fois offensive et défensive, qui a fait que j'ai dû travailler sur d'autres points. Franchement, les deux. J'ai eu des bons moments et j'ai progressé avec les deux.

Le dirigeant qui vous a le plus marqué à l'OM ?

Pape Diouf, sans hésitation. Le binôme avec José (Anigo). Quand ça allait tu savais, quand ça n'allait pas tu savais aussi. Ce sont des mecs droits, qui disent ce qu'ils ont à dire et, en général, ça se passe bien avec des gens comme ça. Pape, paix à son âme, a vraiment tenu parole. On s'est mis d'accord avant que je me blesse. Il y a eu son appel et son message, en me disant que j'étais un enfant de Marseille, de l'OM et qu'il n'y avait rien qui changeait. Ce message-là, c'est à jamais. C'est quelqu'un de très fort.

La Provence