info medicales!

Si ça se confirme c'est énorme comme info

'tend, on a pas encore les effets secondaires, faudra attendre que ces cobayes fassent des exams dans quelques semaines/mois/années pour savoir si c'est vraiment sans effets secondaires.

Attends, on a pas encore les effets secondaires, faudra attendre que ces cobayes fassent des exams dans quelques semaines/mois/années pour savoir si c'est vraiment sans effets secondaires.

Bah, s'ils meurent d'autre chose, ça leur aura au moins changé les idées.

Tout à fait. Puis ça laisse planer des doutes qui mettent du piquant aux journées et aux nuits...

Et puis, l'Afrique c'est parfait pour tester un nouveau produit.
Qui plus est avec l'assentiment de tout le monde ...

C'est aussi parfait pour balancer une souche attendre de voir sa progression et comment réagit le corps humains, il n'y a pas mieux pour tester une arme bactériologique.
On parle de la non prolifération des armes nucléaires mais pour moi cela fait longtemps que les gouvernements n'envisagent plus leurs usages et sont passé à des armes qui tuent tout en laissant les infrastructures.
Et vu le progrès que l'on a fait dans le domaine de la virologie et la biologie moléculaire ces 20 dernières années, on a du se faire plaisir pour faire des belles merdes en labo.
La première apparition d'ébola c'est 1976, et durant ces dernières années les cas étaient sporadique et vu la durée de vie dans l'air de ce virus je n'arrive pas à comprendre l'étendu de la dernière épidémie, il y a beaucoup de foyer infectieux.

Et c'est aussi une nouvelle souche...

C'est aussi parfait pour balancer une souche attendre de voir sa progression et comment réagit le corps humains, il n'y a pas mieux pour tester une arme bactériologique.

C'est aussi le point de vue d'un "conspirationniste" connu.

L'ennui c'est que ça fait les mêmes effets que les armes radioactives... ça fini par toucher aussi l'envoyeur.

C'est aussi parfait pour balancer une souche attendre de voir sa progression et comment réagit le corps humains, il n'y a pas mieux pour tester une arme bactériologique.

C'est aussi le point de vue d'un "conspirationniste" connu.

Et j'ai un avis similaire sur le SIDA...

Oui c'est pour cela que tu utilises des virus spéciaux qui se transmettent par les fluides et qui sont peu actifs dans l'air pour limiter la contagion.
Les pays touchés ont des infrastructures médicales inexistantes par rapport aux pays occidentaux.
Tu peux plus facilement contrôlées la progression de l'épidémie chez nous on est plus formatés, dès que les gens ont un pets de travers ils finissent à l’hôpital publique, l'impact sera moindre dans un pays structurés mais dans des pays du genre de l'est cela pourrait faire un bon carnage.

koni, c'était l'avis du chercheur avec qui j'ai bossé à l'institut Alfred Fournier qui faisait du séquençage du virus pour voir les différentes mutations.

Oui je n'y connais absolument rien, et j'avoue ne pas avoir fait quelconque recherches liées à ma curiosité (ce que je finirai par faire comme d'habitude )

Mais quand je vois la mutation du virus, et son "explosion" dans les années 70-80 (tiens, dans la même période que la première apparition d'ebola ?)... Je doute que ça soit le fruit d'un "phénomène naturel".

koni, pour le HIV, il n'a pas explosé dans les années 80, on a juste réussi à le repérer dans les années 80. Il y avait déjà des morts avant, mais ils étaient enregistrés comme des cancers foudroyants, ou d'autres maladies dont meurent les gens en état de sida déclaré. En fait, l'historiographie du vih a permis d'identifier des cas avant la seconde guerre mondiale. Mais comme la circulation des personnes étaient moins importante, le virus s'étendait moins. Seuls des cas de marins (voir de leur famille ou de la communauté gay de leur ville) ont été trouvés. Le virus s'est étendu énormément dans les années 70 avec l'explosion des voyages aériens. D'ailleurs, le patient considéré comme le patient zéro aux US était un steward gay, qui a diffusé la souche dont il était porteur à travers tous les US.

Ah d'accord, d'où son premier nom ? Si je ne dis pas de bêtises, avant de s'appeler SIDA il s'appelait "Cancer du gay", ou un dérivé dans ce genre là.

koni, cancer gay avant qu'on identifie le HIV, les médecins ne connaissaient pas les rétrovirus, donc ils ne savaient pas à quoi ils avaient affaire, juste que ça touchait surtout une communauté particulière (d'ailleurs, avant l'identification du rétrovirus, les médecins s'étaient quand même aperçu d'un mode de transmission par relations sexuelles, et donc, ils appelaient les gays à éviter les rapports anaux, ces derniers se sont encore plus lâchés, voyant dans les recommandations des médecins de l'homophobie...).

koni, cancer gay avant qu'on identifie le HIV, les médecins ne connaissaient pas les rétrovirus, donc ils ne savaient pas à quoi ils avaient affaire, juste que ça touchait surtout une communauté particulière (d'ailleurs, avant l'identification du rétrovirus, les médecins s'étaient quand même aperçu d'un mode de transmission par relations sexuelles, et donc, ils appelaient les gays à éviter les rapports anaux, ces derniers se sont encore plus lâchés, voyant dans les recommandations des médecins de l'homophobie...).

Il y a encore des théoriciens qui disent que le lien VIH - SIDA est faux. Je vous laisse utiliser Google mais des gens très rationnels autour de moi et ayant une formation médicale croit en cette théorie.

Je n'ai pas d'avis sur la question car je suis totalement incompétent et je suis toujours très méfiant de toutes les théories semblant conspirationnistes.

Grosso modo, leur position (pas la mienne) :

Spoiler: montrer

-Le SIDA (Syndrome d’Immunodéficience Acquise) ne correspond ni à la définition d’une maladie, ni à celle d’un syndrome. C’est la compilation des symptômes de 35 maladies bien identifiées, qui affaiblissent clairement le système immunitaire. Il n’y a pas d’épidémie de sida

- Il n’existe pas un seul rapport prouvant que le ‘’VIH’’ soit la cause ou même un cofacteur du SIDA

- Beaucoup de causes du SIDA, probablement la plupart sinon toutes, sont déjà connues et le ‘’VIH’’ n’est pas recevable comme l’une d’entre elles.

- Le syndrome d’immunodéficience acquise est provoqué par de nombreux facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, pollution, radiations, malnutrition, mauvaises conditions d’hygiène, excès de stress émotionnel et physique et la peur, soit individuellement, soit combinés

- L'AZT (qui est pour eux un poison) et d'autres traitements ont fini d'affaiblir et tués les gens atteints du Sida.

Bref pour le eux le SIDA existe, c'est la description d'un syndrome dramatique mais le VIH n'est est pas la cause (en tout cas pas la cause unique).

Pourtant, avant l'AZT et les "trithérapies", les personnes en état de SIDA déclaré mourraient très rapidement, alors qu'aujourd'hui ces mêmes personnes vivent plusieurs années (ex : Mano Solo). J'aimerai bien lire ce qu'ils expliquent, si tu as un nom.
Pour l'AZT, c'est un poison au même titre que les chimiothérapies. Pour caricaturer, ce sont des molécules qui empêchent chacune à leur façon le développement cellulaire.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Contestation_de_la_responsabilit%C3%A9_du_VIH_dans_le_sida

Peut être une explication de cette vague de légalisation de la ganja aux states...

Information

Les vapeurs de cigarettes électroniques contiennent des substances cancérigènes, en quantités parfois bien supérieures à la fumée de tabac, montre une étude japonaise rendue publique jeudi.

Il ressort de ce document brut sans conclusion définitive que les vapeurs absorbées contiennent entre autres souvent du formaldéhyde, un composé aussi appelé formol considéré comme favorisant les cancers, de l'acroléine, du glyoxal (ou éthanedial) ou encore du méthylglyoxal et de l'acétaldéhyde (ou éthanal).
«Pour une des marques analysées, l'équipe de recherche a trouvé un niveau de formaldéhyde qui a atteint jusqu'à plus de dix fois celui contenu dans une cigarette traditionnelle», a expliqué le chercheur Naoki Kunugita qui a dirigé l'étude.

Ce taux n'est toutefois pas constant, «il varie au cours de l'expérience et s'élève particulièrement en cas de surchauffe du fil résistif intégré», précise-t-il. Pour les autres substances, les concentrations n'atteignent pas de tels niveaux, selon les données communiquées qui montrent surtout des écarts très importants entre les différents produits et selon les conditions d'usage.

Des différences d'une marque à l'autre, d'un échantillon à l'autre

Les tests ont été réalisés avec une machine qui effectue à chaque fois une série identique de 15 bouffées, à dix reprises, à partir de la même cartouche, avec des pauses. «Les taux varient grandement d'une marque à l'autre et même pour une même marque d'un échantillon à l'autre», ont cependant souligné les chercheurs qui ont mesuré les concentrations de ces différentes substances pour diverses marques (non citées) de cigarettes électroniques.

Ce rapport de l'Institut national de la santé publique a été remis jeudi au ministère japonais de la Santé qui se demande, à l'instar de ses homologues d'autres pays, dans quelle mesure il est nécessaire de réguler l'usage des cigarettes électroniques employant des liquides parfumés. Celles sans nicotine profitent d'un vide juridique, alors que la vente de celles dégageant de la nicotine est encadrée par la loi sur les produits pharmaceutiques. Dans tous les cas, elles s'achètent aisément sur internet.

Même si au Japon les vapoteurs sont moins visibles que les fumeurs traditionnels et les boutiques spécialisées bien moins nombreuses que dans les pays occidentaux, la transition du tabac vers la vapeur est un phénomène croissant qui oblige les autorités à s'en préoccuper. «Le gouvernement japonais étudie les risques potentiels associés à cette pratique afin de décider comment la vente et la consommation des cigarettes électroniques devraient être régulées», a expliqué un fonctionnaire du ministère de la Santé.

L'OMS veut interdire la vente aux mineurs

L'interrogation n'est pas propre au Japon et est de celles qui dégénèrent facilement en polémique sur fond d'études scientifiques parfois contradictoires. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé en août d'interdire la vente des cigarettes électroniques aux mineurs et leur usage dans les lieux publics fermés, estimant que celles-ci présentaient un «grave danger» pour l'adolescent et le foetus. «L'e-cigarette menace la santé publique et requiert une attention urgente», avait alors déclaré aux médias le directeur du département Prévention des Maladies Non Transmissibles à l'OMS, Douglas Bettcher.

En conséquence, l'OMS recommande d'interdire aux détaillants de vendre ces produits aux mineurs et d'éliminer les distributeurs automatiques «presque partout». Elle demande aussi de prohiber les mentions selon lesquelles ce sont «des aides au sevrage tabagique» jusqu'à ce que les fabricants fournissent des données scientifiques probantes et obtiennent une approbation réglementaire.

Les ventes mondiales de cigarettes électroniques s'élèvent actuellement à quelque 3 milliards de dollars (2,2 milliards d'euros) par an contre 2 milliards en 2012 et pourrait, selon certains spécialistes, atteindre 10 milliards d'ici à 2017. Il y a quelques jours, les très sérieux dictionnaires britanniques Oxford ont élu «vape», soit vapoter, mot de l'année 2014, notant que l'usage de la cigarette électronique était «entré dans les moeurs». En France, vapoter a fait son apparition cette année dans les dictionnaires Le Petit Robert et Larousse.

LeParisien.fr

Bibpanda, et essayer de rien se foutre du tout volontairement dans les bronches, non ?
surtout qu'en plus, les gens en train de tirer sur leur e-cigarettes ont carrément l'air c...