[2019-2020] Basket : NBA, Pro A, Europe...

Je trouve que Houston a plutôt bien choisi les vétérans pour encadrer la progression de leurs jeunes. Ils visaient aussi Brook Lopez mais trop difficile de le déloger de Milwaukee. Alors oui VanVleet c'est beaucoup trop cher mais c'est que pour 3 ans avant de laisser la place aux jeunes, et il y avait peu de PG dispos. Udoka le voulait à la mène, ils se sont donné les moyens de le convaincre.

Ah oui et dans le genre contrat aberrant, que dire de celui donné à Jerami Grant. Difficile de comprendre quel est le projet à Portland, je plains les fans.

Pour Houston, on peut se dire que Kevin Porter Je est plus un combo et que malgré sa bonne saison, il peut être FVV compatible.
Mais pour rappel ils ont drafté en 4 Amen Thompson qui est un vrai meneur. Je ne comprends pas tout.

Amen Thompson va sortir du banc, c'est pas un problème et ça ne l'empêchera pas d'avoir un gros temps de jeu. Porter Jr apparemment Udoka a évoqué une éventuelle utilisation en 2/3 pour capitaliser sur ses qualités en catch and shoot. Si ça fonctionne, il peut faire du bien en sortie de banc. Y'a que le cas Dillon Brooks que je pige vraiment pas.

Sinon vu comme c'est parti, Miami n'aura pas Lillard. Le FO de Portland a l'air décidé a le trader contre le meilleur package et non la où le joueur le veut. Et Miami n'a franchement pas grand chose à proposer.

J'ai regardé la finale perdue des U19 en prolongation, ils ont un peu craqué.
De manière générale, pour les 2 équipes :

+
- une défense press tout terrain pendant 90% du match
- le soucis de partager le ballon
- un gros niveau athlétique

les -
- c'est même pas que c'est brouillon, ce fut une bouillie pendant quasiment tout le match. Les joueurs ont confondu vitesse et précipitation. Que de mauvais choix et balles perdues.
- à part à la fin, une adresse extérieure désastreuse.

Je ne connaissais pas les joueurs à part Risacher qui est passé à côté de son match.
On tenu notamment grâce à Ajinca en attaque et Perrin qui a régné sous le cercle. Sa sortie pour 5 fautes nous a été fatale.

J'ai pas aimé le coaching : trop de perte de balles et je rejoins ton coté désorganisé, qui est en parti lié au coaching. Il a voulu la jouer US sans mettre un vrai meneur qui pose et réfléchi. Coté joueur, il faudra suivre certains. J'ai personnellement été bluffé par Perrin

Perrin a un parcours très bizarre, énorme prospect, énorme fail dans le choix de la NCAA (problème de niveau d'anglais, empêché de jouer, déprime) qui lui a fait perdre une année.

Kenshi, en contrat aberrant, celui de D. Brooks a l'air pas mal aussi...

Mais il faut reconnaitre que celui de Grant, c'est qque chose!

Brooks à 80M sur 4 ans à Houston , c est vraiment du grand n importe quoi...

J'ai pas aimé le coaching : trop de perte de balles et je rejoins ton coté désorganisé, qui est en parti lié au coaching. Il a voulu la jouer US sans mettre un vrai meneur qui pose et réfléchi. Coté joueur, il faudra suivre certains. J'ai personnellement été bluffé par Perrin

Je vais défendre un peu Lamine Kebe sur le poste de meneur.
Il a fait un peu avec ce qu'il avait. Et encore je trouve que c'était mieux que l'an dernier avec les U18. Kymany Houinsou avait du mal à bien faire jouer autour de lui.
Je trouve que Bouzidi a vraiment step up par rapport à l'an dernier. En demie, il a su résister à la pression américaine et a mis de gros, gros shoots. L'an dernier c'était juste le 3ème meneur et il jouait quelques minutes. Et on pourrait meme dire que le meilleur meneur en U18 c'était Sidy Cissoko finalement.
Après cette génération 2004 n'est pas vraiment riche sur le poste de meneur, c'est plus sur les postes 2 et 3 avec Cissoko, Rayan Rupert, Bilal Coulibaly et Melvin Ajinca que se trouve sa force. Et puis évidemment à l'intérieur si tu mets VW à coté de Zacharie Perrin c'est pas tout à fait la même chose.
Je trouve qu'au vu des absents, cette génération a fait une très belle compétition. Les renforts des 3 2005 a fait beaucoup de bien.

En plus de Wemby et Coulibaly, d'autres Français ont obtenu des contrats garantis alors qu'on avait des doutes :

Maledon qui avait cette année un two way a un contrat d'un an (vrai NBA, pas un two ways)
Cissoko qui était second tour de draft a choppé un contrat multi years à SA
Rupert pareil mais aux Blazers

J'attends de voir l'avenir de Ntilikina qui est sans contrat.

Le mec a même pas encore foulé un parquet NBA

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NBA: BRITNEY SPEARS FRAPPÉE AU VISAGE PAR UN MEMBRE DES SPURS EN VOULANT DEMANDER UNE PHOTO À VICTOR WEMBANYAMA

Selon TMZ, Britney Spears a été frappée au visage par le directeur de la sécurité des San Antonio Spurs, qui accompagnait Victor Wembanyama dans un restaurant de Las Vegas, alors que la star demandait un autographe au Français.

Britney Spears voulait simplement une photo avec Victor Wembanyama. Mal lui en a pris, mais le Français n'y est manifestement pour rien. TMZ rapporte qu'un incident est survenu mercredi soir à Las Vegas entre la chanteuse américaine et le directeur de la sécurité des San Antonio Spurs. L'artiste de 41 ans aurait été victime d'un coup au visage, qui l'a fait tomber par terre.



Une tape dans le dos mal comprise

L'incident s'est déroulé au restaurant Catch de l'hôtel Aria. Accompagnée de trois personnes, dont son compagnon Sam Asghari, l'interprète de Baby One More Time aurait reconnu Victor Wembanyama en arrivant sur les lieux. Elle se serait alors approchée pour lui demander de faire une photo ensemble. Pour attirer l'attention du géant français de 19 ans, elle aurait alors fait une petite tape dans son dos.

Le geste n'aurait pas du tout plu à Damian Smith, le fameux directeur de sécurité des San Antonio Spurs, qui accompagnait "Wemby" lors de cette soirée. Il aurait alors immédiatement réagi en donnant un coup au visage de Britney Spears, qui en serait tombée.

Plus tard dans la soirée, l'homme se serait excusé et aurait admis ne pas avoir reconnu la pop star. Mais, toujours d'après TMZ, une plainte pour coups et blessures a été déposée par l'entourage de Britney Spears. Cependant, selon des sources policières citées par le site people américain, la plainte serait pour le moment jugée infondée.

https://rmcsport.bfmtv.com/basket/nba/n ... 60678.html

Première apparition ce soir pour lui en Summer League. A suivre à 3h10 cette nuit sur BeIn6.

La pauvre Britney Spears n'ayant jamais été protégée par des gardes du corps, elle ne pouvait pas savoir qu'en claquant une petite tape dans le dos d'une star, elle prenait le risque de s'en manger une.

Non mais en vrai, elle a seulement été repoussé et ses lunettes sont tombées.

Ou comment en faire toute une histoire au pays de l Oncle Sam.

Wemby sait à quoi s attendre maintenant

La liste des ricains pour la coupe du monde me laisse songeur.
Brandon Ingram, Anthony Edwards, Tyrese Haliburton, Jalen Brunson, Josh Hart, Mikal Bridges, Jaren Jackson Jr, Paolo Banchero, Bobby Portis, Austin Reaves, Cam Johnson et Walker Kessler

3 vrais intérieurs seulement dont 2 moins d'être fous (Kessler et Portis).
Évidemment il reste du matos mais c'est pas gagné pour eux. I

Y'a quelques beaux noms quand même là dedans. Quel réservoir de dingue ils ont ces enfoirés.

Oui mais ils n'ont aucun vécu commun, ne connaissent pas le FIBA, ont des joueurs qui sont là pour faire le nombre.
Je suis curieux de les voir mais contre des équipes comme la France ou l'Espagne, ils peuvent en chier.

L'idée c'est aussi de donner l'expérience FIBA à des joueurs qui pourraient bien être présents pour les prochains JO. Des mecs comme Haliburton, Brunson, Edwards, Ingram, Bridges, Banchero, JJJ ont une carte à jouer pour le futur, c'est bien de les tester cet été. En tout cas y'a pas mal de mecs que j'aime beaucoup dans cette sélection, je vais devoir regarder leurs matchs

Lillard et son camp sont en train de se comporter comme des grosses merdes.

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Travail, collectif, argent : la légende des Lakers Kareem Abdul-Jabbar conseille « Wemby »

La NBA a organisé une conférence avec Victor Wembanyama et Kareem Abdul-Jabbar samedi à Las Vegas, où l'ancienne gloire des Lakers (76 ans) a pu donner de précieux conseils au jeune prodige français.



Son tout premier match à la Summer League à peine digéré, Victor Wembanyama enchaînait samedi par une visite au NBA Con de Las Vegas, le tout premier festival dédié à la culture basket organisé par la Ligue américaine. Parmi les temps forts de cet événement qui s'étend jusqu'au 9 juillet à l'hôtel Mandala Bay, des séances de dédicace avec Karl-Anthony Towns (Minnesota), l'annonce des détails de l'organisation du nouveau tournoi de mi-saison par le commissionner Adam Silver, et surtout une discussion sur l'évolution du jeu en NBA entre Victor Wembanyama et l'ancienne gloire des Lakers Kareem Abdul-Jabbar, 76 ans.

« C'est un honneur de recevoir aujourd'hui un pilier de la NBA et une légende en devenir », a introduit Isiah Thomas, 62 ans, double champion avec Detroit et présentateur du panel du jour. Les quelque 200 spectateurs présents sur place en ont eu pour leur argent avec un échange qui ressemblait à un passage de témoin entre Kareem et « Wemby ».

Patience et apprentissage

Le jeune intérieur des Spurs (19 ans) a commencé la discussion en revenant sur son premier match joué la veille, vendredi, dans lequel il s'est parfois retrouvé en difficulté (9 points, 8 rebonds à 2/13 au tir). « Je n'ai encore jamais joué un seul match officiel. Pour l'instant, je suis juste un rookie, un gosse qui a encore tout à apprendre », a commenté Wembanyama, avant de confier son bonheur d'avoir pu jouer devant une légende comme Kareem Abdul-Jabbar.

« J'ai également été lancé dans le grand bain comme pivot titulaire pour mon premier match en 1969. Je n'étais pas forcément prêt non plus. Tout ça prend du temps, et tu as des choses à apprendre », lui a concédé l'ancien basketteur, avant de poursuivre en direction d'Isiah Thomas : « Comme tu peux le voir, c'est un jeune garçon intelligent, il va s'en sortir ».

Victor Wembanyama a ensuite évoqué son souhait de gagner un titre de champion avec San Antonio, suscitant les cris d'une partie de la salle, maillots des Spurs sur le dos. Un bonheur qu'Abdul-Jabbar a connu à six reprises avec les Bucks puis les Lakers dans les années 1970 et 1980. « Toute la difficulté est d'apprendre de quelle manière tu peux le mieux contribuer à la victoire collective, et avec tes atouts personnels. Je pense que tu auras rapidement la réponse, d'ici à la présaison », a poursuivi le deuxième meilleur marqueur de l'histoire de la NBA (38 387 points).

Sur la comparaison entre son style de jeu à l'époque et celui pratiqué aujourd'hui par « Wemby », Abdul-Jabbar a d'abord reconnu que la NBA « avait beaucoup évolué », avant de pointer du doigt avec humour ses premiers entraîneurs. « Ils ne nous laissaient rien faire. Jamais je n'aurais pu remonter tout le terrain avec la balle comme toi, sinon mon entraîneur aurait menacé de me planter une écharde dans les fesses jusqu'à ce que je rende le ballon au meneur. »

L'échange entre les trois hommes a ensuite évolué vers des questions plus personnelles, notamment sur l'impact social que souhaite avoir Victor Wembanyama en parallèle de sa carrière. « Je sens que j'ai une responsabilité vis-à-vis de la jeunesse, notamment d'aider à l'éducation. Il y a bien d'autres domaines dans lesquels j'aimerais aussi avoir un impact, notamment dans les pays du tiers-monde », a répondu le natif du Chesnay (Yvelines), qui a été invité à parler directement à un enfant invité sur la scène.

« Victor, tu dois savoir tout le travail qu'ont fait certains joueurs avant toi pour arriver où nous en sommes aujourd'hui », a également tenu à rappeler Kareem Abdul-Jabbar, évoquant notamment Oscar Robertson, ancien joueur à l'origine de la mise en place de la free agency en 1976, et Bill Russell, légende des Celtics et pionnier de la lutte contre les discriminations raciales en NBA. « Des personnes comme ça, tu vas en rencontrer dans la Ligue mais aussi en dehors. Et tu auras les moyens financiers de faire ce que tu veux faire. Alors fais attention et économise ton argent. Comme ça, dans 20 ans, tu pourras dire : j'avais bien fait d'écouter Kareem. »

Ce dernier conseil a été accueilli par des éclats de rire dans la salle, et des applaudissements de Victor Wembanyama. Nul doute que le prodige français est ressorti boosté et inspiré de cette discussion, avant de jouer son deuxième match avec les Spurs face à Portland dans la nuit de dimanche à lundi (2 heures du matin en France).

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