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Peli a écrit:
«J'AI VU défiler ma vie. Je suis jeune marié. J'attends un enfant.
Tous reconnaissent qu'ils sont en vie grâce au pilote, Xavier Bru. Un professionnel qui analyse ce vol « extraordinaire » avec modestie. « Moi, je suis zen de nature. Je n'ai fait que mon métier. J'ai ramené tout le monde à terre. Mais j'avoue que je n'avais jamais vécu une chose pareille. »
Tous reconnaissent qu'ils sont en vie grâce au pilote, Xavier Bru. Un professionnel qui analyse ce vol « extraordinaire » avec modestie. « Moi, je suis zen de nature. Je n'ai fait que mon métier. J'ai ramené tout le monde à terre. Mais j'avoue que je n'avais jamais vécu une chose pareille. »
Je ne savais pas qu'un homme pouvait être enceinte...
LeNa, ou t'as vu qu'il etait "enceinte"?
beenie, "Jattend un enfant" ca veut tout dire non
LeNa, il attend un enfant que lui donnera son epouse
Ryo Saeba, pourquoi elle pourrait le lui vendre cette conne
Peli a écrit:Je viens de voir ca chez Fogiel:
Avion
La grosse frayeur des footballeurs de Rodez
«J'AI VU défiler ma vie. Je suis jeune marié. J'attends un enfant.
J'ai eu affreusement peur. » Voilà les premiers mots de Patrick Videira prononcés hier soir à Rodez à la sortie de l'avion de tourisme qui le ramenait de Bastia. « Les images, je les vois encore. J'étais assis dans l'avion à côté de la porte. J'étais en train de lire l'Equipe. Tout s'est passé très vite, un peu comme dans un film. Tout d'un coup, j'ai entendu un bruit sourd. Je me suis senti partir dans le vide. J'ai cru toucher les nuages avec les pieds. Par chance, j'avais ma ceinture de sécurité. Elle s'est bloquée d'un coup sec. Elle m'a sauvé la vie. Je l'avais rattachée vingt secondes plus tôt... Je crois que le Bon Dieu était avec moi. Je suis vivant mais terriblement choqué. J'ai pleuré comme un enfant tout le long du trajet, de Bastia à Rodez. » Ils étaient neuf dans l'avion ce samedi. Des joueurs du Rodez Aveyron Football partis en Corse pour disputer un match de championnat. Au-dessus de la Méditerranée, la porte de l'avion explose. Florent Rech, le capitaine de l'équipe, revient sur son angoisse. « J'étais assoupi. J'ai entendu un bruit et j'ai vu Patrick (Videira) partir. Il était à côté de moi quelques secondes encore avant le drame. J'ai cru qu'il était perdu dans le vide. On était à 6 000 mètres d'altitude. Dans l'avion, il faisait moins quinze degrés. Un froid atroce. On avait peur. Toutes nos affaires partaient, aspirées par le ciel. On avait l'impression que les banquettes allaient se détacher, qu'on allait tous mourir. Et puis j'ai vu que Patrick revenait, qu'il était encore avec nous. Nous étions tous en vie. »
Sauvés par le sang-froid du pilote Le vol dure encore vingt minutes après l'explosion de la porte. Les joueurs se détachent peu à peu, s'allongent sur le sol et s'agrippent les uns aux autres pour se rapprocher du cockpit, seul endroit préservé de l'aspiration. Tous reconnaissent qu'ils sont en vie grâce au pilote, Xavier Bru. Un professionnel qui analyse ce vol « extraordinaire » avec modestie. « Moi, je suis zen de nature. Je n'ai fait que mon métier. J'ai ramené tout le monde à terre. Mais j'avoue que je n'avais jamais vécu une chose pareille. »
Le Parisien , lundi 08 novembre 2004
.. et ils ont gagné 3 0 le match a Bastia, faut avoir du cran
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