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par **marseillais4ever** » 18 Nov 2004, 03:49

on va niquer les pumas , et jespere que le vel fera le plein.
on a une bonne equipe et laporte est vraiment un tres bon coach .en plus jaime bien sa facon de parler

par **hijodelsol** » 18 Nov 2004, 13:17

Moi aussi présent !
J'ai demandé à un ami qui s'occupe de la fédé dans le 04 des bonnes places pour bien y voir... je me retrouve en jean bouin au balcon : 80 € !
J'aurai rien du demander...

par **oliverdemars** » 18 Nov 2004, 13:19

Moi aussi j'y serais :mrgreen:

mais au virage DP :cry:

Sinon moi c'est 11 euros :mrgreen:

avec un club de rugby :mrgreen:

Je me languis deja la troisieme mi temps!!!!!

par **argentina** » 18 Nov 2004, 17:50

hijodelsol, il ta bien niquer ton pote le mieut pour voir le rugby ces en virages
marseillais4ever, tu va niquer rien du tout

par **Invité** » 18 Nov 2004, 20:51

argentina, je ne suis pas trop d'accord, c'est évident que pour voir le jeu de ligne c'est top le virage mais bon au ras du pré en latéral c'est l'idéal

par **argentina** » 20 Nov 2004, 00:54

djul13, ca doit etre pas mal aussi

par **gigi** » 20 Nov 2004, 00:59

on va niquer les pumas

parle bien des Argentins toi
t'es ds le topic a Argentina, tu te crois ou

jespere que le vel fera le plein.

le Vel' est tjs blindé pour ces rencontres

je me retrouve en jean bouin au balcon : 80 € !

putain il t'a pris pour le roi d'Espagne ton pote

par **gigi** » 20 Nov 2004, 11:50

voila pour vous rafraichir la memoire sur les exploits du XV de Fce a Marseille

Rugby: la France compte sur le Vélodrome pour dompter les Pumas
ven 19 nov, 15h10

MARSEILLE (Reuters) - La Nouvelle-Zélande est venue à Marseille et y a été battue, l'Australie, l'Afrique du Sud et l'Angleterre aussi.

En quatre ans, le Stade Vélodrome est devenu un cimetière des ambitions des plus grandes équipes de rugby et cette année ce sont les Pumas que la France compte y dompter.

"Quand on fait le bilan, sur les trois derniers matches France-Argentine, il y a trois défaites pour l'équipe de France. Il faut que ça s'arrête", déclare Jo Maso, manager du XV de France.

"Les Argentins nous ont battus trois fois à Buenos Aires. Cette fois, on joue chez nous, au Vélodrome, un stade qui nous réussit, où on est invaincus. Il faut continuer à préserver cette invincibilité dans notre pré marseillais."

Marseille n'est pas une ville de rugby mais sous l'influence des supporters de l'OM elle offre depuis quatre ans aux joueurs du XV de France une ambiance et un soutien qui décuplent leurs forces.

L'histoire d'amour entre les coqs et le Vélodrome a commencé en l'an 2000 lorsque la France y a accueilli la Nouvelle-Zélande après avoir perdu les deux premiers matches de sa tournée de novembre contre les Wallabies et les All Blacks.

"Les première 20 minutes du match furent les plus intenses que j'ai jamais vécues dans un match de rugby", avait reconnu l'entraîneur néo-zélandais Wayne Smith.

Sur le terrain, les deux équipes s'étaient affrontées sans concession et avaient marqué trois essais chacune mais la France s'était imposée 42-33 grâce à 27 points de son buteur, Christophe Lamaison.

Dans les tribunes, pendant 80 minutes, les 60.000 spectateurs avaient chanté la Marseillaise, hurlé "Allez les Bleus", sifflé et hué les All Blacks.

Au coup de sifflet final, ils avaient aussi accordé aux joueurs la plus longue ovation de leur vie de joueur.

"PLUS DE 15"

Un an plus tard, l'effet Vélodrome a été réservé aux Australiens, alors champions du monde. C'était une nouvelle fois en novembre et, une nouvelle fois, les Français ont effectué un long, très long tour d'honneur après avoir remporté d'un point, 14-13, leur première victoire sur les Wallabies depuis 1993.

"La fin du match a été particulièrement rude. Je tiens à remercier les supporters parce que, à certains moments, j'ai eu l'impression que nous étions plus de 15 sur le terrain", avait déclaré le capitaine Fabien Pelous.

L'arme secrète du Vélodrome a frappé les Springboks, battus 30-10, dominés tactiquement et techniquement et surtout broyés physiquement au point de ne plus pouvoir disputer les mêlées fermées.

Un an plus tard, ce fut le tour des Anglais d'être invités à Marseille , dans un match de préparation juste avant la coupe du Monde.

Leur entraîneur Clive Woodward avait décidé de laisser au repos ses titulaires dont Jonny Wilkinson, Martin Johnson et Neil Back.

Le XV de la Rose en avait payé le prix. Les Français avaient gagné 17-16 et avaient mis fin à une série de 14 matches sans défaite de l'Angleterre depuis mars 2002.

Les Anglais ont certes prix une cinglante revanche 45-14 une semaine plus tard à Twickenham et surtout lors de leur victoire 24-7 en demi-finale de la Coupe du monde à Sydney, le 20 novembre 2003.

"C'est dommage que nous n'ayions pas joué la demi-finale au Vélodrome. Nous serions peut-être champions du monde. Il faudra y penser pour la Coupe du monde 2007", plaisante Jo Maso, un an plus tard, presque jour pour jour.