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Re: Finances de l'OM

14 Aoû 2018, 15:30

Dragan, est ce qu'Adidas a déjà eu un accord de ce type avec nous?

Re: Finances de l'OM

14 Aoû 2018, 15:38

boodream, oui ils avaient repris les 3 boutiques en location gerance a partir de 2013 (ainsi que 11 salaries). Mais avant 2013 ce n'etait pas Adidas.

Reste a voir si la part que va nous reverser Puma sera superieure a ce que faisait Adidas.

Re: Finances de l'OM

14 Aoû 2018, 16:49

Dragan, si y'a bien un truc sur lequel il faut faire confiance au Président, je pense que c'est cela

Re: Finances de l'OM

14 Aoû 2018, 16:50

Thor, oui y a tout a fait moyen qu'on augmente la redistribution venant de ces boutiques par rapport a ce que versait Adidas

Re: Finances de l'OM

14 Aoû 2018, 16:54

Dragan, surtout que la dessus le club n'a rien à gérer, il touche un pourcentage et c'est tout.
Ca évite qu'on confie ça un anciennement un mec proche du Nigo :hehe:

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:00

Le super graphique de Jester sur les salaires de tous les olympiens post mercato. Article/graphe plagie sans souci/mention par d'autres sites :roll:

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:01

Les chiffres ont une source ? Exemple de Rolando surtout :mrgreen:

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:02

randoulou, effectif/topic31402.html

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:04

Dragan, ok merci mais avec sa prolongation, y a t il eu salaire à la baisse par exemple ?
C'est surprenant les chiffres de certains Ocampos, Amavi voire même Lopez.
Peu de clubs en L1 peuvent lui filer ce salaire au jeune Maxou

Il va falloir vite prolonger Bouba

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:04

randoulou, aucune autre info depuis sortie sur son salaire. On actualisera quand il y en aura.

Re: Finances de l'OM

04 Sep 2018, 16:19

En comparaison la masse salariale brute des equipes de Serie A :



Re: Finances de l'OM

21 Sep 2018, 15:58

Information
« Des clubs comme le PSG ou l’OL voire l’ASSE paient plus de charges patronales que tous les clubs de Bundesliga réunis »

Par Anthony Alyce 21 septembre 2018
Les mesures fiscales et sociales dernièrement adoptées vont-elles permettre d’accroître la compétitivité du football français ? Alors que la publication du décret du droit à l’image début août a constitué une bonne surprise pour les dirigeants du football français, certains dispositifs sociaux qui entreront en vigueur à partir de janvier 2019 pourraient venir annihiler les effets positifs de cette première mesure. Pour faire le point sur les impacts des futures mesures, Ecofoot.fr a interrogé Bruno Belgodère, Co-Dirigeant de Première Ligue, syndicat réunissant une majorité des patrons de clubs de Ligue 1.

Au début du mois d’août, le décret d’application concernant la réintroduction d’un droit à l’image des sportifs et entraîneurs exploité par les clubs professionnels – conformément à l’article 17 de la loi Braillard – a (enfin) été promulgué. Comment a été accueillie cette nouvelle par les dirigeants de clubs réunis au sein du syndicat Première Ligue ? La mise en application de cette loi permettra-t-elle de renforcer réellement la compétitivité du football professionnel français ?

L’ensemble des acteurs du football professionnels s’est satisfait de la publication du décret. En effet, nous perdions espoir et cette publication début août a été une bonne surprise. Il n’est jamais évident pour un gouvernement de sortir un décret sur une loi dont il n’est pas à l’initiative et c’est tout à son honneur de l’avoir fait.

Cependant, si la publication du décret était indispensable, elle ne résout pas le problème de l’application de ce régime. On a le sentiment d’être devant une boite de Lego© mais sans la notice pour construire l’édifice. On sait ce que cela va donner mais on ne sait pas comment y arriver.

Combien de temps faudra-t-il pour que cette mesure rentre pleinement en application ? Les discussions avec les partenaires sociaux peuvent-elles être bouclées rapidement ?

Il y a plusieurs temps. Un premier temps lié aux relations avec les partenaires sociaux. Nous avons déjà bien avancé et l’intelligence collective permettra de régler les questions qui peuvent rester en suspens. Aujourd’hui les partenaires sociaux dans le football se sont engagés pour que le droit à l’image soit déclenché à partir de 4 plafonds de la sécurité sociale. De même, le montant relatif au droit à l’image ne pourra pas dépasser 1/3 de la rémunération totale ce qui revient à limiter le droit à l’image à 50 % du salaire. Un contrat type est aussi prévu. Enfin les conséquences liées au mouvement de joueurs – transferts et prêts – sont identifiées.

Un second temps est lié à l’application pratique de ce régime. Comment allons-nous concrètement identifier les flux éligibles entre les clubs et les partenaires à reverser aux joueurs ? Faudra-t-il identifier ces flux joueur par joueur ? Vu le flou entourant l’application pratique de cette mesure, nous sommes très inquiets concernant les futurs contrôles de l’URSSAF.

En résumé, nous avons donc besoin de règles très claires et précises sinon le droit à l’iimage ne sera pas applicable car représentant trop d’incertitudes. Le droit à l’image collective a été décrié, souvent d’ailleurs par des personnes qui n’en comprenaient pas le mécanisme, mais il était simple à appliquer et il était un outil de compétitivité très efficace.

En l’état actuel, le droit à l’image défini par la loi du 1er mars 2017 est inefficace car inapplicable. Il nous appartient avec les pouvoirs publics de le rendre applicable pour en faire un outil de compétitivité au service du sport français. De nature optimiste je suis certain que l’on va y arriver.

Pour conclure, tant que nous n’aurons pas sécurisé ce système pour le rendre efficace, nous ne conseillerons pas à nos clubs de l’appliquer. On fera un point avant le prochain mercato pour savoir si ce système est un atout pour notre compétitivité ou un projet mort-né.

Quels sont les prochains sujets fiscaux / sociaux sur lesquels le syndicat Première Ligue sera particulièrement vigilant ?

Nous sommes vigilants sur l’ensemble des projets de loi qui arrivent. On ne demande pas de grande révolution mais on veut s’assurer que des nouvelles taxes ne viendront pas entraver la compétitivité de nos clubs. Des clubs comme le PSG ou l’OL voire l’ASSE paient par exemple plus de charges patronales que tous les clubs de Bundesliga réunis. Toute nouvelle taxe viendrait entraver notre compétitivité européenne. Si évidemment la compétitivité sportive passe par les résultats sur le terrain, une assise économique forte est la base de cette compétitivité. Et notre croissance économique redescend directement dans le financement du sport et du football amateur puisque chaque année les clubs professionnels reversent de façon directe ou indirecte 80 M€ au sport amateur.

Dans quelle proportion l’augmentation du plafond de cotisations retraite complémentaire des salariés non-cadres va-t-elle affecter la Ligue 1 ?

A partir du 1er janvier 2019 certaines cotisations AGIRC/ARRCO passent d’une base de calcul de 3 à 8 plafonds de sécurité sociale. En effet, le plafond de l’assiette des sommes soumises à cotisations, jusqu’à présent fixé à trois PMSS pour les non-cadres soit 9 933 €, sera ainsi aligné sur celui des cadres et donc porté à huit PMSS, soit au moins 26 488 €.

Jusqu’à présent, les cotisations sur les salaires de nos joueurs étaient plafonnées à 3 plafonds car ils évoluent sous le statut de salariés non-cadres. Un plafond qui va donc passer à 8 PMSS à partir de janvier 2019. Cela aura un impact cumulé pour le football professionnel français (L1 et L2) sur les charges salariales et patronales de 25 M€. 60% de cette somme sera liée à un alourdissement des cotisations patronales et 40% à une hausse des cotisations salariales. La Ligue 1 supportera 76% de ce surcoût contre 24% pour la Ligue 2.

Même si nous sommes parvenus à obtenir un étalement sur 3 ans de la mise en application de cette réforme, ce sont des charges en plus qui devront être assumées par nos clubs français. Alors que nous attendions un gain de compétitivité avec l’entrée en vigueur du droit à l’image, nous nous retrouvons avec de nouvelles charges à assumer…

Ecofoot

Re: Finances de l'OM

22 Sep 2018, 18:47

Re: Finances de l'OM

04 Oct 2018, 12:49

http://www.lephoceen.fr/infos-om/autour ... uma-165497

L'euphorie des gars de Puma laisse largement penser qu'il s'agit ENCORE d'un deal ou l'equipementier se gave pour des clopinettes investies.

Re: Finances de l'OM

04 Oct 2018, 16:07

Information
Puma, une patte sur la L 1

L’outsider des équipementiers a frappé fort cet été. En habillant cinq clubs, il domine la L 1 et s’est offert pour au moins cinq saisons l’OM, une de ses têtes d'affiche. PASCAL GLO


Puma reprend du poil de la bête en Ligue 1. Avec l’arrivée de sa star Gianluigi Buffon au PSG, et celle de son fauve sur le maillot de l’OM, la marque a réalisé les deux gros coups du mercato. Avec cinq clubs, elle remporte même pour la première fois le match des équipementiers, après quatre saisons de domination de Nike. Relégué ces dernières saisons au troisième rang, derrière les deux géants – la virgule et Adidas –, rattrapé par Kappa et Umbro, l’outsider s’est offert deux nouvelles équipes (Amiens, OM) et a bénéficié de la montée de Nîmes. « Ce retour en force est la matérialisation de notre stratégie mise en place il y a deux ans : “Pas de football sans Puma et pas de Puma sans football’’, assure Benoît Menard, directeur marketing de la marque en France et transfuge d’Adidas depuis février. Avoir cinq clubs en L 1, c’est exceptionnel. Cela nous assure une énorme visibilité à travers les diffusions télévisuelles, les plates-formes sociales des clubs ou les magasins, et une énorme crédibilité. C’est important d’avoir un maillage sur l’ensemble du territoire, au plus près des fans. »

Mais la griffe manquait surtout d’une tête d’affiche comme le Borussia Dortmund en Bundesliga (2011), Arsenal en Premier League (2013) et, depuis cette saison, l’AC Milan en Serie A. Le PSG, plus grand vendeur de maillots en France, lui étant inaccessible avec le contrat qui le lie à Nike jusqu’en 2022 pour quelque 25 millions d’euros par an, Puma s’est attaqué à son dauphin, l’autre grande marque de L 1, l’OM. Depuis la fin de l’ère Louis-Dreyfus, en octobre 2016, Marseille, lié à Adidas depuis 1974 (1), devenait un enjeu majeur. « Il se passe énormément de choses en L 1, beaucoup de changements d’actionnariats avec de nouveaux intervenants et d’autres ambitions. C’est notre cœur de business et on est très attentifs à ça. On sent une vraie volonté des clubs de passer un cap sur le merchandising, en termes d’image et de revenus. »

“Ce club est hyper puissant en termes d’image, c’est un truc de dingue qui rejaillit sur l’ensemble de la marque

BENOÎT MENARD, DIRECTEUR MARKETING DE PUMA FRANCE, À PROPOS DE L'OM

Le partenariat de cinq ans (14 M€ annuels hors bonus contre 10 M€ pour Adidas) est le plus gros contrat commercial de l’histoire du club selon son président Jacques-Henri Eyraud. Alors pour le lancement des nouveaux maillots, le 4 juillet dernier, il n'y a pas eu un simple communiqué sur les réseaux sociaux mais une garden-party, un feu d’artifice et un clip réunissant Adil Rami, le rappeur Alonzo et Diego Maradona. Et ce slogan “Venu de l’eau pour mettre le feu” détourné par les supporters lyonnais après “l’Olympico” (4-2) en “Venus de l’eau, pour couler à Lyon’’.

« Un nouveau départ était nécessaire, affirmait Eyraud début juillet, avec des professionnels qui mettent le club au centre de leurs attentions. Pour un groupe international, c’est ne pas sortir du tiroir des idées déjà conçues. Ils nous ont montré leur volonté de faire du sur-mesure.  » « On a trois maillots vraiment différents, illustre Benoît Menard. On n’applique pas, comme d’autres équipementiers, le même patron partout. Un maillot doit avoir une histoire et un design spécifique. C’est notre force. On est plus petits, plus souples et plus créatifs. » Mais comme il faut dix-huit mois pour développer de nouveaux modèles, Amiens et Nîmes attendront pour avoir leur propre sur-mesure.

Grâce à l’OM, Puma veut, comme l’a annoncé Richard Teyssier, son directeur général France, « devenir la marque de référence dans le sport mais aussi dans la “street-culture” dans le sud de la France ». Et pour ambitionner de renouer avec les meilleurs chiffres d’Adidas (2), l’équipementier affiche son OM partout. Y compris à Paris, quitte à voir la façade de l’Intersport de la rue de Rivoli vandalisée début juillet. Puma s’en est sorti avec humour, affichant à la place sa tête de gondole parisienne Buffon, et ce message : « Maintenant, notre vitrine est bien gardée. » « Et pendant plusieurs semaines, poursuit Benoît Menard, des gens venaient de région parisienne en disant : “On veut acheter le maillot de l’OM ici pour vous dire qu’on est avec vous.” » Au même moment, le club et son partenaire étaient interpellés sur Twitter par les supporters de Vieille Garde CU84 : « Serait-il possible de retirer de la vente cette écharpe qui insulte l’histoire de nos tribunes ? » L’étendard était barré de la promesse : « Notre histoire deviendra légende. » Soit la devise des Parisiens du Kop of Boulogne. Le produit sera retiré immédiatement.

Il reste 370 autres références aux couleurs de l’OM (3), des maillots ou t-shirts à la gamme féminine en passant par la basket de la dernière collection lancée il y a deux semaines. « Ce club est hyper puissant en termes d’image, c’est un truc de dingue qui rejaillit sur l’ensemble de la marque », se félicite Benoît Menard. Il n’aura manqué cet été que l’arrivée à l’OM d’un Mario Balotelli, ambassadeur de la marque, pour que le coup soit parfait, mais celle de Hatem Ben Arfa à Rennes a eu son petit effet en boutique.

(1) À l’exception d’une parenthèse de 1994 à 1996 en D 2 (Reebok puis Mizuno),

(2) 400 000 à 450 000 maillots en une saison ; selon une étude PR Marketing, de 2011 à 2016, la moyenne se situe à 325 000.

(3) Dont 230 siglées Puma.

L'Equipe

Re: Finances de l'OM

20 Oct 2018, 18:28

Information
L'Equipe dans son dossier sur la valo du club a explique que l'OM esperer recuperer une quinzaine de millions d'euros de l'exploitation du Vel (concerts, seminaires entreprises, matchs hors OM etc.)


Ils expliquent aussi que les ventes de maillots Puma sont toujours au-dessus des previsions.

Et que la billeterie marche bien. D'ailleurs l'OM est 16eme europeen au niveau affluences depuis le debut de la saison avec un peu + de 53 000 de moyenne.

Et malgre le prix des places elevees, OM PSG est deja complet.

Re: Finances de l'OM

20 Oct 2018, 23:29

Dragan, OM-PSG la référence :lol:
Même à 300€ la place la moins chère ils vendraient tout. Je capte d'ailleurs pas pourquoi ils le font pas tant les footix sont prêts à se saigner pour ce match.

Re: Finances de l'OM

20 Oct 2018, 23:45

gigi, s’il y a bien un match ou je n’irai pas au vel c’est bien celui la. Y a aucun espoir a avoir. On a raté le coche la saison derniere, la ils nous louperont pas.

Re: Finances de l'OM

21 Oct 2018, 00:04

spy, surtout avec leur record historique de victoires de merde il manquait qu'un match au Vel pour les motiver un peu à en rajouter une...

Re: Finances de l'OM

21 Oct 2018, 17:20

15 millions là où Aulas en espère 60 je crois.
Quel écart putain...
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