[PSG 2021-2022] Dîme bigger

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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Lo Provençau » 16 Juin 2022, 14:02

Ce sont des débiles (pas) finis.
On se rappelle aussi que France Football avait classé Al Khelaifi à la 6ème place du classement des plus grands présidents de l'histoire du football français (de l'histoire hein) alors que le mec est une buse totale et que sa gestion aurait envoyé n'importe quel club au dépôt de bilan s'il n'avait pas le cheat mode argent infini.
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 16 Juin 2022, 22:04

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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 16 Juin 2022, 22:51

Information
Le PSG a contacté Nice pour ouvrir les négociations avec Galtier

L'accord pour acter le départ de Mauricio Pochettino du banc du PSG a été trouvé, selon nos informations. Nice et le PSG sont entrés en négociations pour trouver un accord pour l'arrivée de Christophe Galtier au sein du club parisien.

RMC


:popcorn:
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Delio » 16 Juin 2022, 22:52

Seum a Paris? :ptdr:
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar The Flankeur » 17 Juin 2022, 09:00

The Flankeur a écrit:j'y crois toujours pas
entre sa famille et ses racines Marseillaises, et son histoire Madrilène, il signerait a Paris ??

il y a pas un mois il dit que c'est un supporter de l'OM, qu'il a grandi dans les tribunes du Vel...
bref, j'y crois pas

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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar IceCold » 17 Juin 2022, 09:05

Delio a écrit:Seum a Paris? :ptdr:

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Messagepar spy » 17 Juin 2022, 09:29

Laurent Blanc a réussi à faire du bon taffe , Galtier en fera aussi. C’est loin d’être un naze surtout avec le soutien de Campos.
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Messagepar Pancho11 » 17 Juin 2022, 09:35

C'est lui qui va cadrer Neymar et autres branleurs?
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Messagepar Dragan » 17 Juin 2022, 09:37



Que l'UEFA se soit couchée est quand même :cry:
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar spy » 17 Juin 2022, 09:38

Pancho11 a écrit:C'est lui qui va cadrer Neymar et autres branleurs?

Non c’est campos
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Messagepar Pancho11 » 17 Juin 2022, 09:40

Qui sera à mi-temps avec le Celta?
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Messagepar spy » 17 Juin 2022, 10:22

Pancho11, Tu suis assez le foot pour savoir que Campos possède une agence, et que cette agence propose des joueurs aux clubs qui y font appelle. Campos va leur proposer des joueurs, mais n’en sera pas le directeur sportif. Il sera à paris et gérera quasiment tout sauf les mises en place et les entraînements.
Tu le sais bien…
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Messagepar Arno26 » 17 Juin 2022, 10:31

c'est son adjoint qui bossera plus à Vigo
il pousse pour mettre Sacramento avec Galtier
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar alexduke » 17 Juin 2022, 12:06

spy a écrit:
Pancho11 a écrit:C'est lui qui va cadrer Neymar et autres branleurs?

Non c’est campos


C'est ce que je disais il y a quelques jours. J'ai bien peur qu'avec Campos ils se donnent les moyens de résoudre un de leur problème majeur avec ce qui ressembe à une autorité au dessus des joueurs. L'entraineur du PQ ne peut de toute façon pas faire ce taf face à ces joueurs si au dessus c'est mou.
Du coup avec Campos, peut importe leur entraîneur finalement, suffit qu'il soit un minimum compétent (Galtier n'est pas une pipe, et il parle français, détail pas anodin dans leur situation)

Ca c'est le ressentit aujourd'hui. Peut etre (et je le souhaite) que meme Campos n'arrive pas à cadrer la ménagerie du cirque pinder.
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 17 Juin 2022, 12:06

Information
La « méthode Luis Campos » : révolution à venir au PSG ?

Avec sa solide réputation, le dirigeant portugais arrive à Paris au cœur d’un été mouvementé. Peut-il remettre le club de la capitale dans le droit chemin ?

Il est l'un des dirigeants les plus plébiscités du football moderne. Avec ses réussites du côté de Porto, puis à l'AS Monaco et à Lille, Luis Campos a su se faire un nom dans des clubs où le trading de joueurs était la base du projet. S'il a su dénicher d'importants talents du ballon rond comme Bernardo Silva, Fabinho et Victor Osimhen, le Portugais arrive désormais au Paris Saint-Germain avec une mission bien différente. Nommé conseiller sportif du club de la capitale, il devra mettre en place l'équipe qui sera enfin capable de rapporter la Ligue des champions tant convoitée depuis le rachat du club par QSI en 2011. Après la seconde ère Leonardo qui n'a pas porté ses fruits, Luis Campos est-il capable d'être l'architecte qui construira le succès du PSG sur la scène continentale ?

« La base de son travail, c'est l'œil humain »

Derrière son nom, il y a surtout une méthode. Bien personnelle. Luis Campos est un perfectionniste qui ne laisse rien au hasard pour superviser de potentielles recrues. Yacine Hamened, chroniqueur au Club des 5 et à Paris United, décrypte pour Le Point les grands principes du dirigeant portugais. « Il y a une vraie méthode, qui lui est propre, en plusieurs étapes. Pour être sûr du bon profil, un joueur est supervisé pendant 15 matchs. Si cette première étape est validée, un autre scout va se déplacer pour l'observer. Après ça, un troisième recruteur jugera aussi si le joueur est apte. La validation définitive revient à Campos, qui se déplace lui-même pour voir de ses propres yeux le joueur suivi. » Avec ce processus strict, Campos s'est forgé un solide CV dans le monde du football.

Dans son fonctionnement au quotidien, il procède même en cercle restreint, avec des personnes de confiance pour éviter les fuites. Pour le terrain, Luis Campos privilégie les déplacements plutôt que les résumés en vidéo. « La base de son travail, c'est l'œil humain. Il étudie le comportement du joueur quand il n'a pas le ballon, quand son équipe perd, quand il est en difficulté. Dans certaines atmosphères, si le joueur ciblé baisse les bras, ça peut l'interpeller », nous résume Yacine Hamened. Et avec son passé d'éducateur et d'entraîneur, Luis Campos a occupé quasiment tous les postes possibles dans le monde du ballon rond, ce qui lui permet d'avoir plusieurs points de vue sur une potentielle recrue.

Au PSG, des attentes immédiates

Journaliste et suiveur du football portugais, Alex de Castro estime que la forte personnalité de Campos lui a permis d'être une référence aujourd'hui. « C'est quelqu'un qui a beaucoup de caractère, avec des idées très fortes. S'il sent qu'il ne peut pas travailler correctement, s'il n'a pas les moyens suffisants, il n'hésitera pas à partir. En revanche, si toutes les conditions sont réunies, il peut s'installer à long terme. »

Dans son étude des profils, Campos est pointilleux et se renseigne sur tous les paramètres possibles pour donner son accord au recrutement d'un joueur. « Pour aller plus loin, il procède à l'étude de l'entourage du joueur, explique Yacine Hamened. Est-ce qu'il est marié, est-ce qu'il a des enfants, qui est son agent, comment il est dans la vie de tous les jours ? Ça vient évidemment après ce qui concerne le terrain, mais ça reste un facteur important. »

Forcément la question du projet parisien interpelle : Campos peut-il s'adapter à un club avec une telle dimension et une pression décuplée ? Le recruteur de 57 ans va faire face à des attentes immédiates. « C'est quelqu'un d'intelligent et de très compétent, affirme Alex de Castro. Il peut réussir à Paris. Après, il a surtout convaincu dans des clubs où l'achat revente de joueurs était l'objectif principal. À Porto, Monaco et Lille, à chaque fois c'était le même type de projet. Maintenant à Paris, c'est un tout autre calibre, on est sur du court terme, sur une quête de résultats immédiats. Sera-t-il capable de monter une équipe qui pourra répondre très vite sur le terrain ? C'est un nouveau défi pour lui. »

Yacine Hamened se montre de son côté optimiste sur le mandat de Campos qui commence tout juste dans la capitale. « Je pense qu'il peut réussir ici. Le PSG doit vivre du marketing et du business, Campos ne va pas recruter des stars mondiales. Si on le laisse travailler, ça peut être le parfait compromis. On peut prendre un Robert Lewandowski par exemple, mais quels joueurs autour de lui peuvent lui permettre d'être performant ? Quels joueurs peuvent être complémentaires à Verratti au milieu de terrain ? C'est là où on attendra Campos au tournant. Il peut ramener l'harmonie entre les stars et le collectif. »

Skriniar, Majer, Fofana : qui sera la première recrue de l'ère Campos ?

Il reste tout de même des points d'interrogation : quid de sa double casquette de dirigeant au Celta Vigo ? Également en suspens le profil du futur entraîneur, qui ne semble pas concorder avec les aspirations de ses supérieurs. « En Ligue 1, il n'y aura pas de soucis, mais en Ligue des champions, ça reste une inconnue pour Luis Campos, malgré sa renommée. L'autre souci, c'est son rôle de conseiller sportif, il travaille depuis le Portugal et il va aussi collaborer en même temps avec le Celta Vigo. Peut-il être à 100 % dans ce projet parisien ? On se demande même s'il n'y a pas un souci de vision commune entre les deux camps, quand on voit la question du futur entraîneur. Doha veut absolument Zidane, tandis que Campos milite pour Galtier. Ça ne part pas sur les meilleures bases. »

En attendant de désigner l'heureux élu pour le banc parisien, Luis Campos a commencé son œuvre. Plusieurs noms ont filtré dans la presse comme des profils suivis par le recruteur portugais : Milan Skriniar (Inter Milan), Gianluca Scamacca (Sassuolo), Lovro Majer (Rennes) ou encore Seko Fofana (RC Lens). Son compatriote Antero Henrique serait également impliqué dans le projet. Reste à savoir si ce tandem, qui a fait les beaux jours du FC Porto, permettra au PSG de voir ses rêves européens aboutir. « On était sur un poste de l'ombre à Porto pour Campos : celui qui récoltait toute la lumière, c'était Antero Henrique. Mais quand Luis Campos est parti en premier du club, on a de suite senti une baisse de compétences. Au niveau de l'achat, de la revente et des joueurs ciblés, tout le monde a loué son bon travail », conclut Alex de Castro. Dans tous les cas, le grand chantier estival a bien démarré du côté de la capitale.


https://www.lepoint.fr/sport/la-methode ... 929_26.php
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Maximilien Straus » 17 Juin 2022, 14:19

Très curieux de voir ce que ça va donner.

C'est pas la première fois qu'une arrivée dans ce club soulève de l'optimisme (le retour de Leonardo était vu comme la fin de la recrée et une reprise en main du club...)

La, les choix sont importants dans le pouvoir donné à Mbappé, cet attelage DS-coach qui se connaît et des premières pistes qui sentent moins le marketing que la plus value sportive.

Rendez vous en 8eme pour se moquer...
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Messagepar spy » 17 Juin 2022, 14:55

Maximilien Straus, j’espère tellement.
Je compte vraiment sur city…
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Messagepar ruby » 17 Juin 2022, 15:14

Foot : avocat de la Liga, Juan Branco réclame l'abrogation du contrat de Mbappé

https://www.lefigaro.fr/sports/football ... e-20220617

Mais qu’est ce qu’il est con celui-là :nawak:
Enveloppe vue à la télé ! Existe aussi en petits formats et courrier suivi.

"Le silence est un hommage que la parole rend à l'esprit." @Louis Lavelle
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Messagepar spy » 17 Juin 2022, 16:39

Viva el grande Juan Branco
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Re: [PSG 2021-2022] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 17 Juin 2022, 18:27

Information
LEONARDO « Il n’y a pas de bonne manière de dire que c’est fini  »

Démis de ses fonctions de directeur sportif du PSG il y a un mois, le Brésilien revient sur son départ et défend son bilan. Où il place très haut le fait d’avoir recruté Lionel Messi. JOSÉ BARROSO et DAMIEN DEGORRE

Les événements récents n’ont pas altéré sa bonne humeur. Silencieux depuis sa brutale éviction du Paris-SG, le 21 mai, Leonardo a accepté hier de revenir sur son histoire avec le club de la capitale. Pendant plus d’une heure, autour d’un café, le Brésilien a laissé les mauvais sentiments au vestiaire et préféré se souvenir des belles choses. Avec le souci répété de ne pas commenter les choix faits par ses dirigeants. « Pour une fois, je ne veux pas parler du club, je veux parler de moi et de mon rapport au club », explique-t-il.

SON ÉVICTION

« Je pars avec zéro amertume »

« Pourquoi votre départ n’a-t-il jamais été officialisé par le PSG ? Était-ce votre choix ? On en a parlé avec le club. Sans doute est-ce ma manière d’être, mais je trouve toujours un peu pathétique de dire “merci beaucoup, au revoir…” Ce n’était pas important de faire un communiqué. Mon rapport au PSG a toujours été lié à une émotion trop forte. J’y suis arrivé comme joueur à un moment (en 1996) où le club était en ébullition, l’équipe avait gagné la Coupe des Coupes (C2), j’ai vécu un an très intense. Si je suis revenu ici en 2011, c’est parce que j’avais porté ces couleurs. Il y avait de l’affectif au moment d’arriver, au moment de partir et, même là, au moment de couper, maintenant.

Avez-vous senti que ce serait la fin, au soir de PSG-Metz (5-0, le 21 mai) ? Quand il y a une défaite importante comme celle du Real Madrid, en Ligue des champions (1-0, 1-3, en 8es de finale), cela suscite toujours une émotion énorme. (Il marque un silence.) Mais je ne veux retenir que le positif. Si on parle de ces trois dernières années, on peut parler de beaucoup de choses. Bon, il y a eu le Covid au milieu. C’était bizarre. Cette période a pas mal influencé le reste. Mais le reste, ce sont des choses positives.

Pourquoi changer si c’est positif ? Je pense que ce sont des cycles. Peut-être les rapports sont trop intenses et cela implique de changer très vite. Cela n’arrive pas qu’au PSG. Ça change beaucoup, partout. Il y a peut-être de l’impatience, aussi. Le football est devenu encore plus important, plus mondial. Et quand il atteint une telle dimension, cela bouge.

Votre départ intervient aussi le soir de la prolongation de Kylian Mbappé. Y a-t-il un lien de cause à effet, selon vous ? Non. C’était la fin du Championnat et c’était peut-être le moment de décider des choses pour le futur.

On ne vous a pas dit que votre départ était une condition pour qu’il prolonge ? Non, on ne m’a pas dit ça. Mais je ne veux pas entrer dans ce genre de choses. Et le fait d’avoir gardé un joueur de ce niveau-là, français et parisien, est important pour le PSG et la L1.

Savez-vous pourquoi vous partez ? Vous a-t-on donné une explication ? Certaines choses qui se disent en interne doivent rester en interne. C’est ce que j’ai vécu avec le club. Quand on veut se séparer de vous, il n’y a pas de bonne manière de dire que c’est fini.

Mais il y a peut-être un bon timing. Le faire le soir où vous fêtez le titre et la prolongation de Mbappé peut paraître choquant… C’est votre jugement. Juger une décision est plus facile que prendre la décision. Être à un poste de décision n’est pas facile. C’est un poste solitaire. OK, tu as pris une décision, tu vas peut-être choquer, mais c’est ta décision. Tout le monde est un peu sous pression. Tout le monde est dans la difficulté, dans la course.

Aviez-vous l’envie de poursuivre cette aventure ? Oui. Ça oui. Mais je comprends que ce soit des choses qui arrivent. Il y a des situations inattendues qui se produisent, c’est ainsi. Je suis très pragmatique. Trois ans dans le foot, aujourd’hui, c’est énorme.

Cela peut aussi paraître court pour installer ses idées. C’est vrai, mais je pense que le PSG a ses idées.

Partez-vous sans amertume ? Je pars avec zéro amertume ! Honnêtement, zéro ! Après, j’ai ma vision. Mais ce n’est pas le jour de s’épancher. C’est celui de remercier le Qatar et Paris de m’avoir offert cette opportunité. Et je ne le fais pas par démagogie.

Cela risque pourtant d’être interprété de la sorte, non ? Comme si vous prépariez un troisième retour, que l’histoire n’était pas terminée… (Il se marre.) Non, non, non. Ce n’est pas ce que je cherche. Vous savez, il s’est passé quatorze ans entre mon premier départ (comme joueur) et mon retour. Puis six ans entre 2013 et 2019. Je ne suis pas dans l’optique de ne pas insulter l’avenir. Je vais avoir 53 ans en septembre. Si j’attends six ou sept ans avant de revenir, j’en aurai 60, ça risque d’être problématique. (Il rigole.) Je veux parler du côté positif de mon passage parce que c’est ce que je retiens. »

SON BILAN

« Même les dirigeants sont moins forts que le club »

« Quand vous dressez votre bilan de ces trois dernières années, quelle est votre conclusion ? Très bien, bien, peut mieux faire ? On aurait pu mieux faire, on peut toujours mieux faire. Mais j’ai vécu deux étapes très claires. La première, en 2011, était celle de la construction. On partait d’une feuille presque blanche. Mais là, c’était différent. On a eu l’opportunité de faire quelque chose d’exceptionnel et c’est pour ça que je me dois de remercier le Qatar. J’ai vécu quelque chose de très intense. L’idée était de construire quelque chose qui reste même quand tu n’es plus là.

Le défi était-il plus grand la deuxième fois ? La deuxième fois, le PSG était déjà une équipe compétitive en C1. C’était le moment de changer certaines choses et on arrive en finale (en 2020). On perd dignement contre le Bayern Munich (0-1). Ensuite, on perd contre Manchester City en demi-finales (1-2, 0-2). Et si on regarde les joueurs qu’on a fait venir… Qui a vécu ça ? Qui a eu l’opportunité de vivre ces émotions ? C’est un privilège.

À la pause du match retour contre le Real (Paris mène encore 1-0), le 9 mars, qu’est-ce que vous vous dites ? On ne se dit rien parce qu’on connaît le football. On est confiants, oui, comme l’était Chelsea en quarts (éliminé après prolongation, 1-3, 3-2 a.p.) ou Manchester City en demies (4-3 puis 1-3 en menant encore 1-0 à la 89e minute)… C’est un sujet auquel on doit réfléchir, d’ailleurs : pourquoi arrive-t-il autant de remontadas ?

Pourquoi, selon vous ? Je pense que c’est lié à deux éléments. Aujourd’hui, tu as tellement de choses autour du foot, tellement de choses dans la tête, qu’il n’est pas facile de garder la concentration pendant plus de quatre-vingt-dix minutes. Les joueurs représentent beaucoup de choses, il y a une entreprise derrière, de gros enjeux. Quand j’étais joueur, le contexte était moins lourd, aujourd’hui c’est difficile. Le second élément, ce sont les nouveaux usages. Ce n’est pas possible de se passer tout le temps le ballon devant ton but sans risque. Et quand tu encaisses un but comme ça, tu continues…

Avec votre mercato 2021, tout autre résultat qu’une finale aurait été un échec, non ? On était favoris. Bien sûr. Tu fais un recrutement important, c’est normal.

Avec le recul, était-il équilibré ? Bon, je ne veux pas entrer dans ces questions-là. Je pense que le recrutement était énorme. Honnêtement, il est lié au Covid. Normalement, tu n’as pas de tels joueurs libres à disposition. Après, on a choisi de les faire. Mais si tu gagnes contre le Real…

Estimez-vous que le PSG est trop jugé à la lumière de ses résultats en C1 et pas assez à travers de ce qu’il construit ? Il y a deux jugements. Le jugement national, par ceux qui suivent, observent, vivent, sentent le club au quotidien. Et il y a un jugement international, par ceux qui voient au niveau macro. Au niveau macro, le PSG est énorme. Il est dans le groupe d’élite mondial, c’est indiscutable.

Vous avez souvent répété que les clubs devaient être plus forts que les joueurs qui les composent. Avez-vous réussi à l’obtenir au PSG ? Il y a toujours des hauts et des bas. Évidemment que c’est ce que je pense et, moi, quand je regarde le club, je regarde vers le haut. Même les dirigeants sont moins forts que le club. Moi, je me suis toujours mis dans une position de protection du club. Toutes mes décisions ont été prises dans cette optique.

Pour défendre l’institution, vous avez mené un combat cette saison contre les réseaux sociaux. N’est-ce pas perdu d’avance ? Je le pense, en effet. Ça fait partie de la vie des gens, on ne reviendra pas en arrière. Bientôt, on va avoir des joueurs qui n’ont jamais vécu sans ça. Et ce ne sont pas seulement les joueurs, c’est tout le monde autour.

Vous allez devoir ouvrir un compte Instagram… Mais j’en ai un ! Je ne mets pas de photos, mais ça me permet de regarder les autres. C’est quand même un espace où tu peux observer ce qu’ils mettent.

Quand vous avez pris la parole, en fin de saison, vous avez dit : “On a fait des erreurs.” Lesquelles ? Je pense qu’on aurait pu marquer plus le coup. Il y avait des moments où on se disait que c’était peut-être mieux d’attendre ou que c’était mieux d’avancer.

Dans la communication ? Pas seulement. Au quotidien, aussi. Après, on a fait aussi un recrutement l’été dernier, souvenez-vous, tout le monde était content. Quand arrivent trois jeunes talents comme Hakimi (alors 22 ans), Nuno Mendes (19 ans) et Donnarumma (22 ans à ce moment-là), Ramos, Wijnaldum et Messi, tu te dis : qu’est-ce que c’est, ça ? Tout le monde l’a dit. Puis tu perds en huitièmes de finale (de C1), on dit : “C’est nul, c’est la gestion, c’est le groupe…” C’est vrai aussi que je pense qu’il y a eu des moments de fatigue. La saison de Covid a eu un impact sur celle d’après. Moi, j’ai eu le Covid deux fois et il m’arrive de le ressentir encore. Alors, oui, peut-être qu’on aurait pu parfois plus marquer le coup. On ne sait jamais. Il y a des moments où tu vas intervenir et l’influence n’est pas bonne. Il y a des moments où tu restes dehors et il va peut-être manquer quelque chose. Mais quand même : à la fin, on a fait Messi ! On peut dire ce qu’on veut.

Vous y attendiez-vous ? Non ! On y avait pensé, oui. On en avait parlé. Mais Messi n’avait jamais trop pensé à partir. Ce sont les derniers moments, avant son arrivée, qui ont été déterminants. Après, tout devient un peu normal mais put…, tu as réalisé la seule mutation de Messi dans sa carrière ! Alors, oui, je remercie. Messi, il n’y a rien de plus que ça. Chronologiquement, il y a Pelé, Maradona, Messi. Il est dans l’Olympe. Donc quand je dresse mon bilan de trois ans, je vois une finale de C1, une demi-finale, le 10e titre de champion, sept trophées nationaux (1) et je rajoute Messi.

De quoi êtes-vous le plus fier ? C’est toujours de revenir ici. Et je ne dis pas ça pour revenir une quatrième fois. (Il sourit.) Je sais qu’ici, en France, il y a beaucoup de décryptages : “Il a dit, ça mais il pense autre chose.” Mais honnêtement, je n’ai aucun intérêt. Ce qui compte, c’est ma relation avec le club.

Diriez-vous que c’est mission accomplie ? Ça y ressemble. Quand je sors dans la rue, aujourd’hui, je vois des gens qui me disent : “Ah, qu’est-ce que c’est dommage !” Bon, peut-être qu’ils disent ça maintenant, parce que je pars. (Il éclate de rire.) Mais c’est le sentiment que j’ai.

Les ultras ne disaient pas ça au Parc des Princes (2)… D’abord, les ultras n’ont rien fait d’agressif. Ils ont juste donné un coup silencieux. Je respecte. Les banderoles contre moi ? OK, je comprends. C’est un sentiment. Après c’est au club de décider.

On vous a aussi reproché de n’avoir pas été efficace en termes de ventes. Est-ce impossible de vendre des joueurs à Paris ? Non. Mais tu ne peux pas tout avoir. C’est une chaîne. C’est un club qui prend des risques au niveau des investissements. Dans les autres clubs, tu as les mêmes soucis. Si tu paies un joueur important un montant important, si ça va mal c’est compliqué. Même si c’est un joueur moyen, c’est difficile. Après, ce n’était pas un moment propice aux ventes car personne ne pouvait acheter. Mais sincèrement, je ne pense pas que je pars du club parce qu’on n’a pas vendu. Ça fait partie d’un ensemble de choses. »

(1) Deux titres de champion, deux Coupes de France, une Coupe de la Ligue et deux Trophées des champions. (2) Des banderoles, comme “Mbappé à Paris, Leonardo au pilori” avaient été affichées contre Bordeaux (3-0) le 13 mars. Il avait déjà été visé face à Rennes (1-0) le 11 février.

SON HISTOIRE AVEC LE CLUB

« Ça ressemble à quelque chose d’accompli »

« Pour la première fois, vous quittez le PSG malgré vous. Est-ce douloureux ? Un peu, forcément. Dire adieu et on ne se voit plus, c’est normal. Mais la situation est tout à fait compréhensible. Et si cela n’avait pas eu lieu cette année, cela se serait produit l’année prochaine ou dans deux ans. C’est difficile de penser à quinze ans, aujourd’hui. Alors, oui, ça ressemble à quelque chose d’accompli. Après tout ce que j’ai vécu ici, comme joueur puis dirigeant, non, je n’ai pas le droit.

Pas le droit de quoi ? De vous plaindre ? Pas le droit de ne pas être heureux. Cela a été des émotions très fortes.

En quoi le club a-t-il changé en onze ans ? C’est le regard que les gens portent sur le club qui a changé. Avant, faire venir les joueurs était une mission. Là, il y a la queue. Il y a deux moments très marquants pour moi, même si je n’aime pas séparer les événements. Le premier, c’est la signature, le même jour, de Verratti et d’Ibrahimovic (en 2012). Ce n’était pas une coïncidence que le jeune (19 ans) de D2 italienne (Pescara) et une star du foot mondial arrivent en même temps. Le second, c’est Messi (l’été dernier). Ce sont deux dates énormes.

Dans dix ans, que dira-t-on du passage de Leonardo ? Un sentiment de complicité et d’amitié. Même si tu fais des choses bien, tu gagnes, tu perds. Je me considère comme un mec qui était à la disposition totale du club.

De tous les clubs que vous avez connus, est-ce le PSG qui vous a le plus marqué ? Bon, j’ai été à l’AC Milan treize ans, joueur (1997-2001 et 2002-2003), entraîneur (2009-2010) et dirigeant (2003-2009 puis 2018-2019). C’était ma formation comme dirigeant. (Adriano) Galliani m’a donné une opportunité rare dans le foot. Il m’a mis à côté de lui, j’ai fait une université à ses côtés. J’ai vécu six ans en regardant la personne qui décidait tout sans le poids de la responsabilité dans un club qui gagnait tout. En me permettant d’apporter ma voix, d’agir aussi, car on a fait Kaka, Thiago Silva, Pato, Rivaldo… Le Milan, c’était la constance au plus haut niveau. Après, je pense que Paris m’a donné les émotions les plus contrastées.

Quelle personne vous a le plus marqué au PSG ? C’est l’émir (Tamim ben Hamad al-Thani). J’ai beaucoup de gratitude pour lui. »

SON AVENIR

« Sans l’adrénaline, c’est dur »

« Qu’est-ce qui va vous manquer ces prochains jours ? Je me sens avec beaucoup d’énergie. J’ai envie de faire des choses, pas nécessairement comme directeur sportif. Après un certain âge, c’est bien de faire des choses intéressantes. (Sourire.) Après mon départ, les retours que j’ai reçus du monde du foot ont été très positifs. Des personnes qui me proposaient de travailler avec elles, etc.

Avez-vous envie d’entraîner ? Non. Je ne peux pas revenir. La dernière fois que j’ai entraîné – à part quelques mois à Antalyaspor en 2017 où je n’avais pas réussi à dire non à un jeune président –, ça remonte à 2011. Aujourd’hui, je suis plus un dirigeant : ma manière d’être, mon goût pour la gestion. Tu peux faire beaucoup de choses.

On parle de vous au Valence CF… Il n’y a rien de concret. Ça a parlé un peu, comme ça, mais rien de plus. Le fait qu’on parle de moi là-bas me fait plaisir. C’est un autre club où j’ai joué (1991-1993). J’ai été dirigeant ici (à Paris), à Milan, deux clubs où j’ai joué. Le fait d’avoir joué dans un club est quelque chose de positif.

Pourriez-vous travailler dans un autre club français ? Il y a quelques années, Jean-Michel Aulas vous avait contacté, non ? C’est vrai. Mais je pense que ce serait difficile. Me voir comme dirigeant d’un autre club français important comme Lyon, ce serait compliqué. Aulas est là depuis trente-cinq ans, j’en profite pour le féliciter parce que tout ce qu’il a fait est énorme. Quand on connaît la complexité de tout ça, sa persévérance, ses idées, chapeau !

Y a-t-il des décisions que vous regrettez, au cours de ces trois dernières années ? Bien sûr. Enfin, pas des regrets, car ce que je viens de dire vaut pour moi aussi. Quand je prends une décision et que je me trompe, on le sait après. Ça fait partie du jeu. Le football est comme ça. On a pris mille décisions sur une période où une entreprise classique aurait peut-être mis trois fois plus de temps à prendre autant de décisions. C’est pour ça que j’ai vécu ça sans cette inquiétude de tout bien faire ou de tout rater.

Est-ce difficile de prendre une décision et de se dire qu’on va sans cesse être jugé ? Non, parce que ça, c’est le mieux !

Ah bon ? Vous aimez être jugé ? C’est pour cette pression que tu fais ça. Si tu l’enlèves, personne n’irait ! Sans l’adrénaline, c’est dur. J’ai connu des moments où il y en avait moins et honnêtement, ça te manque. J’aime cette frénésie, ta-ta-ta-ta, quand ça n’arrête pas.

Cela va-t-il vous manquer qu’on ne parle plus de vous dans les journaux ? Je pense que d’une manière ou d’une autre, vous allez parler, même pour dire que j’ai tout raté ou que c’était ma faute avant. (Rires.) J’ai toujours vécu ça tranquillement. La période que j’ai vécue en passant de l’AC Milan à l’Inter (en 2010), c’était bien pire. »

L'Equipe
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