Information
Cinq groupes de supporters menacés de dissolution
Le gouvernement envisage la dissolution de cinq groupes de supporters de Ligue 1 et Ligue 2 pour lutter contre les violences dans les stades. Parmi eux, les Green Angels, les Magic Fans et Brigade Loire, des groupes importants. Une commission examinera leurs arguments avant toute décision. Cette mesure suscite des tensions et pourrait exacerber le conflit entre autorités et supporters ultras.
Face à la recrudescence des violences dans les stades, le gouvernement a décidé de durcir le ton. Une circulaire interministérielle, envoyée aux préfets ce jeudi, marque une nouvelle étape dans la lutte contre les débordements liés aux supporters. Selon Le Parisien, cinq groupes majeurs de Ligue 1 et Ligue 2 risquent désormais la dissolution par le ministère de l'Intérieur.
Parmi les groupes concernés, on retrouve les Offenders (Strasbourg), les Magic Fans et les Green Angels (Saint-Étienne), la Légion X (Paris FC) et la Brigade Loire (Nantes). Certains de ces groupes sont particulièrement surveillés depuis des incidents récents, notamment la tentative d’envahissement de terrain lors du match Nantes-Havre (0-2) en novembre dernier.
Cette mesure fait suite à une enquête approfondie du ministère de l'Intérieur, qui avait initialement identifié neuf groupes potentiellement concernés avant de réduire la liste à cinq. À noter que les clubs eux-mêmes n’ont pas été consultés dans ce processus.
Une possibilité de défense avant la décision finale
Avant qu'une décision définitive ne soit prise, les groupes visés auront néanmoins l'opportunité de se défendre. Une commission, composée de huit membres, a été désignée ce vendredi pour examiner leurs arguments.
Si la dissolution est confirmée, ces groupes ne pourront plus opérer sous leur nom, organiser de déplacements officiels ou afficher leurs couleurs dans les stades. Cette initiative, bien que visant à garantir la sécurité des rencontres, risque de provoquer une levée de boucliers chez les supporters et d'alimenter les tensions entre les autorités et les groupes ultras.
Le Phocéen
Le gouvernement envisage la dissolution de cinq groupes de supporters de Ligue 1 et Ligue 2 pour lutter contre les violences dans les stades. Parmi eux, les Green Angels, les Magic Fans et Brigade Loire, des groupes importants. Une commission examinera leurs arguments avant toute décision. Cette mesure suscite des tensions et pourrait exacerber le conflit entre autorités et supporters ultras.
Face à la recrudescence des violences dans les stades, le gouvernement a décidé de durcir le ton. Une circulaire interministérielle, envoyée aux préfets ce jeudi, marque une nouvelle étape dans la lutte contre les débordements liés aux supporters. Selon Le Parisien, cinq groupes majeurs de Ligue 1 et Ligue 2 risquent désormais la dissolution par le ministère de l'Intérieur.
Parmi les groupes concernés, on retrouve les Offenders (Strasbourg), les Magic Fans et les Green Angels (Saint-Étienne), la Légion X (Paris FC) et la Brigade Loire (Nantes). Certains de ces groupes sont particulièrement surveillés depuis des incidents récents, notamment la tentative d’envahissement de terrain lors du match Nantes-Havre (0-2) en novembre dernier.
Cette mesure fait suite à une enquête approfondie du ministère de l'Intérieur, qui avait initialement identifié neuf groupes potentiellement concernés avant de réduire la liste à cinq. À noter que les clubs eux-mêmes n’ont pas été consultés dans ce processus.
Une possibilité de défense avant la décision finale
Avant qu'une décision définitive ne soit prise, les groupes visés auront néanmoins l'opportunité de se défendre. Une commission, composée de huit membres, a été désignée ce vendredi pour examiner leurs arguments.
Si la dissolution est confirmée, ces groupes ne pourront plus opérer sous leur nom, organiser de déplacements officiels ou afficher leurs couleurs dans les stades. Cette initiative, bien que visant à garantir la sécurité des rencontres, risque de provoquer une levée de boucliers chez les supporters et d'alimenter les tensions entre les autorités et les groupes ultras.
Le Phocéen
C'est positif. Il faudrait faire pareil avec les groupes légèrement racistes ou un peu nazillons...
