MassaliaLive.com

[negrOM]

[Arno26]

Non il a eu le covid récemment
Mais toute personne venant du UK doit faire 7 jours de quarantaine (même si c’est pas le cas puisqu’il s’entraîne). Mais le club ne prend pas le risque de le faire jouer

[Dragan]

[Dragan]

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ALLUMEZ LE COUVRE-FEU

L’OM veut sortir de la crise, le PSG veut se roder avant la Ligue des champions : ce centième Classique de l’histoire est une affiche à ne pas manquer. MÉLISANDE GOMEZ

Au bout d’une semaine où les droits télé ont investi l’essentiel des conversations, l’heure est enfin venue, ce soir, de s’installer dans le canapé pour regarder un match de football. On n’attendra pas les appels d’offres mais les appels tout court, on ne voudra pas de gré à gré mais on espère des face-à-face, on n’est pas sûr qu’on en aura pour notre argent mais qu’importe, puisque c’est une affiche indémodable qui résiste à tout.

Même amputé de pas mal de son suspense, après l’arrivée de QSI dans le panorama de notre Ligue 1, le PSG ayant battu l’OM dix-huit fois sur vingt-trois depuis qu’il navigue sous pavillon qatarien, le Classique à la française met l’eau à la bouche. Il sera privé d’un décor à la hauteur de son histoire, cette fois, dans un stade Orange-Vélodrome à huis clos qui nous rendra nostalgique des virages chantants et des banderoles acides, mais il garde son sel et son soufre, parce que les épisodes précédents ont un peu réveillé le feuilleton (voir page 12).

Pour aborder ce centième match entre les deux clubs, il faut se souvenir du 98e, cette première manche au Parc des Princes où des Parisiens à peine remis du Covid-19 avaient été battus (0-1) par des Marseillais déterminés, qui n’avaient pas encore été ramenés sur terre par leur triste campagne de Ligue des champions. Il n’y avait pas eu beaucoup de football ce soir-là, pour ce choc précoce, placé très tôt dans le calendrier, comme une faveur à la toute nouvelle chaîne Téléfoot, qui y voyait l’occasion de faire le plein d’abonnés.

Une chance pour deux

Le pari du nouveau diffuseur n’a pas fonctionné, vicié dès le départ par le cynisme des uns et l’aveuglement des autres. Mais la soirée a laissé des souvenirs et pas que des bons, de l’entrée de Paredes, tous crampons dehors, à ce final déplorable où les cartons rouges ont plu comme l’averse, en passant par le crachat de Di Maria ou les échanges Neymar- Gonzalez. À défaut de spectacle, ces étincelles ont rappelé que les braises ne s’éteignent jamais complètement entre l’OM et le PSG. Ce qui ne garantit pas que l’affaire s’envenime à chaque fois, heureusement : pour le Trophée des champions, il y a trois semaines, il n’y eut pas de débordement, ni de grand match non plus, et le PSG avait gagné (2-1).

Il sera encore le favori, ce soir, dans une rencontre aux allures d’aubaine, pour les uns et les autres. Après les journées qu’il vient de traverser, l’OM aborderait presque ce choc comme un petit bol d’air, l’occasion de se replonger sur la verte pelouse sans trop de pression sur les épaules. Logiquement secoués par la visite musclée de certains ultras à la Commanderie, samedi dernier, puis par le départ inattendu de leur entraîneur André Villas-Boas trois jours plus tard, les Marseillais n’ont pas grand-chose à perdre : ils sont déjà loin de leur objectif de podium et une défaite tomberait sous le coup d’une certaine logique sportive.

Neymar devrait en être

Elle ne ferait pas plaisir à leurs supporters, évidemment, mais leurs griefs sont ailleurs de toute façon, complètement tournés vers leur président : même un hat-trick de Jacques-Henri Eyraud, qui reste hautement improbable, ne suffirait pas à adoucir les rancœurs. Un bon résultat, en revanche, esquisserait la reprise d’une marche avant. L’OM n’a plus gagné depuis plus d’un mois, mais il a pris un point encourageant à Lens mercredi (2-2), comme le signal d’une équipe qui veut s’éloigner un peu du tumulte récent.

Pour le PSG, l’occasion sera belle de trouver des certitudes et de s’offrir une répétition générale, à dix jours du retour de la Ligue des champions et d’un voyage à Barcelone qui peut toujours réveiller quelques fantômes. Après un peu plus d’un mois à la tête de l’équipe, Mauricio Pochettino a lancé le chantier et on devine, par à-coups, où il veut en venir dans l’animation offensive.

Il lui faudra du temps pour parfaire la partition mais, en attendant, il doit quand même gagner, dans un Championnat où il a trouvé des concurrents coriaces sur la route du titre. Déjà battu cinq fois, Paris ne peut plus traîner s’il veut aborder le printemps avec les idées claires. Il devrait pouvoir compter sur Neymar, bien remis de sa fête d’anniversaire, anticipée à jeudi soir, mais touché par une gastro-entérite qui l’a privé de l’entraînement d’hier.

Le Brésilien a fait le déplacement, en tout cas, et les Marseillais devront serrer les rangs pour résister aux éclairs. Nasser Larguet, propulsé sur le banc par les turbulences à l’OM, le résume ainsi : « Ce match, c’est notre Champions League en Championnat. » Ce qui, en vérité, n’est pas forcément de très bon augure pour les Marseillais.

L'Equipe

[Jester]

[fourcroy]

J'aime bien Mélisande Gomez. C'est bien écrit et plein de tacles sans avoir l'air d'y toucher.

[Dragan]

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Ça ne manque plus de piquant

Les matches OM-PSG n’avaient plus beaucoup d’intérêt sur le terrain et en coulisses. Mais certains acteurs ont ravivé la rivalité entre les deux clubs ces derniers mois. BAPTISTE CHAUMIER et ARNAUD HERMANT

Les Marseillais et les Parisiens se retrouvent pour la troisième fois de la saison, ce soir, cette fois à l’Orange Vélodrome, et il y a comme un frémissement, une attente, même pour un match qui se disputera à huis clos. L’écart sportif entre les deux équipes est toujours aussi important avec d’un côté les stars parisiennes et de l’autre des joueurs olympiens encore groggys par la crise sans fin qui les frappe sur tous les terrains depuis le début de l’année.

Mais la différence de niveau semble s’être un peu atténuée au fil des derniers mois. Vainqueurs de leurs rivaux (1-0, le 13 septembre) pour la première fois depuis dix ans, en Championnat, Steve Mandanda et ses coéquipiers se sont inclinés de peu lors du Trophée des champions (1-2, le 13 janvier, à Lens).

Cette troisième manche a donc un enjeu symbolique et le décor est parfait aussi : ce sera la 100e confrontation (1) entre les deux équipes, toutes compétitions confondues, et elle sera diffusée en prime time sur Canal +, la chaîne qui avait été, avec Bernard Tapie, à l’origine de cette rivalité au début des années 90.

Les Parisiens avaient tendance à prendre le Classique avec peut-être moins de considération que les rendez-vous face à Lyon

C’est un profond changement après des années un peu fades. À cause d’un écart sportif abyssal entre l’OM et le PSG et de coups tactiques parfois fumeux, sous Rudi Garcia notamment, les Classiques avaient perdu de leur saveur pour les supporters et même pour les joueurs. Malgré la grande rivalité entre les deux clubs, en raison de l’archi-domination du PSG, les Parisiens avaient tendance à prendre le Classique avec peut-être moins de considération que les rendez-vous face à Lyon, rival plus constant avec un président (Jean-Michel Aulas) toujours prêt à allumer la mèche par médias interposés.

La sortie de Kylian Mbappé après un match de C1 et juste avant un Classique en 2017 illustrait assez bien la donne de l’époque. En substance, l’attaquant avait déclaré : « Les matches de Coupe d’Europe nous importent plus que ceux contre l’OM. » L’international s’était vu reprocher ses mots au terme d’un match où les Marseillais avaient cru enfin tenir leur première victoire (2-2, égalisation de Cavani dans le temps additionnel) et où lui était passé complètement à côté.

Avant son premier Classique, en octobre 2019 (4-0 pour le PSG), André Villas-Boas avait dit à peu près la même chose que le champion du monde 2018, mais vu de la Commanderie cette fois. « Tu prends les dix dernières années de Paris-SG - OM, cela fait 23 matches, 17 défaites, avait constaté « AVB ». Un vrai Clasico comme Benfica-FC Porto ou Real Madrid-FCBarcelone, parfois tu gagnes, parfois tu perds. Pour OM-PSG, en dix ans, il y a 1 milliard d’euros de différence en investissements, le fossé entre les équipes est abyssal. On ne va pas à Paris pour participer à la fête du PSG. » La sortie du technicien portugais lui avait été reprochée et il avait abordé ce match différemment en septembre dernier.

Un match aller électrique

C’est peut-être justement cette rencontre qui a réveillé la rivalité entre les deux clubs et révélé de nouveaux acteurs, aussi, à commencer par Dimitri Payet. Le Réunionnais avait relayé une vidéo sur les réseaux sociaux après la défaite du PSG en finale de la Ligue des champions, deux semaines plus tôt (0-1 contre le Bayern). L’étoile sur le maillot – synonyme de victoire en C1 pour les supporters marseillais – était donc toujours brodée sur celui de l’OM, pas celui du PSG. Payet n’a pas regretté ses chambrages à répétition. Il le disait même dans ces colonnes, le 16 décembre : « Ça fait partie du jeu, il ne faut pas le prendre au premier degré. […] Après, quand on est chambreur comme moi, si tu es susceptible, t’es mal. Parfois, ça va un peu loin. Mais c’est parce que c’est l’OM, c’est moi. Je l’accepte. Je sais encaisser. »

Et il a appris à le faire lors du match aller en Championnat où il a été clairement ciblé par les Parisiens. La rencontre a été explosive et elle a laissé des traces pendant des semaines, entre la joie démonstrative des Marseillais sur la pelouse du Parc des Princes, les expulsions en cascade (2), les accusations de racisme de Neymar à l’encontre d’Alvaro Gonzalez ou celles de l’OM à l’encontre de Neymar pour des propos supposés adressés à Sakai. La commission de discipline a tenté de trancher et elle n’a arbitré que les faits de jeu.

Dans ce contexte, le Trophée des champions était un rendez-vous important pour les joueurs parisiens. Entre eux, ils avaient coché ce match, d’où les célébrations un brin exagérées en fin de rencontre. Visé par des interventions rugueuses d’Alvaro Gonzalez, Neymar avait chambré avec la caméra après son penalty puis sur les réseaux sociaux.

Avant ce nouveau rendez-vous, les deux équipes ne ressemblent plus du tout à ce qu’elles étaient en septembre, avec un nouveau coach sur le banc du PSG (Mauricio Pochettino) et un intérimaire sur celui de l’OM (Nasser Larguet). Les Parisiens, même inconstants, sont toujours accrochés au wagon de tête (3es) que les Marseillais (9es) ont lâché au fil d’une série de mauvais résultats. Mais dans un climat électrique, Payet et ses coéquipiers savent comment s’offrir un peu de répit : avec une victoire contre le rival honni.

L'Equipe

[Dragan]

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PSG; Florenzi : «Faire le meilleur match de notre vie»

Alessandro Florenzi, le défenseur du PSG, a conscience de l'importance du Classique avant d'affronter l'OM dimanche (21 heures). Alessandro Florenzi, défenseur du PSG, avant d'aller affronter l'Olympique de Marseille dimanche (21 heures) pour la 24e journée de Ligue 1 : « Je m'attends à un match difficile, comme toujours. C'est un Classique. Il faut faire le meilleur match de notre vie. Nous voulons gagner ce match pour le classement mais aussi pour la valeur qu'a ce match aux yeux des supporters de Paris. « Nous sommes une grande équipe et tout le monde joue à 1 000 % contre nous » Nous allons jouer ce match comme les autres. Nous sommes une grande équipe et tout le monde joue à 1 000 % contre nous car nous sommes la meilleure équipe en France, selon moi. Mais cela, nous devons le confirmer jour après jour. Et demain (dimanche) nous devons faire un grand match. Eux voudront faire le match de leur vie et nous, nous voulons gagner.

lire aussi La 24e journée de Ligue 1 Je me sens bien avec l'équipe. C'est un bon groupe, un groupe de vainqueurs. C'est une équipe qui veut gagner chaque match et c'est ce que j'aime le plus. Je me sens bien. J'ai passé une grande partie de ma carrière à la Roma, ici c'est une nouvelle expérience et je profite de chaque jour que je passe ici. » Pochettino : « Un match contre l'OM, c'est toujours spécial »

(L'Equipe)

[Dragan]

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FRÉDÉRIC DÉHU; "Paris n'a pas oublié"; L'ex-défenseur estime que le PSG voudra "effacer la défaite" du match aller. Malgré sa victoire au Trophée des champions,

Quel regard portez-vous sur la situation actuelle de l'OM ?

Franchement, j'ai du mal à me positionner. Malheureusement, on voit que le club est assez fragile. Sur le plan sportif, je pense qu'il n'y avait rien d'alarmant, d'autant plus qu'avant ce qu'il s'est passé, l'OM avait deux matches de retard, même si c'est vrai que l'équipe était sur une mauvaise dynamique. Mais c'était surtout par rapport au contenu des rencontres qu'on pouvait se poser des questions. Après, concernant le contexte extra-sportif, c'est difficile de porter un jugement de l'extérieur car on n'a pas tous les tenants et les aboutissants. Le contexte marseillais est toujours à la limite de l'explosion. Ce qui s'est passé par rapport aux supporters et à la démission de l'entraîneur (André Villas-Boas, ndlr) a tout fait exploser.

Les joueurs ont-ils "lâché" André Villas-Boas ?

Je ne sais pas, j'ai du mal à croire qu'on puisse, en tant que joueur, baisser les bras, rendre les armes et se désolidariser d'un entraîneur, surtout que quand on lit les déclarations, les joueurs l'appréciaient. Maintenant, c'est vrai que les attitudes qu'on a pu voir pendant la première période à Lens étaient différentes. Mais je mettrais ça plutôt sur le compte d'une réaction d'orgueil, qu'on n'a pas retrouvé d'ailleurs en seconde période. Je pense aussi que le coach artésien (Franck Haise, ndlr) a fait le nécessaire pour donner un coup d'allant à son équipe, qui est revenue au score en toute logique.

Comment avez-vous jugé le premier match de Nasser Larguet sur le banc de touche olympien ?

Je ne pense pas qu'on puisse porter un jugement. Il a été mis à disposition de l'équipe première la veille ou l'avant-veille au soir, il a donc eu très peu de temps pour mettre en place ses idées et je pense qu'il a surtout insisté sur la notion de plaisir. Après, c'est le talent de chacun qui a fait la différence. Lui, il a juste mis en place une équipe avec les moyens dont il disposait sur ce match-là, car il y avait beaucoup de blessés et de suspendus.

Après, effectivement, s'il a l'opportunité d'être sur le banc pour trois, quatre matches, on pourra peut-être voir une "touche Nasser Larguet". J'espère pour lui qu'il trouvera la solution pour que l'équipe puisse reprenne confiance en ses qualités et revenir à la place qui doit être la sienne.

Ce Clasico est-il celui de tous les dangers pour l'OM ? Peut-on craindre un score très large ?

Oui, je suppose que Paris n'a toujours pas oublié le match aller, surtout qu'on attendait vraiment un PSG supérieur à l'OM. Mais sur ce match-là, la victoire (0-1, 3e journée) de l'OM n'était pas forcément volée. Le PSG a pris sa revanche lors du Trophée des champions (2-1), mais je pense que les Parisiens ont envie d'effacer la défaite concédée au Parc des Princes. Et puis, surtout, ils n'ont pas envie de laisser Lille s'échapper au classement. Quant au risque d'un score très large, on ne sait jamais ce qu'il peut se passer sur un match. Aujourd'hui, si on prend les deux effectifs, on sait très bien que les Parisiens sont supérieurs. Mais je connais un petit peu le contexte de cette rencontre pour l'avoir vécue des deux côtés et j'ai du mal à croire que le match se finira sur un score fleuve.

L'absence de supporters au Vélodrome sera-t-elle, paradoxalement, un avantage pour l'OM ?

En temps normal, la réponse serait non. Mais là, par rapport au contexte actuel, oui, je pense que ce sera une bonne chose qu'il n'y ait pas de public. Il n'y aura pas forcément de pression populaire sur les Olympiens.

Pour terminer, un mot sur votre ancien coéquipier au PSG, Mauricio Pochettino. Joueur, comment abordait-il ces matches face à l'OM ?

On connaît le caractère des Sud-Américains, et notamment des Argentins. C'était un match à jouer et à gagner, comme l'ensemble des rencontres du championnat. Mais c'était naturellement un match particulier par rapport à l'ampleur que peut prendre un Clasico, notamment par rapport à la rivalité entre les supporters des deux clubs.

Je pense qu'aujourd'hui (en tant qu'entraîneur, ndlr), Mauricio a la capacité d'avoir un rendement supérieur. Il n'a pas encore imposé sa patte personnelle, il faut lui laisser du temps. Malheureusement, dans le football, on n'en a pas forcément. Mais je n'ai aucun doute sur le fait qu'il y parviendra.

La Provence

[gob]

Neymar a fait une fête d’anniv et est malade ensuite ?
Il va nous contaminer tout l’effectif en Covid cet abruti.

[spy]

Sa gastro c’est juste une grosse cuite

[Jester]

http://www.massalialive.com/a-la-une/le ... -semaine-3

[prtdr]

JHE s'est simplement trompé de club pour en être le président. Il restera toujours comme un supp non avoué du PSG.

[Dragan]

pretender,

@LongubardoStph1
(Paris-Turf) : ”Les lendemains de Classico, #JHE allait dans les bureaux brancher les fans de l'OM en leur disant : «Vous avez encore pris une raclée !!!»
Nous on a toujours su qu'il était supporter du #PSG et allait rouler les Marseillais dans la farine.”

[alexduke]

Avec Milik, ça m'aurait donné la curiosité de regarder parce que ça changeait un peu la donne.

Avec lui absent, vraiment zéro motivation du coup, à part une fois de plus se faire du mal.

[gob]

Dragan, là tu nous achèves avec cet incapable

[fourcroy]

Qu'il allât brancher les supps de l'OM ne signifie pas qu'il était supp du PSG, c'est juste de la connerie . Comme l'a déjà écrit quelqu'un hier, il est bien plus probable qu'il n'ait rien à carrer du foot.

Un vrai supporteur de foot, de quelque club que ce soit, connaît un peu le sujet, ce qui n'est pas son cas, comme il le démontre depuis qu'il est là.

[oukimaya]

Sans moi ce soir , trop compliqué à regarder , j espere une victoire mais je n arriverai à regarder

[Rocca]

J’espère même pas une victoire. J’espère juste qu’il y aura des éléments pour enfoncer JHE

[boodream]

3 pages d'avant-match à 3 heures d'un OM-PSG, et encore, pour parler d'autre chose que du match. Et il y a 4 ans ça se branlait sur David et Goliath avec emphase.

L'échec est retentissant.