Information
Bruges nourrit de gros regrets
La Libre Belgique
Atalanta (Ita) 2-1 Bruges
Atalanta : Carnesecchi ; Kossounou (53e Musah), Djimsiti, Ahanor ; Bellanova (46e Zappacosta), de Roon, Ederson (61e Samardzic), Pasalic, Bernasconi ; Lookman (61e Sulemana), Krstovic (88e Brescianni).
Bruges : Jackers ; Sabbe (88e Meijer), Ordonez (89e Romero), Mechele, Seys ; Forbs (75e Vetlesen), Stankovic, Sandra (88e Campbell), Vanaken, Tzolis ; Tresoldi (63e Vermant).
Arbitre : M. Eskas
Avertissements : Musah, De Roon
Les buts : 38e Tzolis (0-1), 74e sur pen. Samardzic (1-1), 87e Pasalic (2-1).
Discutable. Voire très discutable. Mais Cisse Sandra, auteur d’une passe en retrait bien trop dangereuse, et, surtout, Nordin Jackers auront sans doute eu du mal à s’endormir la nuit dernière. Pourquoi le gardien s’est-il enflammé ainsi après cette belle intervention sur Yunus Musah ? En se laissant tomber très facilement, Mario Pasalic “joue bien le coup” , c’est vrai. Lazar Samardzic tout autant en transformant le penalty léger accordé par M. Eskas. Une action regrettable tout de même, qui rallumera les braises de la douloureuse question des gardiens qui hante le Jan Breydel depuis le début de la saison.
De toute façon, Nicky Hayen n’a d’autre choix que d’aligner Jackers pendant plusieurs mois encore, vu la blessure de Simon Mignolet… À commencer par ce match crucial face à l’Union SG prévu ce dimanche. Cette égalisation a douloureusement marqué le début de la fin pour le Club Bruges qui, jusque-là, avait brillamment joué le coup alliant solidité défensive et redoutable efficacité durant la première heure. À l’image de Christos Tzolis qui a donné vie à l’espoir d’un six sur six en ouvrant le score grâce à sa spéciale : profitant d’une erreur de Marten de Roon, le Grec n’a laissé aucune chance à Marco Carnesecchi avec sa frappe enroulée.
Fort deux victoires, le Club Bruges aurait carrément fait la moitié du chemin vers les barrages (l’an dernier, il fallait 11 points pour progresser). Au lieu de ça, les hommes d’Hayen ont laissé filer tout le butin.
La défaite est cruelle pour le Club Bruges. Mais rien n’est perdu. Difficile aussi de rester optimiste au moment de jeter un œil sur le calendrier : l’enchaînement Bayern Munich – FC Barcelone va faire très mal et nécessitera un tout autre niveau de concentration.
Louis Janssens
La Libre Belgique
Atalanta (Ita) 2-1 Bruges
Atalanta : Carnesecchi ; Kossounou (53e Musah), Djimsiti, Ahanor ; Bellanova (46e Zappacosta), de Roon, Ederson (61e Samardzic), Pasalic, Bernasconi ; Lookman (61e Sulemana), Krstovic (88e Brescianni).
Bruges : Jackers ; Sabbe (88e Meijer), Ordonez (89e Romero), Mechele, Seys ; Forbs (75e Vetlesen), Stankovic, Sandra (88e Campbell), Vanaken, Tzolis ; Tresoldi (63e Vermant).
Arbitre : M. Eskas
Avertissements : Musah, De Roon
Les buts : 38e Tzolis (0-1), 74e sur pen. Samardzic (1-1), 87e Pasalic (2-1).
Discutable. Voire très discutable. Mais Cisse Sandra, auteur d’une passe en retrait bien trop dangereuse, et, surtout, Nordin Jackers auront sans doute eu du mal à s’endormir la nuit dernière. Pourquoi le gardien s’est-il enflammé ainsi après cette belle intervention sur Yunus Musah ? En se laissant tomber très facilement, Mario Pasalic “joue bien le coup” , c’est vrai. Lazar Samardzic tout autant en transformant le penalty léger accordé par M. Eskas. Une action regrettable tout de même, qui rallumera les braises de la douloureuse question des gardiens qui hante le Jan Breydel depuis le début de la saison.
De toute façon, Nicky Hayen n’a d’autre choix que d’aligner Jackers pendant plusieurs mois encore, vu la blessure de Simon Mignolet… À commencer par ce match crucial face à l’Union SG prévu ce dimanche. Cette égalisation a douloureusement marqué le début de la fin pour le Club Bruges qui, jusque-là, avait brillamment joué le coup alliant solidité défensive et redoutable efficacité durant la première heure. À l’image de Christos Tzolis qui a donné vie à l’espoir d’un six sur six en ouvrant le score grâce à sa spéciale : profitant d’une erreur de Marten de Roon, le Grec n’a laissé aucune chance à Marco Carnesecchi avec sa frappe enroulée.
Fort deux victoires, le Club Bruges aurait carrément fait la moitié du chemin vers les barrages (l’an dernier, il fallait 11 points pour progresser). Au lieu de ça, les hommes d’Hayen ont laissé filer tout le butin.
La défaite est cruelle pour le Club Bruges. Mais rien n’est perdu. Difficile aussi de rester optimiste au moment de jeter un œil sur le calendrier : l’enchaînement Bayern Munich – FC Barcelone va faire très mal et nécessitera un tout autre niveau de concentration.
Louis Janssens
