Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
18 Déc 2020, 01:06
Boodream, La citation hors contexte ...
18 Déc 2020, 01:13
squall, même hors contexte, je m'attendais à plus polémique, c'est globalement assez lisse, sauf la partie sur la presse qui est une évidence temps toute la presse "nationale" a pleuré comme un adolescent acnéique après son tweet sur le PSG.
L'équipe.fr a quand même jugé utile de mettre en une de son site un titre rageux du genre "quand Payet voulait signer au PSG".
19 Déc 2020, 20:01
Dommage que ta motivation professionnelle ne soit pas proportionnelle à ton talent footballistique.
Branleur...
19 Déc 2020, 20:08
Ca arrive à tout le merder. Mais ce qui est agaçant en effet c'est que là c'est vraiment une erreur de branleur.
19 Déc 2020, 21:56
Un intermittent du football. Désinvolte. Il reste 2 matchs avant ses congés, et au lieu de se dépouiller, il se déplace sur le terrain en moonwalk.
20 Déc 2020, 13:35
J'espère que si un nouvel acheteur arrive, il lui rompra son contrat et que finito les engagements ou promesses d'un poste au club, encore en plus comme DS.
Ca lui ferait les pieds et peut-être que là on le verrait plus motivé. Il se repose trop sur ces acquis-là avec JHE.
23 Déc 2020, 22:35
Après Porto, tu remets ça.
Si c'est pour faire le suffisant, tu peux rester chez toi...
23 Déc 2020, 22:44
Il a cette capacité à attendre tard avant de tirer en plus, je comprends pas pourquoi il en rate autant
23 Déc 2020, 23:11
Observe son attitude sur les coups de pieds arrêtés, symptomatique.
Un coup sur On, un autre sur Off.
Il ne doit plus tirer les penal jusqu'à nouvel ordre.
08 Jan 2021, 21:19
Insupportable, il a refait sa coupe de cheveux de merde après sa coiffe à la snoop dog...
09 Jan 2021, 15:42
A dégager en fin de saison .
09 Jan 2021, 15:44
Tu ne peux pas le dégager.
Salaire trop élevé et il se fait vieux.
Personne ne voudra miser sur lui. A part nous.
Edit : je viens de relire la première page de ce topic... Le vent a tourné.
09 Jan 2021, 15:50
Putain 2024

alors qu' il était en fin de contrat en 2022
09 Jan 2021, 20:53
Bien inspiré d'avoir répondu à Boas avec ton tuit rempli de chiffres. Tu as cru que le coach était ton pote ?
Tu aimes les chiffres, en voilà : 12 2 1
Il faut vraiment être un sacré sac à merde pour tirer les corners aussi bien que toi ce soir. Monsieur j'ouvre ma bouche pour rentrer et se la couler douce.
10 Jan 2021, 10:49
aristote2 a écrit:Tu ne peux pas le dégager.
Salaire trop élevé et il se fait vieux.
Personne ne voudra miser sur lui. A part nous.
Edit : je viens de relire la première page de ce topic... Le vent a tourné.

Ou l’on voit que gigi, prompt a basher ce choix aujourd’hui, trouvait normal d’aller jusqu’à mettre 30 a 40 sur Payet
10 Jan 2021, 11:21
reste plus qu'a espérer un miracle venu du Qatar
01 Fév 2021, 10:54
Information
Les joueurs sont-ils spécifiquement visés ?
L’agent d’un international nous a expliqué samedi que son joueur avait senti «depuis une dizaine de jours» une atmosphère pouvant laisser augurer des violences physiques : selon l’Equipe, certains ont même eu peur d’être visés à leur domicile, s’en ouvrant au club. Sur les réseaux sociaux, deux joueurs attirent l’ire des supporteurs et font l’objet d’allusion – sans que le doute sur leur identité soit vraiment permis bien qu’ils ne soient pas nommés – dans certains communiqués des groupes de fans : les attaquants vedettes Florian Thauvin et Dimitri Payet, «qui ne passeront pas leurs vacances ensemble» (dixit Villas-Boas la semaine passée) et dont l’antagonisme notoire, les performances insuffisantes et même l’attitude sont critiqués par les fans, mais aussi sur certains points (l’attitude) au sein du vestiaire.
C’est surtout le cas pour Dimitri Payet. Le 28 novembre, le bus des joueurs avait déjà été bloqués devant la Commanderie à deux heures d’une rencontre contre Nantes (3-1), ce qui expliquait la présence de la police samedi, et une vidéo témoigne d’insultes d’une certaine violence («gros porc») envers le joueur, jugé peu investi depuis le fameux «contrat à vie» qu’il a signé fin juin contre une baisse de salaire fluctuant entre 30 et 60% selon les saisons. D’autant qu’une crise froide oppose l’international français à Villas-Boas depuis que ce dernier, après l’avoir soutenu contre vents et marées, l’a mis sur le banc. Si l’entraîneur portugais n’a plus la cote qui était la sienne en mai, quand il emmenait l’OM à la deuxième place du championnat et dans une Ligue des champions où les Marseillais se sont crashés en beauté (cinq défaites en six matchs), il reste relativement épargné, tout comme Alvaro Gonzalez ou Mandanda. Payet, lui, a la trouille. Et pas depuis samedi.
Quel est le contexte ?
Le raid de samedi contre la Commanderie est bien entendu inexcusable, comme toute intimidation ou contrainte physique : aucun élément de contexte ne saurait la justifier. Pour autant, comme en mars 2018, la violence des supporteurs prospère dans une atmosphère sinistre, une crise sportive sur fond de dépossession (un actionnaire américain) et d’incapacité de la direction à créer des synergies avec son biotope.
Si tant est qu’elle le veuille : la sortie très remarquée d’Eyraud début décembre au Shack, un espace de coworking, où il jugeait la présence d’employés marseillais néfaste pour cause de surcharge émotionnelle en cas de défaite, a fait du président du club un homme en éternel sursis, que McCourt soutient comme la corde tient le pendu. Ce même Eyraud fait face aux subtiles manœuvres de Villas-Boas devant les médias, entre sorties finement distillées dans la presse japonaise (le Portugais rêve de prendre la sélection asiatique), remarques philosophiques sur ces directeurs sportifs désormais mercenarisés «qui passent d’un club à l’autre comme les coachs» pour souligner l’aveuglement de sa hiérarchie immédiate, rocher de dix mètres dans le jardin de son président «incapable d’ancrer le club dans l’environnement marseillais» et dégagement sur l’air du «si ce n’est que ça, filez-moi mon chèque et je fais place nette».
Vendredi, le coach olympien avait unilatéralement tiré le rideau, en éclaircissant une allusion glissée comme une perche tendue aux reporters qui lui faisait face : pour lui, c’est fini en juin. Mais il reste quatre mois. Voilà deux semaines, Eyraud a pris la parole devant le groupe après Nîmes, ce qu’il fait rarement, brocardant l’attitude générale des joueurs. Ceux-ci ont ri sous cape : quand Payet arrive à l’entraînement pas en état de jouer, Eyraud ne bouge pas un cil. Quand ce même Payet entre en conflit avec son coach, un moteur dont le joueur a souvent usé durant sa carrière pour briller sur le terrain, Eyraud ne dit rien non plus. Et quand un autre fait allégrement fuiter ce qui se passe dans le vestiaire, il ne bouge toujours pas. Dix-huit mois que le groupe tient sur des ressorts solidaires, insurrectionnels (contre l’adversaire, la direction…), se battant un match sur trois – à Paris, Nîmes, Angers, Monaco. L’élastique a lâché. Et tout a lâché dans le même mouvement. Lens mercredi, le Paris-SG dimanche au Vélodrome : le huis clos comme une bénédiction.
L'EQUIPE
01 Fév 2021, 11:03
Cette phrase est énorme :
a fait du président du club un homme en éternel sursis, que McCourt soutient comme la corde tient le pendu
01 Fév 2021, 11:15
AVB critique Longoria dans la presse japonais si j'ai bien compris ?
01 Fév 2021, 15:51
Pas entendu
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