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Re: Actu politico-politique

01 Sep 2022, 21:51

Si c’est de la politique superolive, que tu le veuilles ou non.
Sandrine Rousseau est un personnage politique féministe issue d’un courant de plus en plus important qui vise à transformer la société selon des codes dont je ne veux absolument pas.
La polémique sur le barbecue en fait partie.

Re: Actu politico-politique

01 Sep 2022, 22:31

Remind, ah bon je ne savais pas.
Pour moi c'est un sujet sociétal , parmi tant d'autres...

Tu penses que le sujet du barbec masculin dans les prochains mois va être débattu à l'assemblée ?

Il y aura je pense plein d'autres sujets avant à traiter non ?
:mrgreen:

Re: Actu politico-politique

01 Sep 2022, 22:32

superolive, je te renvoie la question du fond de cours: seuls les sujets débattus à l’Assemblée sont politiques?
Et ce n’est pas tant de barbecue dont il est question mais de masculinité toxique en lien avec la consommation de viande, on parle bien de la vision de la société du futur entre les hommes et les femmes.

Re: Actu politico-politique

01 Sep 2022, 22:59

Remind, tous les sujets sociétaux et polémiques actuels (la masculinité toxique, les LGBT, le wokisme etc etc) me semblent inintéressants tant qu'ils ne sont pas discutés et votés à assemblée.

Re: Actu politico-politique

03 Sep 2022, 19:54

Répandons la bonne parole écologique en Jeep. :vioc:

Re: Actu politico-politique

03 Sep 2022, 20:39

c'est qui ?

Re: Actu politico-politique

03 Sep 2022, 20:43

randoulou, C'est la République Monsieur !

Re: Actu politico-politique

04 Sep 2022, 13:22

Elle persiste la conne :lol:

Le barbecue «symbole de virilité»: «Toutes les études montrent que j'ai raison», insiste Sandrine Rousseau

https://www.lefigaro.fr/politique/le-ba ... u-20220904

Re: Actu politico-politique

04 Sep 2022, 14:11

En même temps, la dernière syllabe de barbecue, ça sonne comme cul non ? Bon, on français, me direz-vous... Et en anglais, ça sonne comme queue, donc queue in french. Bref, tout con[verge... one more proof ] vers une preuve indiscutable d'oppression masculine. redaface2

Re: Actu politico-politique

04 Sep 2022, 16:58

:joint:

Spoiler: montrer

Re: Actu politico-politique

04 Sep 2022, 17:39

Sandrine s'attaque à des problèmes importants, prochaine étape, la plancha symbole de soumission.

Re: Actu politico-politique

12 Sep 2022, 10:05

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Droite et gauche aussi craignent une victoire de Le Pen en 2027

La perspective d’une élection de la cheffe de file du RN interroge des ténors de l’opposition.

De la fébrilité dans l’air. Si Emmanuel Macron s’inquiète de voir Marine Le Pen lui succéder à l’Élysée, cette angoisse est largement partagée dans les couloirs par l’opposition. À droite, accusé parfois d’entretenir une posture critique factice vis-à-vis de l’exécutif, on justifie souvent le besoin d’exister par le danger RN. « Si vous laissez demain l’espace sans alternance, vous finirez tôt ou tard par avoir Marine Le Pen », grimace un général LR. Une préoccupation qui existait lors du premier quinquennat mais a été renforcée par le résultat des législatives. Il n’a échappé à personne que dans certains territoires traditionnellement de droite, le RN a raflé largement la mise, comme dans le Var, les Alpes-Maritimes ou la Haute-Marne, où se situe Colombey-les-Deux-Églises.

« Le succès du RN lors des élections législatives ouvre la possibilité d’une institutionnalisation du parti de Marine Le Pen », souligne le politologue Dominique Reynié dans une étude récente de la Fondation pour l’innovation politique. Laquelle souligne que les électeurs de droite se reconnaissent désormais davantage dans les idées du RN (61 %) que dans celles de LR (52 %). « Je serais dingue de vous dire qu’il n’y a pas de risque RN en 2027. Soit je réussis, soit c’est Mélenchon-Le Pen au second tour », souffle en petit comité Laurent Wauquiez.

Les LR, futurs supplétifs du RN ?

« 2027, c’est pour elle. La droite, c’est fini. Ils sont bouffés », tranche un ami de Xavier Bertrand, qui échafaude des coups de billard à plusieurs bandes : « On est partis pour 2027 sur un tremblement de terre. Il n’y a qu’une solution pour éviter l’extrême droite : une dissolution dans deux ans, Marine Le Pen qui prend Matignon et qui perd derrière à la présidentielle. » « Le sérieux implique la nuance. Mais l’efficacité implique l’outrance. C’est notre honneur, mais c’est une forme de fragilité », reconnaît un autre haut dirigeant de LR. En interne, certains craignent qu’une victoire d’Éric Ciotti à la présidence de LR soit la première étape d’une absorption. « Le risque, c’est de devenir un supplétif du RN dans une Nupes de droite. On a peur de devenir l’Olivier Faure du RN », alerte le conseiller d’un concurrent.

Même état d’esprit à gauche où l’on reproche à Emmanuel Macron de tout faire pour « banaliser » le RN à l’Assemblée. « Yaël Braun-Pivet n’était pas obligée de nommer des RN vice-présidents, quand même ! Ils veulent tellement affaiblir la Nupes qu’ils sont prêts à toutes les compromissions. En 2027, le second tour, ce sera RN contre Nupes, mais ils nous auront tellement diabolisés que Le Pen passera… » lâche un député écologiste.

« Je me bats pour que, dans cinq ans, il y ait des jours heureux. Et ce sera ça : ou des jours sombres et noirs ou des jours heureux et dignes », affirme le communiste Fabien Roussel. « Si la gauche ne se reconstruit pas sur une base sérieuse, si la droite ne se rétablit pas et si on a encore le choix en 2027 entre l’extrême droite et le courant macroniste pour la troisième fois, les gens se diront : Bon bah, va pour Le Pen », abonde un poids lourd socialiste, opposé à la Nupes. « Marine Le Pen dit : Essayez-nous, vous ne nous avez jamais essayés. Mais si, on les a essayés : en 1940 ! On ne joue pas avec ça. Après, on n’aura que nos yeux pour pleurer », conclut un ténor de droite.

Le Parisien

Re: Actu politico-politique

12 Sep 2022, 10:37

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Mélenchon ou le pari persistant de la radicalité

Jean-Luc Mélenchon aime faire la leçon, mais il n'aime pas en recevoir. Surtout quand elles viennent de la gauche. Et qu'elles appuient là où ça fait mal. L'homme des 22 % à la présidentielle n'aime pas les « jérémiades » de Fabien Roussel, le patron du Parti communiste dont la candidature concurrente, souligne-t-il au passage, lui a coûté l'accès au second tour. Le tribun dont la campagne a permis de faire élire des députés de gauche dans quelques territoires ruraux (Aveyron, Haute-Vienne) s'agace d'entendre François Ruffin, député de la Somme, Insoumis mais non mélenchoniste, déplorer une stratégie cantonnée aux « quartiers ». L'organisateur de la grande marche du 10 octobre sur le pouvoir d'achat bout quand Philippe Martinez de la CGT rappelle la distinction nécessaire entre l'action politique et l'action syndicale. À tous, il semble rétorquer « faites mieux », pour reprendre l'expression par laquelle il avait conclu son intervention au soir du premier tour de la présidentielle.

La question de l'identité sociologique de la gauche n'est pourtant pas mineure. En plaidant pour la remise à l'honneur d'un discours sur le travail, Ruffin et Roussel constatent que leur camp a renoncé à parler aux catégories populaires lesquelles se sont en grande partie réfugiées dans le vote lepéniste. Le phénomène est loin d'être nouveau et Mélenchon ne supporte qu'on le lui impute alors qu'il estime qu'on devrait au contraire le créditer d'avoir rendu à la gauche une fierté électorale. « Nous sommes en tête chez les chômeurs, les CDD, les quartiers ou les 26 ans » , s'enorgueillit-il. Mais précisément, ces catégories, nombreuses numériquement parlant, ne constituent pas le centre de gravité de « la France qui travaille » . Et si elle prétend revenir un jour au pouvoir, elle devra bien à nouveau comprendre et parler à celle-ci et ne pas se contenter d'une synthèse du communautarisme, si répandu dans les rangs Insoumis, et du wokisme, si prégnant chez les écologistes.

En opposant le travail aux « allocations », Roussel et Ruffin ont horrifié une partie de leur camp qui leur a reproché de parler comme Emmanuel Macron ou Laurent Wauquiez, références valant presque injure à gauche. Mais toutes les enquêtes montrent que c'est justement parmi les travailleurs aux salaires les plus faibles (ouvriers, employés, fonctionnaires de catégorie C) que « l'assistanat » est le plus perçu comme une injustice.

De même, Mélenchon s'emporte dès qu'on lui fait remarquer le soutien des musulmans. À l'en croire, sa domination écrasante dans des quartiers où, de fait, la présence musulmane est forte, serait l'expression d'une colère sociale et pas d'une affirmation communautaire. La guerre des religions, c'est les autres, balaie-t-il. Mais sa dénonciation de « l'islamophobie » est bien commode pour ne jamais reconnaître la réalité de l'islamisme. Ce qui provoque aussi un clivage interne à l'électorat de gauche.

Mais que cherche Mélenchon ? Le coeur de sa stratégie reste la « conflictualité ». « Notre identité c'est la révolution citoyenne, pas les copains des campings », confie-t-il en privé. Comme si à la constitution d'une « majorité sociologique », façon Mitterrand 1981, il privilégiait l'entretien de pôles de radicalité et de contestation, leviers non d'une alternance mais de la révolution.

Le coeur de sa stratégie reste la « conflictu-alité »

Le Figaro

Re: Actu politico-politique

12 Sep 2022, 10:58

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Les Républicains en pleine crise existentielle

Cinq mois après la défaite de Valérie Pécresse à l’élection présidentielle, rien n’est réglé chez LR. La ligne politique demeure floue et l’absence de chef incontesté pénalise le parti.

En apparence, elle a réussi à sauver les meubles. Après avoir semblé en danger de mort à la suite de l’échec cuisant de Valérie Pécresse à la présidentielle (4,78 %), la droite est parvenue à faire élire soixante-deux députés à l’issue des élections législatives. Moins qu’en 2017, certes, mais de quoi disposer d’un groupe influent à l’Assemblée nationale, avec lequel les macronistes se doivent de composer pour le vote des textes. Le parti Les Républicains (LR), qui dispose de la majorité au Sénat, avec les centristes, peut également se targuer de compter de nombreux élus locaux.

Mais au-delà de ces quelques atouts, au niveau national, le tableau se révèle bien plus sombre concernant l’organisation du parti, qui effectue sa rentrée lors de l’université des jeunes LR à Angers, samedi 3 et dimanche 4 septembre. Leadership, ligne, projet… Cinq mois après la défaite à la présidentielle, rien n’est réglé à LR, qui traverse une crise existentielle. Les problèmes de fond demeurent dans une formation en convalescence, qui n’a pas de chef de file incontesté depuis le départ de Nicolas Sarkozy de l’Elysée… il y a dix ans.

Un point faible d’autant plus criant dans la nouvelle tripartition de la vie politique française, où les principales forces disposent chacune d’un leader fort, capable de fédérer ses troupes, et bien identifié dans l’opinion : Emmanuel Macron pour Renaissance, Marine Le Pen pour le Rassemblement national (RN) et Jean-Luc Mélenchon pour la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes). De son côté, le parti de droite ressemble à un canard sans tête.

« La marque est périmée »

Depuis que les vieilles gloires, Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et François Fillon ont pris leur retraite politique, et que d’autres dirigeants comme Valérie Pécresse ou François Baroin ont pris du champ, les ténors capables de reprendre le flambeau sont moins nombreux. Ceux qui demeurent se préparent pour concourir à la présidentielle de 2027, en dehors des jeux d’appareil, comme les présidents des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Hauts-de-France, Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand.

D’autres se positionnent déjà pour prendre la tête du parti, à l’instar du député des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, premier candidat déclaré pour l’élection à la présidence de LR, qui aura lieu les 3 et 4 décembre, afin de succéder à Christian Jacob. Avec la date butoir du 3 octobre pour déposer les parrainages.

Lors de cette compétition interne, M. Ciotti sera opposé au député du Lot, Aurélien Pradié, et au président des sénateurs LR, Bruno Retailleau, dans une sorte de match à trois.L’ex-lieutenant de François Fillon a officialisé sa candidature pour la présidence de LR, vendredi 2 septembre, dans un entretien au Figaro, en se posant comme le mieux à même de « rassembler » face à MM. Ciotti et Pradié. « Cette élection ne doit pas se transformer en un face-à-face entre deux camps qui joueraient la surenchère », avertit M. Retailleau. Lequel participera à la rentrée des jeunes LR, à Angers. Un rendez-vous où tous les candidats déclarés ou potentiels seront présents, ainsi que d’autres dirigeants.

Dans cette période de transition, difficile, dès lors, d’être audible et d’apparaître comme une force d’alternance crédible. Aux yeux des Français, LR n’est plus que la troisième formation qui incarne le mieux l’opposition à Emmanuel Macron (12 %), loin derrière le RN (38 %) et La France insoumise (33 %), selon un sondage IFOP-Fiducial, diffusé le 13 juillet.

La faute à un manque d’incarnation à la tête du parti donc, mais aussi à un manque de clarté dans son positionnement. Quel est le projet de LR ? Pourquoi des électeurs voteraient-ils pour ce parti ? En dehors de la réduction des déficits publics, qui reste une thématique où elle garde une forme de monopole, la droite est concurrencée par ses adversaires sur plusieurs de ses « fondamentaux » : sur le libéralisme économique par le camp Macron ; sur la sécurité et l’immigration par le camp Le Pen, notamment. Cette double concurrence laisse moins d’espace à l’ex-UMP, qui se fait dépouiller de ses électeurs des deux côtés. Et l’oblige à redéfinir son identité politique. « La marque est périmée et doit être changée car elle ne parle plus. Il y a un travail de fond à mener pour voir ce que l’on veut incarner à l’avenir, afin d’attirer à nouveau le regard », juge le député LR de l’Aisne, Julien Dive.

Avec des stratégies qui s’opposent en interne. D’un côté, MM. Ciotti et Wauquiez veulent incarner une droite dure et appuyer sur des sujets traditionnels du parti (sécurité, immigration, travail), en cherchant à séduire les électeurs tentés par le parti lepéniste. Quitte à jouer un jeu dangereux avec l’extrême droite. De l’autre, sur une ligne plus sociale, M. Pradié et ses soutiens veulent, eux, aborder de nouvelles thématiques, comme l’écologie, l’éducation, avec l’objectif de reconquérir les électeurs passés dans le camp Macron.

Préciser son positionnement

Dans ce flou idéologique, la droite doit également préciser son positionnement par rapport à la majorité, avec lequel elle négocie le contenu des textes de loi à l’Assemblée, en échange de son soutien ; et sa stratégie vis-à-vis du RN. Faut-il être une opposition constructive, en jouant le rapprochement avec le camp présidentiel, comme le préconise par exemple le maire d’Orléans, Serge Grouard, lui aussi candidat à la tête de LR, qui plaide pour un « accord de gouvernement » avec les macronistes ? Ou être sur une ligne d’opposition radicale ? « On ne sait plus où se situe LR entre la droite Macron, la droite RN ou la droite canal historique », résume Frédéric Dabi, directeur général opinion de l’IFOP.

Au risque de ne plus apparaître comme une vraie opposition ? « C’est vrai que c’est une ligne de crête qui est compliquée », a notamment reconnu la présidente par intérim des LR, Annie Genevard, fin juillet, après le vote du paquet pouvoir d’achat du gouvernement, avec le soutien de ses députés. « On est un peu en instabilité sur la branche, observe le député LR de la Manche, Philippe Gosselin. Aujourd’hui, on est écartelés entre la perspective d’être l’allié de la majorité ou une force d’appoint d’une recomposition des droites. » Comme d’autres, il juge nécessaire de « clarifier le logiciel » du parti, afin de ne pas devenir un simple satellite du macronisme ou du RN. « C’est crucial car cela détermine notre existence sur le long terme », souligne-t-il. Avec, à la clé, des débats intenses en interne sur le cap à suivre. Dans les semaines à venir, la position des députés LR lors du vote du budget sera un moment de vérité pour le parti.

En dehors des enjeux partisans, la présidentielle de 2027 aiguise déjà les ambitions. Si le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, a déjà les yeux rivés vers cette échéance, en appelant la droite à « se préparer dès maintenant » pour incarner « l’après-Macron », celui des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, n’a pas renoncé non plus à ses ambitions nationales. En attendant, peut-être, un retour de Valérie Pécresse qui a dit, après sa défaite au scrutin élyséen, vouloir se mettre « au service de la droite » pour les prochaines années.

Avec une autre difficulté : le futur candidat LR devra compter sur la concurrence, en externe, de plusieurs personnalités de droite ralliées à Emmanuel Macron, à l’instar d’Edouard Philippe, de Bruno Le Maire ou de Gérald Darmanin, qui lorgnent eux aussi sur l’Elysée. Encore des forces d’attraction susceptibles de rallier à eux des voix des électeurs de droite. Et ainsi rendre l’avenir un peu plus compliqué pour le parti, qui a structuré la vie politique pendant plusieurs décennies.

Le Monde

Re: Actu politico-politique

13 Sep 2022, 16:25

Re: Actu politico-politique

13 Sep 2022, 19:33

Que disent Sandrine Rousseau et Clémentine Autain ??

Re: Actu politico-politique

14 Sep 2022, 00:51

Aberration issu du sacro-saint libéralisme européen et des mouvements anti nucléaire. Au lieu de pérenniser la filière jusqu'à trouver une solution alternative viable, ils veulent taxer les "superfprofits" issu du nucléaire :lol: le gaz et le reste, c'est philanthropique. Je ne m'y attendais pas qu'on trouve une solution aussi ubuesque. Tout le problème à l'heure actuelle c'est donc le nucléaire. Merci l'Allemagne "verte" *sic*

Re: Actu politico-politique

16 Sep 2022, 13:46

Notre Sybeth de gauche a encore frappé : Sandrine Rousseau s'attaque à Roussel, parce que selon elle, la valeur travail est "une valeur de droite". Si elle pouvait s'étouffer avec du quinoa bio elle, ça me dérangerait pas.

Re: Actu politico-politique

16 Sep 2022, 15:32

Donc le travail serait une valeur de droite d'après cette conne ?
Il n'y en a pas un ou une à gauche pour lui dire de la boucler ?

Ce personnage politique est le troll ultime.

Re: Actu politico-politique

16 Sep 2022, 15:40

Plusieurs de ses propos sont (mal) sortis de son contexte.

Car, souvent, elle a des réflexions assez intéressantes.
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