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Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 17:03

Thor, ouais enfin c'est 2 000 $ le match aux States avec le trajet, la place et le logement. C'est pas donné à tous les puristes. :mrgreen:

Mais sinon on se rejoint :wink:. En fait ce qui fait chier, ce n'est pas que le mec soit à la pointe sur l'histoire de la NBA depuis 1928 ou non. Mais qu'une grande majorité des noobs n'y va non pas par curiosité (ce que je trouverais très honorable) mais juste pour le prestige de dire "J'y étais" et faire des stories sur les réseaux sociaux.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 17:27

gaby, je partage, je doute que les personnes y aillent pour analyser les différents systèmes de transition

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 17:38

J'ai un peu du mal à comprendre. J'ai pas vu le tweet de Trashtalk, en revanche, j'ai vu celui là :

Et c'est clair et net. Moi je sais que j'ai peu de potes qui sont fan de NBA, et c'est justement avec eux que j'ai envie d'aller voir ce match. Parce que j'ai toujours eu du mal à les faire rester debout jusqu'à pas d'heure pour regarder un match, que du coup ils ont pas forcément la motivation pour s'y intéresser, regarder les highlights, les vidéos sur l'histoire de la ligue ect. En revanche je sais qu'ils seront chauds pour aller voir un match avec moi, et je crois sincèrement que ça sera déclencheur pour au moins un ou deux d'entre eux, pour se mettre à suivre la NBA.

Trashtalk ils vivent du fait que la communauté NBA française s'agrandit. Si on en était resté au début des années 2010, leur audience ne serait certainement pas suffisante pour qu'ils puissent vivre de leur passion, sortir des bouquins ou des jeux sur le thème de la NBA, avoir des annonceurs intéressés, des soutiens, ect. Venir cracher dans la soupe en réclamant que le premier match NBA a Paris soit reservé à ceux qui ont un certain niveau de connaissance du basket ou de la ligue, je trouve ça très moyen. Et surtout critiquer le fait de se mettre en scène et de faire la star sur Instagram, quand on voit l'évolution de Bastien depuis 2/3 ans, c'est assez ironique.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 17:40

Kenshi, completement d'accord. Et ce match a Paris va etre aussi l'occasion d'ouvre l'horizon de personnes non initiees.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 17:41

Ben clairement, je vais essayer de prendre un maximum de place, pour faire découvrir cet univers à un maximum de personne de mon entourage. Et si ça déplaît à des "puristes", bah tant pis pour eux.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 18:02

Kenshi, je regarde que rarement mais je trouve que Bastien est devenu un peu imbuvable. Tu confirmes ?

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 18:04

gaby, je le trouve tout à fait insupportable ouais depuis quelques temps, j'ai beaucoup plus de mal à regarder leurs vidéos. C'est con parce qu'Alex lui était resté plutôt intéressant à écouter.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 18:17

Kenshi, ouais je sais pas s'il a pris le teston ou qu'il est lassé de ce qu'il fait, mais j'avais un peu halluciné la dernière fois.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 22:32

Il avait balancé une série de tweet où on ressentait l'énervement vis-à-vis de critiques injustifiées sur les réseaux sociaux.
Je pense que la communauté s'agrandissant, c'est passé d'une communauté de purs passionnés cools à aussi des mecs qui sont là pour le contenu et sans aucun respect.
J'ai l'impression que son attitude qui était prise pour du second degré quand c'était confidentiel et maintenant considérée comme du premier degré comme c'est plus relayé. La différence est autant dans son attitude que dans les yeux du visionneur.

Re: [2017-2018] Basket

29 Mar 2019, 23:56

Vous savez, je pense que le boom de la NBA en France dépend un peu aussi de qui l´incarne.
Je me souviens dans les nineties, gamins, on était tous fan du bringueur/parieur/dragueur/bully Jojo la fripouille.
C´est con à dire mais le gars faisait rêver même les plus "vieux".

Ça ne va pas plaire mais dans un sens, je trouve que depuis que Curry a pris son envol, ça a ramené un peu de lumière sur cette ligue.
Ça plus le travail en coulisses de David Silver au niveau des règles, pour rendre le jeu plus attractif pour les masses au risque de faire vomir les puristes.
Ce que je veux dire par là, c´est que tu peux faire toute la couverture que tu veux, ce qui va ramener des gens c´est les joueurs qui incarnent ce sport.
Aujourd´hui on vit un age d´or un peu.
Les joueurs sont devenus pour la plupart des types qui pètent plus haut que leurs culs et se croient CEO avant d´être joueur de basket et compétiteur mais force est de constater que question skills ça va chercher loin.
Giannis c´est pas humain ce truc.
Embiid qui fait des cross avec sa carcasse de mammouth.
Harden qui pète les records.
Bref.

Sur le délire puriste/pas puriste sur le match, faut savoir ce qu´on veut. On veut que le basket ait plus de lumière sur lui et ça commence donc par la base c´est à dire les non initiés. Ou on veut rester entre nous à faire les hipsters tout en se plaignant qu´on ne parle pas assez de ce sport dans les médias.
Non c´est très bien que la NBA soit à Paris et si ça peut encourager des gamins à se mettre au basket après avoir vu Giannis faire le show, c´est la meilleure des nouvelles qui soit.

Re: [2017-2018] Basket

30 Mar 2019, 00:06

Cecco a écrit:Il avait balancé une série de tweet où on ressentait l'énervement vis-à-vis de critiques injustifiées sur les réseaux sociaux.
Je pense que la communauté s'agrandissant, c'est passé d'une communauté de purs passionnés cools à aussi des mecs qui sont là pour le contenu et sans aucun respect.
J'ai l'impression que son attitude qui était prise pour du second degré quand c'était confidentiel et maintenant considérée comme du premier degré comme c'est plus relayé. La différence est autant dans son attitude que dans les yeux du visionneur.

Pour le coup, si on parle des mêmes tweets, les critiques concernaient surtout le contenu des articles et le fait qu'ils soient toujours un peu "piquants". Là dessus j'ai aucun soucis moi, les mecs s'appellent Trashtalk, ils assument et ils laissent beaucoup de liberté aux mecs qui écrivent pour eux.

Ce que me gave moi c'est vraiment Bastien en lui même, je trouve qu'il passe son temps à se mettre en scène, à chercher la petite punchline, les mimiques ou les gestes les plus caricaturaux, ect. Rien de bien méchant en soit hein, mais c'est devenu tellement systématique que ça prend le pas sur le reste le concernant à mes yeux. Je sais absolument pas s'il a pris la grosse tête ou pas, par contre je les suis depuis le début, j'ai vu et écouté beaucoup de trucs qu'ils ont fait, j'ai parfois passé une dizaine d'heure avec leur live en fond pendant les MLK Day ou autres, et je trouve vraiment qu'il y a eu une évolution dans son "personnage". Après je pense que y'en a beaucoup que ça ne dérange pas, et le fait qu'ils continuent à avoir autant de succès le prouve, c'est un point de vue très personnel.

Re: [2017-2018] Basket

30 Mar 2019, 00:14

Sinon pour parler de trucs plus intéressants, l'Equipe du jour, notamment sur le rôle joué par MJ dans le match organisé à Paris l'année prochaine :
Information
JORDAN, OPA SUR PARIS

Les Charlotte Hornets joueront en janvier 2020 à Paris le premier match de saison régulière NBA sur le sol français. Leur propriétaire star, Michael Jordan, a pesé de tout son poids pour faire aboutir ce projet qui coïncide avec le développement de ses intérêts en France.

Si, dans les mois qui viennent, vous croisez Michael Jordan dans les beaux quartiers de Paris ou du côté de l’AccorHotels Arena, pas la peine de devenir hystérique... L’ancienne superstar six fois titrée des Chicago Bulls, icône absolue de la NBA, a fait de la capitale française son lieu de villégiature privilégié. C’est pourquoi, le vendredi 24 janvier 2020, il y emmènera l’équipe dont il est propriétaire, les Charlotte Hornets, pour le premier match de saison régulière jamais disputé sur le sol français.

Depuis mercredi, Paris frémit. Son Hôtel de Ville a été habillé de grandes affiches verticales. « #NBAParis » et « Janvier 2020 », peut-on lire sur le parvis. Après dix ans d’attente, et un match quelconque de présaison en 2010 entre Minnesota et New York, la NBA revient en France.

Elle s’y installe sans doute pour deux ans, à l’AccorHotels Arena. L’affiche parlera tant au public français, dont deux compatriotes, Tony Parker et Nicolas Batum, jouent à Charlotte, qu’européen, puisque l’autre protagoniste sera Milwaukee, où évolue le phénomène athlétique candidat au titre de MVP, le Grec Giannis Antetokounmpo.

Pourquoi la NBA, implantée à Londres depuis 2011, où elle a disputé neuf matches de saison régulière, a-t-elle décidé de traverser la Manche ?

Nike, redevenu l’équipementier de la ligue en 2017, aurait pesé de tout son poids. « Il était temps de changer. Une lassitude s’était installée », glisse un membre de l’un des partenaires majeurs du raout annuel de la NBA en Europe. « Londres était un marché commode en termes logistiques et linguistiques, mais qui depuis les JO 2012, s’est révélé peu porteur. » Surtout en comparaison avec des territoires à la culture basket plus ancrée et mature comme la France ou l’Allemagne où la NBA pourrait se rendre en 2022, à Berlin. Et le Brexit ? « Pure coïncidence », assure-t-on chez NBA Europe, même si sa concrétisation compliquerait un retour à Londres.

« Les négociations ont démarré en février 2018, par une consultation, avant un dossier de candidature en septembre », révèle Nicolas Dupeux, directeur général de l’AccorHotels Arena, mise en concurrence avec Paris La Défense Arena (Nanterre). Mais l’ex-Bercy, rénové en 2015, dont le géant US AEG – qui contrôle l’O2 londonienne – est également actionnaire, a toujours eu la préférence de la NBA.

Jordan-PSG, un partenariat qui roule

« On a compris que c’était bon il y a un an, quand ils ont commencé à nous demander comment ça fonctionnerait, combien ça coûterait », raconte Jean-François Martins, l’adjoint aux Sports de la Ville de Paris, présent à Londres en janvier pour finaliser l’accord. « Mais la relation entre la NBA et Paris n’a jamais cessé. Un Français a longtemps dirigé la NBA Europe (Benjamin Morel, remplacé par Ralph Rivera). Paris s’est replacé sur l’échiquier sportif avec les JO en 2024. Et cela fait trois ans qu’on a développé une stratégie pour redevenir une ville basket. On a rénové l’AccorHotels Arena, créé ou fait renaître des terrains avec des street artists, soutenu la création du Paris Basketball (Pro B), et créé les conditions pour permettre la venue de LeBron James, Kobe Bryant et Michael Jordan... »

Jordan dont l’ombre plane plus que jamais sur la capitale, où il mit les pieds pour la première fois en 1985, l’année de la sortie de sa toute première chaussure, la « Air Jordan 1 », pour une exhibition presque passée inaperçue.

Cinq ans plus tard, en 1990, on frôlait déjà l’émeute lors de son retour à la salle Géo-André.

Plus que la venue incertaine d’un Tony Parker qui pourrait prendre sa retraite en fin de saison, c’est bien du côté de « His Airness » qu’il faut chercher la raison majeure du retour de la NBA en France. Deux sources proches du milieu des dirigeants NBA nous ont confirmé que le très influent propriétaire de cinquante-six ans a personnellement demandé au patron de la NBA, Adam Silver, de choisir Paris, devenu le cœur de la stratégie de développement de sa marque, Jordan Brand (une branche de… Nike), sur le Vieux Continent.

En 2015, on le voyait ainsi bras dessus, bras dessous avec la maire de Paris Anne Hidalgo pour inaugurer un playground à son nom : « Jordan Legacy ». Fin 2016, il prenait la Bastille en y installant la première boutique européenne frappée de son logo, qui orne également les maillots de l’équipe de France de basket. Jordan Brand a aussi lié son nom pour dix ans à l’un des tournois de basket de rue les plus cotés au monde, le Quai 54. « Paris est en plein boum sur le marché du sport et en même temps la capitale mondiale de la mode, du lifestyle et des cultures urbaines. Pour Jordan, l’équation est simple... », souffle Hammadoun Sidibé, fondateur du Quai 54.

Enfin, il y a le PSG... À l’occasion de la Ryder Cup, en septembre 2018, Jordan a privatisé, les uns après les autres, les plus beaux parcours de golf de la région parisienne pour y tester son swing, saisissant l’occasion pour lancer un partenariat inédit de trois ans avec le PSG, où son mythique Jumpman, logo le figurant en lévitation, en plein vol vers le panier, s’est fondu dans le blason du club de foot, s’y substituant à la Tour Eiffel… La tunique portée en Ligue des champions et les quatre-vingt dix produits de la gamme se sont révélés un succès monstre. Le club devrait dépasser le million de maillots vendus pour la première fois de son histoire, et a multiplié par près de cinq ses ventes sur le marché américain.

Faire venir ses frelons (Hornets) à Paris permettra à Jordan d’y renforcer encore son influence, d’afficher ses joueurs avec ceux du PSG – il y a fort à parier que celui-ci demandera à jouer à domicile le week-end des 25-26 janvier... –, tout en mettant son image au service de sa maison mère, la NBA.

« Le milieu a compris que Paris est aujourd’hui l’épicentre du basket en Europe, qu’on parle de merchandising, de droits télé, de digital… », résume David Kahn, ancien manager général de Minnesota devenu président du Paris Basketball, qu’il imagine un jour en Euroligue, dans la future arena olympique (8 000 places) de la porte de la Chapelle. « Pour Michael Jordan et sa marque, c’est une opportunité unique. Ce match démontre la capacité de la NBA à mettre en valeur ses franchises tout en servant ses intérêts propres, comme ceux de ses propriétaires. »


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Un patron vraiment à part

Seul ancien joueur possédant une franchise NBA, Michael Jordan est un propriétaire influent en dehors des parquets et compréhensif avec ses joueurs.

Ne vous fiez pas aux résultats moyens à médiocres de ses Charlotte Hornets, actuellement en ballottage défavorable pour la qualification en play-offs. Depuis sa prise de pouvoir en 2010, Michael Jordan est un propriétaire qui accumule les succès à la tête d’une franchise dont la valeur est passée de 275 M$ à 1,25 Mds$ cette année selon Forbes. Sa volonté de redonner à l’équipe son nom original (les Hornets) lui a permis de redevenir rentable (22 M$ de bénéfices estimés sur le dernier exercice).

À la fois légende de la NBA et patron de franchise, une double casquette inédite dans l’histoire, « His Airness » sait parfaitement jouer de sa spécificité auprès de ses pairs. « Au fil des ans, Michael Jordan a vu son rôle en tant que dirigeant s’épaissir. Il est capable de faire le lien entre le monde des joueurs et celui des propriétaires », explique David Kahn, ancien manager général de Minnesota et actuel président du Paris Basketball (Pro B).

Avant de pousser gentiment la ligue vers Paris, il a réussi l’exploit d’amener le All-Star Game dans sa ville, en février dernier, une rareté pour un marché de cette taille (23e sur 30) sans construction ou rénovation de la salle principale. « Il a voulu ce match depuis longtemps. Il y a des années qu’il en avait parlé aux autres propriétaires et qu’il avait souligné à quel point c’était important pour lui et pour la Caroline du Nord », a expliqué Adam Silver, le commissioner de la NBA, en marge du match.

Un élément supplémentaire montre l’impact de Jordan. Le match des étoiles avait été retiré à Charlotte en 2017 à cause d’une nouvelle loi votée en Caroline du Nord, considérée comme anti-LGBT pour la NBA. Au lieu d’une annulation, ce fut un simple report. Recevoir ce match comptait énormément pour lui. Absent du paysage médiatique, rare dans ses apparitions, Jordan a fait l’effort de tenir une petite conférence de presse, avec quelques journalistes locaux, début février. « La possibilité de représenter la Caroline du Nord dans un autre rôle est incroyable, c’est un grand plaisir pour moi de rendre à la communauté », avait-il alors affirmé.

Un facilitateur apprécié
Mais son implication ne consiste pas seulement à favoriser sa franchise. Jordan s’investit aussi dans la commission gérant les questions de compétitions et de règles salariales. En 2017, il a été un acteur clé pour installer un nouveau plan d’assurance santé et accroître les efforts en faveur des joueurs retraités. Il a également eu voix au chapitre lorsque le All-Star Game a abandonné le format Est-Ouest pour passer à des équipes choisies par deux capitaines. « Quand je suis dans une réunion avec des propriétaires, il faut savoir dire les choses d’une certaine manière pour leur faire comprendre le point de vue des joueurs », avait-il détaillé.

Avec ses joueurs, justement, il se place aussi dans le rôle de facilitateur, loin du personnage intransigeant que ses coéquipiers et adversaires ont décrit à l’époque où il faisait régner la terreur sur les parquets. Arrivé l’été dernier, Tony Parker se réjouit de son expérience. « Quand on est au plus près de lui, on voit que c’est un propriétaire qui soutient ses joueurs, qui est là pour les aider, les accompagner », souligne le meneur aux quatre titres NBA.

« Dès le deuxième entretien, il m’a dit qu’il était là pour m’aider et qu’il me faisait confiance. C’est ce qu’on peut entendre de mieux de la part d’un propriétaire », poursuit James Borrego, l’entraîneur arrivé cette saison. Il restera un être à part quoi qu’il fasse. « Même s’il agit comme un gars normal, a raconté Kemba Walker, la star actuelle des Hornets, ça va faire huit ans que je suis là et à chaque fois que je suis avec lui, ça reste irréel. »

Re: [2017-2018] Basket

30 Mar 2019, 09:07

Comment les Warriors se sont fait braquer par l’arbitre à Minny. :ptdr:
Ça en devient ridicule, on se rapproche du jour où un joueur va foutre un pain à un des incapables.

Re: [2017-2018] Basket

30 Mar 2019, 09:40

37 points, pas un lancer-franc tenté. Mais apparemment c'est parce qu'il prend des shoots beaucoup moins contestés que le barbu.

Re: [2017-2018] Basket

30 Mar 2019, 15:26

Fennec, Curry est un bien meilleur shooter qu'Harden c'est pas moi qui vais te contredire :wink: De toute facon c'est le meilleur shooter de basket que j'ai pu voir all time.

Par contre apres son 3 points (enorme) pour egaliser a 130-130 son geste sur l'arbitre sur la fin de match what the fuck entre warriors et wolves c'est juste n'importe quoi. Meme pas une technique la dessus :lol:

Re: [2017-2018] Basket

31 Mar 2019, 09:51

La part énorme de subjectivité en nba sur le fait de juger une faute avant ou pendant le shoot, c'est chiant.
Pour curry, cela s'est calmé mais pendant combien d'années on l'a vu forcer un contact pour obtenir une faute puis shooter pour prendre 3 LF.
Je vais avoir du mal à avoir de la compassion pour eux.

Re: [2017-2018] Basket

31 Mar 2019, 12:42

Ça fait des années que cette situation fait polémique, l'année dernière ou y'a deux ans Dragic avait même expliqué qu'il avait passé une partie de son été à bosser sur le meilleur moyen d'obtenir des fautes sur les tirs à trois points, c'est tellement chiant, à chaque match les joueurs pleurent là dessus et en PO c'est encore pire vu que l'arbitrage accorde moins de LFs. Que les joueurs soient moins tricheurs, et ça sera plus simple pour tout le monde.

Re: [2017-2018] Basket

31 Mar 2019, 14:33

Ça va dans les deux sens aussi. Si l´arbitrage était moins à la gueule du client et plus consistent, on n´arriverait pas à ces dérives.
Des finales NBA ont été gagnées comme ça.

Sinon, j´ai lu vite fait les déclarations de Josh Jackson qui semblait regretter que Memphis ait fait un plan anti-booker pour l´empêcher d arriver à 50 points.
C´est assez pittoresque quand même.
Les types enchainent les défaites et tout ce qui les importent c´est de savoir si leur coéquipier va continuer de sauver sa saison en enchainant les gros cartons dans le vide.
Ils devraient faire quoi Memphis? Se laisser humilier? Tanker comme le reste? Ou jouer à fond en préparant la saison d´après?

Re: [2017-2018] Basket

31 Mar 2019, 14:38

Memphis est assez admirable. Ils pourraient tanker mais ont battu Houston ou OKC ces derniers jours en se battant comme des chiens

Re: [2017-2018] Basket

31 Mar 2019, 14:39

Ca a failli être l’action de l’annee, a tout point de cue

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