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Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

08 Aoû 2025, 20:20

Divulguer les coordonnées. Des connards.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

08 Aoû 2025, 20:28

C’était des anciens d’ici qui avaient créé OMarsellais au départ non?

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

08 Aoû 2025, 21:35

Remind, doxer, c’est révéler le nom, l’adresse, le numéro de tel, la photo de quelqu'un sous pseudonyme. C’est un delit puni par la loi.
Modifié en dernier par Kim Nielsen le 08 Aoû 2025, 21:37, modifié 1 fois.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

08 Aoû 2025, 21:36

Ryo Saeba, ce sont plutôt des ados et post ados.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

09 Aoû 2025, 12:07

Voici la réponse de Jester :

Jester a écrit:Hier, j'étais dégouté par une information et des réactions de twittos eu égard à cette dernière. Et j'ai annoncé que j'allais faire du ménage sur mes abonnements. Je vous dois des éclaircissements sur le pourquoi cette réaction.

Depuis hier, j’ai les nerfs. Pour quelle raison ?
Car mon club l’OM vient d’accréditer un média OM pour suivre les conférences de presse.
Or, ce média OM a, il y a quelques mois maintenant, harcelé un compte #TeamOM, et même deux, en pensant que c’était le même compte, en disant que tout était du mytho. Que tout ce qui était publié était faux, qu’il s’inventait une vie et se répondait à lui-même !
Puisque les comptes en question étaient liés à un autre média OM, bien entendu, ils ont également mis dans la boucle ce média OM.
Et ils ont profité de leur influence de gros compte avec de nombreux abonnés pour lâcher leurs “ chiens ” sur lesdits comptes. Les harceleurs, des individus qui n’hésitent pas à insulter gratuitement, à doxer par le passé d’autres comptesont multiplié les attaques envers les comptes visés. Tant et si bien que ça a fini par des menaces et du doxing sur un des twittos, dont la vie privée, la famille et son adresse ont été révélées sur Twitter, aux yeux de tous, et le média OM a relayé tout ça, et en a été à l’origine.
Le compte doxé a bien entendu porté plainte en gendarmerie contre les harceleurs et ceux qui l’avaient doxé, à raison. Le média OM, voyant bien qu’il avait été trop loin, a fini par supprimer le contenu qu’ils avaient produit (mais pas tous les intervenants du harcèlement) et, cerise sur le gâteau, ont retourné les choses en clamant que c’était eux les victimes ! Bloquant à tour de bras. Mais le mal avait été fait.
Et que vois-je hier ?
Que ce média vient d’être invité aux conférences de presse de mon club @OM_officiel et que nombre de twittos “ influenceurs ” les félicitent pour leur super boulot ?
Donc, maintenant, vous ne pourrez plus dire “ je n’étais pas au courant ”, @OM_officiel non plus.
Voilà la raison et pourquoi je commence à en avoir marre de ces comportements sur les RS qui nuisent à de véritables personnes IRL.
Chacun fait et suit qui il veut, en son âme et conscience. Pour ma part je vais en faire de même et faire du ménage pour ma bonne santé mentale.

Je précise puisque certains ont raison de se questionner. Je n'étais pas visé directement (et heureusement), par contre j'ai été témoin des publications ET les captures d'écrans diverses ont été adjointes à la plainte déposée par le plaignant (la victime du doxing).


Je précise que MassaliaLive, ce n'est pas seulement le forum et le site, mais aussi des comptes avec communautés sur X, FaceBook et Blue Sky.

Après ces explications, j'espère que vous comprendrez que relayer sur ce forum des Tweets de Massilia Zone, ça fait grincer des dents.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

09 Aoû 2025, 14:08

Information
Quand l'intelligence artificielle s'invite dans la préparation des clubs de foot



À l'image du Real Madrid, qui a intégré les fondateurs d'une start-up utilisant l'IA à son staff, des clubs misent désormais sur une analyse ultra-pointue des datas pour optimiser leur préparation physique et mieux prévenir les blessures.

Deux ou trois blessures en défense et c'est tout un onze qui déraille. Vainqueur de la Ligue des champions et de la Liga quelques mois plus tôt, le Real Madrid a ainsi vu sa saison 2024-2025 basculer quand Dani Carvajal et Éder Militao ont connu une rupture d'un ligament croisé d'un genou, à l'automne.

Les pépins physiques se sont ensuite accumulés et ont énormément fait parler dans la capitale espagnole. Au point de pousser Xabi Alonso, nommé fin mai, à agir en profondeur ? Si le nouveau coach n'a pas tout révolutionné - le Français Sébastien Devillaz, membre du pôle préparation physique de Carlo Ancelotti, a par exemple été confirmé dans ses fonctions -, il a recruté deux éléments qui ont, eux aussi, fait du bruit.

Appareil photo spécial

« Que viennent faire deux fondateurs d'une start-up dans le staff de la Maison Blanche ? » pouvait-on lire ici ou là, en Espagne. Javier Arnaiz et Ismael Fernandez font partie des créateurs de ThermoHuman et arrivent pour prévenir les blessures. Ou, en tout cas, tenter de le faire. Avant de reprendre l'entraînement en fin d'après-midi, lundi dernier, Kylian Mbappé et ses coéquipiers sont ainsi tous passés devant un appareil photo un peu spécial.

Celui-ci permet, via la thermographie, d'analyser la température de la peau et de détecter une éventuelle asymétrie (différence de chaleur) entre deux zones du corps. Dans la foulée, un logiciel boosté à l'intelligence artificielle effectue le reste. Sur la base de nombreuses données ingérées au fil du temps, il permet d'identifier un risque de pépin physique. ThermoHuman a été lancée en 2015 et a, depuis, été utilisée par plusieurs clubs parmi lesquels... le Bayer Leverkusen, ancien employeur d'Alonso, Aston Villa ou l'OGC Nice.

Zone de surcharge

Iuri Annecchiarico, coach individuel qui accompagne notamment Kalidou Koulibaly et coutumier des appareils thermiques, permet d'y voir plus clair : « Il ne faut pas se méprendre, il ne s'agit pas d'un outil de diagnostic, mais cela donne de bonnes indications. Tu vas pouvoir estimer qu'une zone est en surcharge, qu'il y a un déséquilibre à tel ou tel endroit, alors que notre but à nous est toujours d'être dans une forme de symétrie. Et le gros plus, c'est qu'auparavant, on rentrait nos données à la main. Eux (ThermoHuman) proposent le logiciel qui va avec et qui permet de tout traiter instantanément, de comparer et de donner des indications grâce à l'IA. »

Un outil capable d'individualiser les charges de travail comme jamais et qui représenterait donc une petite révolution ? « Ce sera un indicateur parmi d'autres, nuance un habitué de Valdebebas, le centre d'entraînement du Real. Ici, tu as accès à tout ce que tu veux, il y avait déjà des technologies très performantes. Si c'était vraiment miraculeux, tous les meilleurs clubs l'utiliseraient. » Un salarié indique toutefois que le staff va gagner du temps grâce à Arnaiz et Fernandez « car, en matière de données, la quantité ne vaut rien s'il n'y a pas les compétences en face ni la capacité à bien interpréter ».

Tous les connaisseurs s'accordent sur un point : pour les clubs qui ont accès à un nombre incalculable de données, l'enjeu est désormais d'être capable « d'entrer » dans le corps du sportif, de mesurer sa forme de la façon la plus précise possible. Demander à un joueur son degré de fatigue ou de douleur sur une échelle de 1 à 10 semble appartenir au passé. « Avec ces méthodes, on pouvait vite commettre des erreurs, acquiesce Annecchiarico. Le mec pouvait te donner un chiffre basé sur ce qu'un coéquipier avait dit avant lui, bluffer un peu. »

Actuellement, les clubs qui misent sur la data et/ou l'IA n'ont, au contraire, qu'une obsession : repousser tous ces biais au maximum, objectiver la prise de décision. C'est ce qui a poussé Antoine Lemaire a lancé Omen Performance, après plusieurs expériences dans des clubs de Ligue 2 en tant que kiné. « Prédire l'invisible, prévenir l'inévitable » : telle est la devise de cette start-up dont l'application se base, elle, sur les données GPS.

Guider et appuyer des choix

« On voulait être capable de donner une image de l'état de santé du joueur à un instant T, grâce aux déplacements précédemment accumulés en match et à l'entraînement. Ce sont la distance totale parcourue, les courses à haute intensité, celles réalisées entre 20 et 25 km/h et tout un tas de données du genre... »

Aujourd'hui, via des écarts types et quelques datas supplémentaires dont Lemaire se gardera de parler - secret industriel oblige -, l'entreprise indique être capable de « prédire entre 70 et 80 % des blessures sans contact ». Mais, attention, « on n'est pas là pour dire qu'on prend les meilleures décisions, poursuit son fondateur, plutôt pour guider et appuyer des choix ».

De quoi susciter la curiosité de clubs de Ligue 1 avec qui Omen Performance a commencé à discuter. « Quand tu achètes des joueurs et qu'ils ne peuvent pas jouer, la pression se fait vite sentir, conclut ce membre d'un staff du top 8 européen. C'est ce qui pousse à investir dans les nouvelles technologies. » Dans le football aussi, l'IA semble avoir de beaux jours devant elle.


https://www.lequipe.fr/Football/Article ... ot/1583645

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

10 Aoû 2025, 21:14

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Ferveur, histoire, joueurs emblématiques... L'OM, « le plus argentin des clubs français »

Le recrutement, cet été, de Facundo Medina a un peu plus renforcé les liens passionnels entre l'OM et l'Argentine, dont les racines sociétales remontent au XIXe siècle.



Lors de sa présentation, début juillet, Facundo Medina a glissé ces quelques mots, en français dans le texte : « J'ai passé cinq ans à Lens, j'étais content mais ici, le stade et les supporters sont incroyables. Je connais déjà car c'est un peu pareil qu'en Argentine. » Il n'en fallait pas plus pour parfaire son opération séduction auprès du public marseillais et rappeler combien ses compatriotes y ont toujours, et de plus en plus, occupé une place particulière.

Premier buteur de la préparation, Medina est devenu le 25e joueur argentin de l'histoire de l'OM et rejoint, dans l'effectif actuel, le gardien Geronimo Rulli et le capitaine Leonardo Balerdi. Sans oublier Neal Maupay, né d'un père français et d'une mère argentine, et qui détient la double nationalité depuis 2013. « Medina va renforcer la défense, c'est top », se réjouit Raoul Noguès. À 73 ans, l'ex-milieu offensif, né en Argentine et resté vivre dans le Sud de la France après sa carrière, continue à suivre les aventures de son ancien club (1974-1977), avec lequel il a remporté une Coupe en 1976.

À l'époque, dans les années 1970, une première vague d'Argentins avait rallié Marseille dans son sillage : Alfonso Troisi, Hector Yazalde ou encore le futur champion du monde 1978 Norberto Alonso. « Les ADN marseillais et argentin se ressemblent, observe Noguès. Le climat, d'abord, est assez semblable, avec beaucoup de soleil. Et puis il y a la passion, la façon de ressentir le football, l'exigence des fans... »

Et Noguès d'illustrer : « C'est-à-dire qu'on vit pleinement quand on est à l'entraînement, dans la rue comme au restaurant. En Argentine, si vous n'êtes pas au niveau, ils vous le font sentir tout de suite. C'est pareil à Marseille. Si ça va bien, tout est parfait. Si ça va mal, ils viennent vous voir à la sortie du terrain. Ils mettent beaucoup de pression. Mais pour les Argentins, ce n'est pas un grand problème parce qu'on est formés comme ça depuis tout petit. C'est pour ça que les Argentins s'adaptent très bien ici. »

On ne peut pas non plus affirmer que tous ont réussi. Bon nombre d'entre eux ont connu des passages éphémères et anonymes, y compris récemment. Des attaquants comme Christian Gimenez et Dario Benedetto ont déçu. Quand, à l'inverse, des joueurs comme Renato Civelli, Lucas Ocampos et Balerdi ont fini par gagner le coeur des supporters grâce à leur persévérance et leur hargne, la « garra » en VO. « Mais la bascule, ce sont les arrivées de Gabriel Heinze et de Lucho Gonzalez, en 2009, qui ont acquis une vraie autorité », souligne le sociologue Ludovic Lestrelin, auteur de plusieurs travaux sur l'OM.

La décennie suivante est, elle, incarnée par un entraîneur, Marcelo Bielsa, entre 2014 et 2015, puis via Jorge Sampaoli (mars 2021-juillet 2022). « La tactique de Bielsa, tournée vers l'offensive, a enchanté les Marseillais au nom de la devise "Droit au but", analyse l'ethnologue Christian Bromberger. On retrouve, entre Marseille et l'Argentine, une même frénésie, un esprit de conquête à travers le football, qui font que la vie des cités tourne autour des clubs. » Salim Lamrani le rejoint : « L'Olympique de Marseille est le plus argentin des clubs français. »

Ce dernier, ancien interprète de Bielsa et maître de conférences en civilisation hispano-américaine, évoque « un lien spirituel profond » : « Un Argentin se reconnaît immédiatement dans le caractère du peuple marseillais : son tempérament, sa fierté exacerbée, ses excès et sa passion dévorante pour le football. Ce sont deux peuples très fiers de leur identité, au caractère bien trempé, anticonformistes, souvent rebelles face à l'autorité. Marseille est souvent considérée comme une ville à part, différente du reste de la France, avec une culture populaire affirmée et un esprit frondeur. L'Argentine, de son côté, est également un pays singulier en Amérique latine, animé d'un patriotisme fort, mais historiquement ouvert aux peuples venus d'ailleurs. »

Chercheur associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Thibault Bechini a consacré sa thèse aux migrations italiennes entre Marseille et Buenos Aires. « Dans les années 1870, ce sont les deux villes dans le monde qui ont accueilli le plus d'Italiens, retrace-t-il. Cela a vraiment laissé une marque importante, dans la proximité culturelle et la mentalité. Cela va de pair avec le fait que ce sont aujourd'hui deux villes très populaires, ouvertes sur le monde, avec du brassage et des flux continus. Elles ont aussi pour point commun d'avoir été prospères dans la première moitié du XXe siècle avant de connaître de graves difficultés économiques. Les clubs sont devenus des éléments centraux de leur identité et une manière de se raccrocher à quelque chose de positif. »

Des années 1860 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, Marseille était une étape incontournable et facilement accessible sur la route maritime vers l'Argentine, dans le transport de personnes et de marchandises. « Tant qu'il y a eu des lignes de navigation régulières, reprend l'universitaire, les deux ports étaient extrêmement liés. Des familles se retrouvaient partagées entre Marseille et Buenos Aires en fonction de l'inversion des saisons. C'est ainsi que le foot est devenu un vecteur d'intégration très fort pour toutes ces populations nouvelles qui ont débarqué dans l'une et l'autre ville au fil du XXe siècle. Toute une sociabilité s'est construite autour des parties de quartier, puis en allant voir les matches ensemble au bar du coin à l'apparition des premiers téléviseurs. »

L'ombre de Maradona

Plus tard, cette relation fusionnelle sera également entretenue par le mythe de la vraie-fausse signature de la légende Diego Maradona à l'été 1989, malgré un pré-accord avec Bernard Tapie, qui se rabattra avec succès sur Enzo Francescoli, Uruguayen de naissance mais idole de River Plate et très vite adopté par le peuple phocéen. Ce n'est pas un hasard si une délégation du club lui a rendu visite au printemps dernier, lors d'un séjour à Buenos Aires. Dix-neuf ans plus tôt, en 2006, Roland Desroches, ex-figure des South Winners, décédé en 2021, s'était lui aussi rendu en pèlerinage en Argentine, pays dont il était devenu fan, et avait rencontré son héros, Maradona.

Camille, un des fondateurs du groupe dans les années 1980 et ami de Desroches, dont le frère est l'un des capos actuels, confie : « Petit à petit, on s'est intéressés à l'Argentine avec Maradona, qui a marqué toute une génération, un personnage fantasque, fort et faible à la fois, une alchimie entre des qualités exceptionnelles et des défauts immenses. Toutes ces contradictions nous plaisaient. » Encore aujourd'hui, le « Che Guevara » demeure l'un des emblèmes des Winners et les groupes, à l'image des Fanatics, ont perpétué la tradition argentine, comme celle des « papelitos », ces lamelles de papiers lancées à l'entrée des joueurs.

« Les ultras marseillais se sont d'abord référés aux cultures italienne et grecque, car il y avait des échanges et une proximité géographique, mais il y a ensuite eu un jeu de distinction, une volonté d'aller chercher des références ailleurs, plus lointaines, à Boca Juniors notamment, grâce à l'émergence d'Internet, complète Ludovic Lestrelin. On retrouve ce même imaginaire autour de la force de caractère et de l'ascension sociale des joueurs, ce côté bouillonnant et cette ferveur déraisonnable, au stade et en dehors. Mais l'OM est tellement cosmopolite qu'on ne peut pas tout résumer à cette seule culture. » La preuve : depuis, un voisin brésilien, Igor Paixao, a signé.


https://www.lequipe.fr/Football/Article ... is/1584341

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

11 Aoû 2025, 13:09



La passionnante ligue saoudienne, abandonnée par canal parce que tout le monde s'en fout.

Il y a toujours des 'influenceurs' volontaires pour faire le tapin...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

11 Aoû 2025, 13:55

Après le foot à quand même le droit d’exister en Arabie Saoudite et même d’être diffusé en France sans que ça ne soit du « tapin ».

Qu’on soit écœuré des montants est un autre débat qui s’entend évidemment.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

11 Aoû 2025, 14:05

C'est du tapin littéralement, dans le sens où d'habitude c'est un diffuseur qui paye une ligue pour diffuser des matchs alors que là c'est la ligue qui arrose un influenceur pour populariser son championnat. C'est totalement inédit et ça s'inscrit pleinement dans leur démarche d'ailleurs d'arroser tout le monde.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

11 Aoû 2025, 14:56

Après le foot à quand même le droit d’exister en Arabie Saoudite et même d’être diffusé en France sans que ça ne soit du « tapin ».

Qu’on soit écœuré des montants est un autre débat qui s’entend évidemment.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

12 Aoû 2025, 10:17

Pour celles et ceux que ça intéresse, autour de la diffusion de Benfica-Nice ce soir à 21h :

L'Équipe
https://www.lequipe.fr/Medias/Actualite ... rt/1584621

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

12 Aoû 2025, 11:16

Merci pour l'info. Je regarderai je pense. J'avoue que c'est un peu absurde de pas avoir trouvé d'accord pour l'aller à domicile et d'en trouver un pour le retour alors qu'il n'y a presque plus de suspense et qu'en plus c'est à l'extérieur.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

12 Aoû 2025, 11:25

Ouaip, on devait passer par une appli suédoise pour 8 euros pour l'aller en plus.

Et l'appli n'allait sans doute, pour bon nombre d'entre nous, jamais plus être utilisée...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

12 Aoû 2025, 12:21

J’ai vu ce match sur une télé portugaise avec un simple vpn.
Sans appli ni racket suédois.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

13 Aoû 2025, 17:24

Pour information uniquement.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

13 Aoû 2025, 17:30

Il y a 3 ans, ils étaient en Ligue 1.
Ils ont maintenant une semaine pour faire appel et présenter un budget ou ce sera le dépôt de bilan et retour en régional.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

13 Aoû 2025, 17:47

Apparemment Cavalli se serait bien gavé via son nouveau rôle

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

13 Aoû 2025, 18:22

Logique tant leur gestion relève du manque de rigueur et d'un non-respect total.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

14 Aoû 2025, 21:31

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Au Rwanda, des partenariats millionnaires pour un football local en détresse

Derrière les partenariats à dizaines de millions d’euros avec de prestigieuses équipes européennes arborant le slogan Visit Rwanda, le football rwandais, lui, vit dans l’anonymat et la précarité. Un paradoxe que les instances footballistiques essayent de corriger en drainant davantage de moyens sans parvenir à lutter efficacement contre la corruption et le désintérêt politique pour la Premier League locale.



Le jeudi 7 août, le quotidien The New Times organisait un Space autour de l’économie sportive du Rwanda. Une question centrale étant donné les investissements massifs de l’État pour sponsoriser des clubs de football (Arsenal, Atlético, Bayern Munich, PSG), la Basketball Africa League, ainsi que les aménagements nécessaires pour accueillir les Championnats du monde de cyclisme sur route à la rentrée.

Si ce plan onéreux sert l’agenda politique et la visibilité chère au président, Paul Kagame, elle ne s’accompagne pas d’une politique de développement de fond du sport national hormis pour bâtir des enceintes capables d’accueillir des rencontres internationales comme le réaménagement du Stade Amahoro dont la capacité d’accueil a été portée à 45 000 places.

Démissions, dissolution et un président refusant de se représenter

Pour chaque (ré)ouverture ou inauguration d’un événement sportif, l’appareil politique rwandais se joint à la partie, notamment le chef de l’État. Cette personnification de la stratégie sportive traduit les ambitions continentales et internationales de Kagame qui est le président ayant le plus rencontré Gianni Infantino, le boss de la FIFA, ces dernières années.

Pourtant, derrière la carte postale, l’état du sport rwandais, et principalement de son football, pose question. Comment un pays qui débourse des dizaines de millions d’euros par an pour sponsoriser des équipes étrangères n’est pas capable de financer correctement le championnat local ou sa fédération de football ?

Après des soubresauts internes ayant conduit à une vague de démissions et la dissolution du Comité exécutif au printemps 2023, la FERWAFA était dirigée par un proche du pouvoir, Alphonse Munyantwali, directeur de l’ONG britannique Aegis Trust qui gère le mémorial du génocide à Kigali.

Cependant, ce dernier n’a pas souhaité poursuivre l’aventure et a retiré sa candidature pour les prochaines élections qui se tiendront le 30 août avec finalement un seul homme en lice : Fabrice Shema, le président de l’AS Kigali.

Absence de sponsor, matchs truqués, retards de salaire...

Soudain, le retrait inexpliqué de Munyantwali n’a cependant pas étonné les observateurs du football rwandais qui voient la situation se détériorer d’année en année. Sans réel moyen, la fédération fait ce qu’elle peut et n’a au final que peu d’influence face à certains clubs et leurs mécènes, notamment le ministère de la défense qui finance l’APR, l’Armée patriotique rwandaise, qui a gagné vingt championnats nationaux depuis 2000 !

Cette domination, parfois contrariée par Rayon Sports (lauréat en 2002, 2004, 2013, 2017 et 2019), est le quotidien d’une Premier League privée de sponsor principal depuis la saison dernière et l’expiration du contrat avec Bralirwa, une entreprise brassicole. Un manque à gagner important, a fortiori vu les retards réguliers de salaire dans plusieurs clubs et les multiples scandales de matchs truqués révélés ces dernières années.

Avec une image détériorée, le football rwandais tente quand même de survivre en essayant de changer certaines pratiques. « Nous n’allons pas avoir beaucoup de sponsors, ni lever des fonds ou générer plus de revenus si nous n’opérons pas avec davantage de transparence et de professionnalisme », lançait dans le Space de The New Times le patron de la Premier League locale, Jules Karangwa. Un vœux qui rappelait les paroles rapportées par plusieurs acteurs du football rwandais de Paul Kagame en off : « Le jour où il n’y aura plus de corruption dans le football local, je le financerai. »

De quoi donner une idée plus concrète du chantier attendant la nouvelle équipe dirigeante de la FERWAFA, dont l’élection le 30 août sera ensuite ponctuée d’un plan pour continuer à améliorer l’équipe nationale afin d’ambitionner une qualification à la Coupe d’Afrique des Nations 2027 pour la seconde fois de l’histoire des Amavubi.

https://sportnewsafrica.com/news-footba ... -detresse/
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