MassaliaLive.com

[gigi]

boodream, en revanche, un double menton c'est sûr.

[boodream]

gigi,

[Dragan]

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Selon les informations du Monde, le directeur général du groupe audiovisuel beIN, Yousef al-Obaidly, par ailleurs à la tête de la chaîne de télévision beIN Sports France, a été mis en examen pour « corruption active » par le juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke, le 28 mars. Collaborateur très proche de Nasser al-Khelaïfi, le président du Paris-Saint-Germain et de beIN, Al-Obaidly, 40 ans, est également membre du conseil d'administration du PSG.

Cette mise en examen s'inscrit dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par le Parquet national financier (PNF) pour « corruption » et « blanchiment aggravé », qui vise, entre autres, l'attribution des Championnats du monde d'athlétisme au Qatar qui auront lieu à Doha du 28 septembre au 6 octobre. Al-Obaidly est soupçonné d'avoir participé à la négociation de pots-de-vin.

Le PNF soupçonne également Lamine Diack, ancien président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), d'avoir favorisé la candidature du Qatar, en échange d'argent versé à la société de son fils, Papa Massata Diack.

En cause selon Le Monde, deux virements bancaires qui intriguent les enquêteurs. Ils ont été réalisés le 13 octobre et le 7 novembre 2011 pour un montant total de 3,5 millions de dollars, entre la société Oryx Qatar Sports Investments et la societé Pamodzi Sports Consulting, contrôlée par Papa Massata Diack, consultant marketing pour l'IAAF jusqu'à fin 2014.

De son côté, Oryx QSI est détenue par Nasser al-Khelaïfi et son frère Khalid. Selon Mediapart, le président du PSG a été entendu sur ce point par le juge Van Ruymbeke le 20 mars, et a assuré qu'il ne connaissait pas l'existence de ces deux virements jusque peu avant sa convocation judiciaire.

[spy]

Sans blague
Et pour la coupe du monde ca doit etre 500 fois plus

[Dragan]

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MARSEILLE

À JAMAIS LE PREMIER


Le 5 mai 1989, grâce à une frappe monumentale de Franck Sauzée dans le temps additionnel, l’OM  bat le PSG (1-0), et prend un avantage décisif sur son rival parisien. Quinze jours plus tard, il décroche, dans un climat de suspicion, le premier titre de l’ère Tapie et d’une longue domination marseillaise. JEAN-PHILIPPE COINTOT

En ce vendredi 5 mai 1989, il fait une chaleur suffocante sur la cité phocéenne. La canicule a débarqué un peu plus tôt que prévu et poussé plusieurs milliers de supporters marseillais à rester sagement à la maison. Même si le Paris-SG occupe une surprenante première place en Championnat, un point devant l’Olympique de Marseille, l’équipe de la capitale, qui a péniblement sauvé sa tête la saison précédente, n’était pas programmée pour jouer le rôle de l’épouvantail en cette fin de saison 1988-1989. Surtout face à une formation marseillaise entièrement remodelée par Bernard Tapie. Il reste quatre journées de Championnat, et le titre va se jouer dans un Vélodrome qui essaie timidement de se réveiller. Il fait épouvantablement chaud, et les Ultras tentent d’assurer un peu d’ambiance en craquant une centaine de fumigènes. Il reste plus de 10 000 places vides. Tapie est arrivé au club tel un ouragan, en 1986, a beaucoup promis mais, près de trois ans plus tard, le futur ministre de la Ville n’a encore rien gagné avec ce club bâti pour, prétendument, dominer l’Europe. Les supporters n’ont plus connu l’ivresse d’un titre en Championnat depuis la saison 1971-1972 et ne se sont pas encore approprié le club.

Personne ne se doute encore que cet OM-PSG va semer les germes de la rivalité exacerbée de la décennie suivante. Le matin de la rencontre, le Méridional titre pourtant « L’heure Hache » et explique : « Ce soir l’OM quitte la course en cas de défaite. » Bernard Tapie, le patron marseillais, et Francis Borelli, celui du Paris-SG, sont fâchés et s’accusent mutuellement de déstabilisation. Des joueurs marseillais et parisiens ont été approchés pour effectuer le chemin inverse en fin de saison.

C’est de bonne guerre. Francis Borelli, qui a déclaré arriver « en terre hostile », semble le plus touché et murmure avant la rencontre, encadré par deux gardes du corps, à l’oreille de quelques journalistes : « Vous avez vu, quand il m’a croisé dans le couloir, il a baissé les yeux pour que je ne puisse pas lui serrer la main. Il aurait pu être plus aimable ou plus arrogant… »

Les 35 000 spectateurs, sans Parisiens puisque le déplacement des groupes de supporters a été annulé quelques jours auparavant pour des raisons de sécurité, assisteront à un drôle de sommet qui n’aura sécrété que médiocrité et ennui pendant… 90 minutes. Le PSG, entraîné par Tomislav Ivic, se barricade en défense et torpille les rares initiatives marseillaises. Jusqu’à cette fameuse 91e minute de jeu, au cours de laquelle un missile sol-air expédié par Franck Sauzée de plus de 30 mètres transperce les filets du gardien parisien, Joël Bats. Arrivé au club en début de saison en provenance de Sochaux, Sauzée se souvient non pas de cette rencontre (« Ce n’était vraiment pas terrible, il y avait un très gros enjeu, et par moments il y a eu des tensions entre les joueurs  ») mais de ce but venu d’ailleurs qui allait aiguiller toute la stratégie « tapienne » dans les années suivantes : « À un certain moment, j’ai cru que j’avais un peu trop poussé mon ballon, mais je tente quand même ma chance en extérieur du coup de pied. Je mets tout ce que j’ai. La distance, cela ne me dérangeait pas. Et puis ce fut l’explosion. Je cours partout comme un fou. J’ai eu l’impression que le Stade Vélodrome, dans son ancienne configuration, allait exploser. »

Sur son banc de touche, le nouvel entraîneur, Gérard Gili, qui était troisième gardien remplaçant de l’OM lors du dernier titre en 1972, se lève sans réfléchir. « J’aurais pu me fracasser le crâne sur le toit de la guérite, mais cela a été plus fort que moi. Quand Franck a récupéré le ballon à 30 mètres de Bats, je n’ai pas pensé au but, j’attendais juste le coup de sifflet final. Je me disais même que c’était cuit, que l’on ne battrait pas Paris et que nos chances de devenir champions étaient nulles. D’autant plus que quelques secondes plus tôt Susic avait placé Amara Simba (entré en jeu) en position favorable, c’est-à-dire seul face à notre gardien, Huard, et je me vois même perdre ce match. Et Gaëtan gagne son face-à-face. Ce but de Franck, ce fut comme une explosion atomique. Nous n’étions pas encore champions mais nous avions pris une bonne option. Je me souviens de tout cela comme si c’était hier. Dans la région, on m’en parle encore et encore trente ans plus tard. Et comme à Marseille tout est enjolivé… C’est incroyable, car il y a un mois j’ai retrouvé toutes les archives des journaux concernant ce match et ce premier titre. Et quand je regarde tout ça, cela me donne encore des frissons, c’est fou… »

Ce fut alors comme une hystérie collective. À la mesure de la tension accumulée pendant tout le match et toute cette saison éprouvante. En transes, un supporter de l’OM, au stade ce jour de grâce, expliquera : « Parfois on dit à Marseille que c’était la folie, mais là, ce n’était pas exagéré. Je pense que ce cri, ce hurlement, il résonne encore dans la tête des Parisiens la nuit… »

Daniel Xuereb, l’attaquant parisien (qui évoluera à Marseille lors de la saison 1991-1992) n’est pas loin de le penser : « Ce match, ce but, on m’en parle régulièrement. Dire qu’on avait neuf points d’avance sur l’OM à la trêve. On nous a ensuite reproché d’avoir été trop défensifs, de ne pas avoir pris notre chance. Mais avec Ivic on avait joué comme ça toute la saison. Pour les autres rencontres, cela avait marché. Bon, je ne veux pas cracher dans la soupe, mais cette année-là, il s’était quand même passé des choses assez louches.  »

À deux journées du terme du Championnat, l’OM accueille l’AJ Auxerre et peut devenir champion si le Paris-SG ne l’emporte pas à Lens. Contacté depuis plusieurs semaines pour rejoindre Marseille la saison suivante, Safet Susic se rend compte, la veille du départ du club en pays dʼArtois, que son nom ne figure pas sur la liste : « À l’entraînement, j’ai tout de suite senti qu’il se passait quelque chose, confiait-il alors à L’Équipe. Je ne sais pas pourquoi. Tomislav Ivic sait très bien que je n’ai pas encore signé à Marseille. J’ai eu Francis Borelli au téléphone, les dirigeants n’y sont pour rien. C’est Ivic. »

Lequel expliquera avoir fait « un choix tactique  » : « Je prends mes responsabilités. Si je l’avais emmené, il n’aurait pas accepté le banc. » Susic, le meilleur Parisien, la légende du Parc, ne sera pas du déplacement à Lens. Le Paris-SG y évoluera curieusement en 7-0-3. Daniel Xuereb, l’un des trois attaquants, remplacé curieusement à la mi-temps alors que son équipe ne parvient pas à faire la différence, marquera son étonnement, comme la plupart de ses coéquipiers, sur l’absence de Susic et ce nouveau choix tactique. « Tapie avait contacté Ivic et Susic, mais d’autres joueurs parisiens aussi. Qui ? Moi, par exemple. Et puis deux ans plus tard Ivic s’est retrouvé à Marseille. Ce qui est marrant, d’ailleurs, c’est que moi aussi j’avais signé à Marseille, et quand Tapie nous a présenté Ivic, il a dit : “J’ai fait venir Ivic parce qu’avec une équipe de caves - donc la mienne, à l’époque -, il a réussi à m’emmerder toute la saison et a failli m’empêcher de devenir champion.” » Gérard Gili se souvient de ces polémiques et assure : « Eux voulaient nos joueurs, et nous on voulait les leurs. C’est du grand classique. Du grand bla-bla. Cela ne m’a pas surpris. »

Sans Susic à Lens, ni à l’OM la saison suivante d’ailleurs, puisque le Yougoslave re-signera un juteux contrat avec son club de cœur, le Paris-SG ne parviendra pas à s’imposer (0-0) à Bollaert pendant que, 1 000 kilomètres plus bas, l’OM battait l’AJ Auxerre grâce à deux buts de Jean-Pierre Papin et devenait champion de France pour la première fois depuis 1972.

Dans le Pas-de-Calais, juste après la rencontre, Francis Borelli accusera Bernard Tapie, à l’antenne d’une radio nationale, d’avoir acheté la rencontre. Un joueur lensois, qui souhaite encore garder l’anonymat trente ans plus tard, nous avait confié à l’époque : « Nous avons touché une double prime pour cette rencontre, oui, je le confirme, mais je ne sais toujours pas pourquoi. » Le Parisien Christian Perez s’interrogera lui aussi à voix haute : « Je ne comprends pas pourquoi Lens a joué le 0-0 alors qu’ils étaient sûrs de descendre. C’est juste une constatation. Je n’accuse personne. » Bernard Tapie répondra : « À la différence de Francis Borelli, je n’ai appelé directement ou indirectement personne de l’entourage du Racing Club de Lens. » Beaucoup de joueurs interrogés se sont subitement mis sur répondeur ou ont évoqué d’improbables rendez-vous pour ne pas avoir à répondre à ces interrogations. Trente ans après, la loi du silence sera respectée.

« Cela sera le début de la méthode “berlusconnienne” de Tapie  », assure Michel Kollar, historien du Paris-SG, qui n’oublie pas que Francis Borelli avait lui aussi pour habitude de draguer les joueurs adverses avant les confrontations de fin de saison.

Dans la foulée de ce premier titre de l’ère Tapie, l’OM remportera une finale de Coupe de France (4-3) contre l’AS Monaco et marquera de son empreinte les Championnats à venir.

Les trois saisons suivantes, même s’il sera champion, c’est plutôt avec les Girondins de Bordeaux du président Claude Bez et l’AS Monaco entraîné par Arsène Wenger que l’OM luttera pour le titre, avant que Canal+ entre dans la danse et que l’affaire VA-OM éclate au grand jour, le 20 mai 1993 (1), et ternisse à jamais l’image d’un Tapie d e nouveau accusé au début du mois de mars dernier par son ancien homme à tout faire, Marc Fratani, de corruption lorsqu’il était le patron del’OM (2). Et qui reconnaîtra un jour « avoir eu davantage de problèmes avec le foot qu’avec la politique. »

(1) Affaire à l’issue de laquelle le titre de champion de France 1992-1993 sera retiré à l’OM et le club relégué en D 2 en 1994.  Bernard Tapie sera condamné en appel à deux ans de prison, dont huit mois ferme.

(2) Brouillé avec Bernard Tapie depuis 2016, Fratani a notamment déclaré au Monde : « J’étais au courant de toutes les activités de Jean-Pierre Bernès, le directeur sportif du club. Je les ai couvertes et il m’est arrivé d’y participer […] À partir de 1988-1989, il (Bernès) se lance avec Tapie dans une entreprise de corruption qui va durer quatre saisons. La corruption n’était pas intensive, il ne s’agissait pas d’acheter tous les matches. Ils ciblaient les adversaires principaux. »

L'Equipe

[Tonyy]

Et ce normal??? Un arbitre qui marque un but et choisit quand même de signaler le but : http://ohmondieu.ovh/un-arbitre-marque-un-but-accidentellement-dans-un-match-neerlandais/

[Rocca]

Tonyy, on a vu des arbitres racler des joueurs déjà mais marquer directement jamais. On a vu provoquer des penalties

[jarlandine]

Je crois que comme l' arbitre fait parti du jeu, le but risque d' être valable

[randoulou]

Il met le pied non ?

[oukimaya]

Andy Delort, qui a pris la nationalité algérienne pour disputer la CAN.....ne fait pas partie des 23 sélectionnés par Belmadi

[jarlandine]

Il lui reste la sélection esquimaux, pour le tournoi des équipes du pôle nord ...

[Betsamee]

Andy Delort, qui a pris la nationalité algérienne pour disputer la CAN.....ne fait pas partie des 23 sélectionnés par Belmadi

savoureux, meme si je vois pas comment il aurait pas sa place

[Kenshi]

C'est des problèmes administratifs :

https://rmcsport.bfmtv.com/football/can ... 02329.html

[Odd]

https://m.facebook.com/story.php?story_ ... 6283417065

Quelle merde sérieux

[superolive]

Coupe du Monde U20 - Journée 3

Norvège / Honduras

Score final : 12-0

[spy]

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10156441062722066&id=76283417065

Quelle merde sérieux

Y a qu’a voir son clash avec semedo pour comprendre que c’est une merde.

Il a un boulard enorme et si mbappe et lui restent a aris, ca va mal se finir entre eux. Mbappe la mettait en veilleuse mais la il s’est affirmé et ca m’etonnerait que l’un ou l’autre baisse la tete.

[Dragan]

Coupe du Monde U20 - Journée 3

Norvège / Honduras

Score final : 12-0

avec 9 buts de l'attaquant de Salzbourg, nouveau record

[Gastibelza]

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10156441062722066&id=76283417065

Quelle merde sérieux

Ce qui est cocasse, c'est qu'après PSG -Strasbourg en coupe de France, il y avait eu une polémique sur le jeu tout en provocation de Neymar et sur le fait qu'il prenait des coups. Visiblement, Monsieur Neymar ne tolère l'humiliation que quand il en est l'auteur.

[Dragan]

[oukimaya]

Je ne l avais jamais vu jouer mais Cuisance , le 8 des u20, il a un PUTAIN de toucher de balle pied gauche !!!