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Soit le beau jeu, soit les résultats... ça vous convient ?

Oui, mais je ne kiffe QUE les victoires, le reste m'en BLC
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Pas vraiment, j'aime le jeu mais c'est vrai que gagner c'est bien
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Oui, car seul compte le plaisir du beau jeu, le reste m'en BLC
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Non, on doit pouvoir avoir les deux !
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Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 02:20

J'ai pas compris la blague si explications il y a :)

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 02:24

Delio va t'expliquer en 5 paragraphes 2 alinéas pourquoi c'est plus drôle avec un chapeau.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 03:25

dxd92, double réf au running gag sur Lucho qui a tourné la tête et sur les Head of tout et n'importe quoi nommés par Eyraud. Mais expliquer sa vanneme donne cette impression :mrgreen:

Pour en revenir au sujet, indépendamment des questions de profil, entre son salaire élevé, l'indem à filer à son club alors qu'il allait se barrer de toute façon, le staff fourni, qui ne comprend d'ailleurs ni francophone ni entraineur des gardiens, qui viendront s'y ajouter, ça fait quand même un effort considérable, pour un pari incertain. On lui file deux ans et demi, sachant que sur la même durée, Garcia s'est effondré sur la fin. AVB a atteint à peu près la moitié. Et là on parle d'un coach instable.

Bref, ça parait quand même assez osé comme idée. Tout choix est bien sûr un risque, et il y a des choses dans le profil qui peuvent plaire, notamment pour sortir de l'ennui, mais en tout cas c'est un gros risque. S'il paye, il faudra rendre ça allègrement à Longoria, si ça merde, il ne faudra pas nier que c'était possible.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 09:24

Remise d’un maillot par le président de l’Atletico suite au dernier match de Sampaoli avec eux.
Sympa :

https://twitter.com/Atletico/status/136 ... 34309?s=20

Et une réaction d’un supp à la vidéo :

TOMARA QUE SE FODA LA NA FRANÇA MAS OBRIGADO SAMPAOLI

:ptdr:

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 09:28

c'est un fake, personne ne va le regretter@ L'Equipe

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 09:44

C'était quand même exceptionnel comme article ça.
Du pur bashing gratuit.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 10:18

Quand un pochetinho ou meme le guignol sylvinho se faisaient tailler sabre sur sabre avant meme de signer

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 10:26

Information
LE TÉMOIGNAGE D'OMAR DA FONSECA, ARGENTIN ET CONSULTANT BEIN SPORTS; "Il peut être insouciant et va tenter des coups"

Jorge Sampaoli est-il une bonne pioche pour l'OM ?

Pour un entraîneur, on met en avant quelques critères : la connaissance du championnat, du club, du groupe de joueurs, de la langue pour faire passer des messages... Or, pour Sampaoli, j'ai du mal à dire s'il va apporter, ou pas, à l'OM. Il entraîne au Brésil et est passé par Séville (ça s'est super bien passé, même s'il n'est pas resté longtemps), mais il n'a jamais véritablement entraîné à l'étranger. Là, il vient dans un autre milieu. On peut le considérer particulier, original, pas du tout basique, ni plat. Ce n'est pas quelqu'un de discret. Je suis allé le voir en Russie à l'entraînement ; il est souvent dans l'exagération et l'exubérance. Il gesticule ; là, il a encore insulté tout le monde à la sortie du match. Il avait déjà réagi comme ça contre les arbitres en Espagne et avec l'Argentine.

Êtes-vous surpris de le voir arriver en cours de saison ?

Depuis le début, on a le sentiment que l'OM l'a ciblé et qu'il n'y avait que lui comme entraîneur possible. On connaît la plupart des entraîneurs ; lui, je ne le connais pas trop alors que je suis allé au Chili pour le suivre à la Copa America quand il a pris le relais de Bielsa. À Séville, l'équipe jouait bien car il y avait une base de joueurs. Avec l'Argentine, il a été énormément critiqué, je ne sais même pas s'il pourrait revenir un jour. Je me souviens du titre d'un journal : "Le seul homme qui peut cabosser une Ferrari".

La coupe du monde 2018, où l'Albiceleste est éliminée en 8e de finale par la France, a-t-elle complètement brouillé son image et terni sa réputation ?

Par moments, il montrait son caractère, il se sentait fort ; il a fini dans une situation de soumission. Il a demandé à Mascherano et Messi ce qu'il fallait faire. Il a fait des choix incompréhensibles. Il n'avait pas retenu Enzo Perez dans les 30 joueurs. Le joueur est parti en vacances au Brésil. Lanzini se blesse ; on croyait qu'il allait faire appel à un des sept réservistes. Eh non ! Il appelle Perez en train de boire des caïpirinhas depuis une semaine ! Il a été titulaire dès le deuxième match sans préparation ! Il a fait des choix bizarres ; par exemple, il voulait jouer haut contre Mbappé, alors qu'il fallait des patins à roulettes à Rojo, Mercado, Otamendi ou Mascherano pour rattraper Mbappé. On aurait dit qu'il ne connaissait pas la France. Ce jour-là, il avait mis Dybala, Agüero, Higuain remplaçants ; il n'a aligné que des milieux et des défenseurs ! En Argentine, personne ne le considère comme un tacticien ; tout le monde relève que c'est plus un meneur d'hommes, un mec qui fait obéir ses joueurs. Mais personne ne lui obéissait. Au Chili, il avait très bien fait ; au Brésil, il a pas mal fait avec l'Atlético Mineiro et Santos.

Quel est le style Sampaoli ?

Avec le Chili, il jouait un football formidable pour être protagoniste, avec Valdivia, Alexis Sanchez, Vidal, Vargas, Aranguiz... L'équipe était magnifique, Bielsa l'avait faite. A-t-il été intimidé avec l'Argentine, le gros caillou de sa carrière ? N'a-t-il pas réussi à mettre la main sur les cadres ? Il avait justement été appelé pour son caractère et sa manière de faire. On jouait mal. Si je me base sur le Chili et Séville, il est ambitieux dans le jeu. Les hommes de couloir montaient sans arrêt.

Là, il arrive à l'OM où les joueurs doutent...

Ça doit être un des éléments qui explique pourquoi il a été pris. Ce n'est pas un mec qui passe inaperçu. Il a une voix ! Il insulte, se positionne. Peut-être que les dirigeants de l'OM voulaient prendre un mec ayant du caractère, une manière de transmettre de l'énergie. C'est un vrai défi pour lui. À 60 ans, tu rentres dans une période de ta vie où tu n'as pas peur. Il vient en Europe, va signer un contrat en béton armé. Quelle opportunité !

Cet environnement où on adore l'Argentine peut-il lui être favorable ?

C'est un des critères qui le favorise. Il a toujours voulu s'imposer. Il est dans une situation où il peut se permettre d'être un peu insouciant, il va pouvoir tenter des coups. Si l'OM commence à donner des spectacles, à gagner des matches, peut-être qu'il peut faire du bien, créer du lien entre les supporters, les joueurs et les dirigeants. Son football est effervescent.

On le présente souvent comme un disciple de Bielsa. La comparaison est-elle justifiée ?

Au Chili, il a gardé le même groupe. Dans la méthodologie, la manière de travailler, les entraînements, je ne sais pas. Avec l'Argentine, il a été sur la réserve. Il n'a pas été conquérant. Il a été ramené pour son caractère, pour sa manière d'imposer les choses.

La Provence

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 10:28

Information
Sampaoli, un air de famille; Le futur entraîneur de l'OM , qui a trouvé un accord avec l'Atlético Mineiro et pourrait arriver dimanche, est un écorché vif au parcours atypique et biberonné aux préceptes de Bielsa

Un physique de videur de boîte de nuit bodybuildé et tatoué ; une gueule qui ne passe pas inaperçue et ne laisse pas indifférent ; des coups de sang incontrôlables devenus célèbres, souvent malgré lui. L'éruptif Jorge Luis Sampaoli Moya est tout ça à la fois. Mais bien plus encore. Le futur entraîneur de l'OM, 60 ans, est avant tout un amoureux du ballon rond auquel il a voué son existence, quitte à se laisser dévorer par cette passion incandescente, jusqu'à oublier les siens. Son premier mariage en a fait les frais. "Le foot est toute sa vie et l'est toujours aujourd'hui", déroule Pablo Pavan. Avant de devenir son biographe, le journaliste a connu Sampaoli quand il était haut comme trois pommes. "Nous habitions à 50 mètres, j'ai le même âge que ses enfants les plus âgés", pose Pavan.

À l'époque, le natif de Casilda, à l'ouest de Rosario, ne promène pas la même carrure. Ses habits sont amples, ses lunettes sérieuses et ses rêves de devenir footballeur pro se sont évanouis dans le fracas des blessures, au tibia et au péroné. L'aventure dans les équipes de jeunes de Newell's Old Boys tourne court. "Là, il a joué dans des ligues amateurs et s'est consacré à sa formation pour devenir entraîneur pro", raconte Pavan. Personne ne croit en lui, Sampaoli coache dans les divisions argentines inférieures. Jusqu'à ce qu'en 2002, un club péruvien en proie à des difficultés sportives et financières, Juan Aurich, lui tende la main. Comme un cadeau tombé du ciel, il accepte pour un salaire modique malgré le scepticisme de sa mère, Odila, inquiète de le voir traverser le continent. Les débuts sont loin d'être idylliques ; il débarque dans l'anonymat, avec une mission limpide : "Mettre de l'ordre dans l'équipe", selon l'agent à l'origine de sa venue, Guillermo Cuellar.

"Le genre de club qui me plaît"

La carrière de Sampaoli décolle petit à petit, il enchaîne les postes au Pérou, toujours avec des rémunérations maigrichonnes (2 000 dollars sans bonus à Sport Boys Callao, en 2002-03). Mais sans jamais se départir d'une implication totale, presque maladive. En pleine nuit, il n'hésite pas à tambouriner à la porte de ses poulains. "Un jour, il a frappé à la porte de ses joueurs à 4 h du matin pour leur parler d'une tactique à laquelle il avait pensé", se pince encore Miguel Villegas, journaliste à El Comercio, le plus important et le plus vieux quotidien du Pérou.

"Il était obsessionnel, avec une ambition très saine, c'était un Bielsista", dira de lui un jour "Kiko" Mandriotti, l'homme qui l'avait recommandé à Juan Aurich. Bielsa : le nom est lâché. Il résonne d'une manière particulière dans l'esprit de Sampaoli et pas seulement parce que les deux hommes ont le Newell's dans la peau. Lors de ses footings, le disciple s'injecte les conférences de presse de celui qu'il considère comme son maître à penser. Auparavant, Sampaoli n'hésitait pas à espionner les séances concoctées par l'ancien entraîneur de l'OM.

"J'épiais ses entraînements. Je passais au moins 14 h par jour à penser à lui, à observer des vidéos des matches de ses équipes", avouait-il lors du Mondial 2014. "Ils ont la même passion pour le jeu offensif, décrypte Pablo Pavan. L'un comme l'autre veulent que leurs hommes jouent comme ils le faisaient quand ils étaient enfants, avec cette ambition de gagner sans crainte ni inquiétude." Ce discours trouve un écho partout où il passe, même si les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. Il accouche d'un jeu offensif, ambitieux, hargneux, dépourvu de calcul. "Il nous demandait d'être positionnés haut, de harceler les adversaires, de ne pas les laisser jouer, de les épuiser, de tenter, de tirer", égrène Adil Rami (*) qui l'a côtoyé pour son unique aventure loin d'Amérique du Sud, au Séville FC, en 2016-17. Une expérience moins risquée que celle qui l'attend à l'OM, qu'il prend en route, dans un pays dont il ignore la langue et la culture.

Même s'il a une idée assez précise de ce qui l'attend. "C'est le genre de club qui me plaît, lâchait-il à So Foot en 2016. Des clubs comme Marseille ou Galatasaray qui ont ce soutien, cette clameur populaire et qui font que si tu gagnes quelque chose, la ville explose. Ce serait extraordinaire de pouvoir apporter la joie que ces villes méritent, en retour à ce qu'elles donnent au football. L'idée serait aussi de donner un style de jeu qui convienne à ce soutien populaire, comme l'a fait Bielsa : il faut que le spectacle reste incrusté dans la rétine de chaque citoyen. (...) L'idée, c'est de changer l'histoire de l'endroit où tu vas. Si tu ne vas pas quelque part avec cette envie, faire ce métier a peu d'intérêt."

Cet écorché vif, capable de se faire expulser pour s'en être pris à un arbitre ou d'insulter un policier alors qu'il se trouve en état d'ébriété, continue son chemin loin des compatriotes qui ne lui pardonnent pas son Mondial 2018 raté. Prochaine étape de cet exil, l'OM, fort de ses expériences passées. "À Juan Aurich, il a formé son caractère. À Sport Boys, il a vraiment été mis à l'épreuve du professionnalisme. Emelec l'a fait se battre pour un titre. L'Universidad du Chili l'a consacré. Avec la sélection chilienne, il a réussi à remporter un titre historique (la Copa America 2015). Séville a été un saut vers l'Europe ; l'Argentine, un rêve. Et les deux équipes du Brésil ont changé leur façon de jouer dans ce pays", synthétise Pavan qui omet les critiques et les doutes qui escortent ses pas depuis la fin tumultueuse avec l'Albiceleste. "Je n'écoute pas et j'avance", est-il encré sur l'un des bras du futur entraîneur de l'OM qui ne doute de rien.

(*) La Provence

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 10:28

Information
L'OM négocie avec l'Atlético Mineiro pour Sampaoli

Marseille et l'Atlético Mineiro continuent de négocier le départ de l'entraîneur argentin vers la France. Suspendu, l'entraîneur argentin de l'Atlético Mineiro a laissé les rênes de son équipe à son adjoint Jorge Desio, la nuit dernière, pour l'ultime journée du Championnat brésilien face à Palmeiras. Avant de signer un contrat courant jusqu'en 2023 avec l'OM, Jorge Sampaoli (60 ans) doit être libéré par son club actuel, avec lequel il est engagé jusqu'à la fin de l'année civile. Marseille et l'Atlético Mineiro sont toujours en train de négocier cette sortie, autour de la clause prévue dans le bail de Sampaoli pour qu'il soit remis sur le marché (environ 600 000 €). lire aussi Qui es-tu, Jorge Sampaoli ? Une fois ce point réglé, l'ancien sélectionneur du Chili préparera son arrivée en Provence, le club olympien n'ayant pas encore de date d'atterrissage précise.

Entre le protocole sanitaire, l'isolement de sept jours prévu pour les voyageurs en provenance du Brésil et les ultimes détails administratifs à peaufiner, il faudra encore attendre un peu pour le voir s'installer sur le banc phocéen. L'OM lui cherche toujours un interprète de qualité pour l'accompagner au quotidien. Ce ne sera pas Fabrice Olszewski, l'ancien traducteur de Marcelo Bielsa. lire aussi Jorge Sampaoli déjà dans le projet à l'OM

L'Equipe

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:11

quelques réactions de supporters :

boa sorte

bonne chance

estou chorando

je pleure

te amo sampaoli

je t'aime

boa sorte Sampaoli, eu te amo


Sampaoli, voce quer me matar ?

tu veux me tuer ?

dor

douleur

Chorei

j'ai pleuré

vai com deus Sampa


Obrigado por nada. Até nunca mais

merci pour rien. a jamais.

Saudades Sampa

regrets

me fez chorar

tu m'as fait pleurer

vai com Deus, obrigado por tudo


Obrigado pro resgatar nossas raizes

merci d'avoir restauré nos racines

boa sorte jorgito, seja feliz

bonne chance, sois heureux

valeu

merci

triste


saudades ja

deja nostalgique

vai pra PQP Sampaoli

va te faire ... sampaoli

Isso sim 2 uma despedida digna, nada de se depsdir do cara as rusgas, muito pelo contrario : todos sabem que ele esta saindo apenas porque é uma proposta europeia mais vantajosa financeiramente.Que seja feliz sampa

C'est un adieu digne, rien a dire bien au contraire: tout le mode sait qu'il part pour une proposition européenne plus interessante financierement. sois heureux Sampaoli.

Bref, ces réactions ne valent pas l'analyse impartiale du journal l'équipe mais j'ai pu constater des réactions très contrastées. Beaucoup de positif voire d'amour et quelques détestations.
Il ne laisse vraiment pas indifférent et a marqué les deux clubs brésiliens ou il est passé.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:17

Le torchon Gob.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:19

Bizarre l'itw de Da Fonseca "je ne le connais pas trop" mais il va donner son avis :-k

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:25

Mêmes réactions qu'au départ de Bielsa chez nous.

Sinon pour Fonseca, disons qu'il ressentait visiblement le besoin de dire qqc. Inutile mais il fallait bien pour lui qu'il parle.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:27

Perso, ma plus grosse interrogation, c'est le mariage Longoria Sampaoli. Instinctivement, j'ai pas l'impression que ce soit un beau "match"

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:43

gob, tu devrais postuler pour devenir l'interprète de Sampaoli

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 13:46

el loco, Sampaoli parle plutôt espagnol que portugais redaface2

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 14:03

randoulou a écrit:Perso, ma plus grosse interrogation, c'est le mariage Longoria Sampaoli. Instinctivement, j'ai pas l'impression que ce soit un beau "match"

Je n'ai pas l'impression qu'il y ait grand match possible avec Longoria, encore moins avec Sampaoli. Déjà parce que Longoria a une facette bien hypocrite et aime bien le pouvoir et supportera pas quelqu'un qui lui dicte la conduite sportive à tenir.

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 14:03

Quoique qu’en voyant la tête des brésiliens quand je parle portugais, si ça se trouve je parle espagnol en fait :mrgreen:

Re: Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

26 Fév 2021, 14:12

En tout cas, et ce ci aurait été vrai quelque soit le coach, ca sera un plus pour l’année prochaine de le voir arriver avant la fin du championnat. Lui aura le temps de connaitre l’effectif et ses manques. Les joueurs qui ne se verront pas faire une saison complete avec lui partiront plus facilement en juin là où il avait fallu se trainer des alessandrini ou Barrada
Modifié en dernier par spy le 26 Fév 2021, 14:25, modifié 1 fois.
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