MassaliaLive.com

[Betsamee]

[spy]

On ne tiendra jamais toute la saison

[Dragan]

Kaboré signé au Dynamo Moscou

[Dragan]

Information

Officiel : Aymen Abdennour s'engage avec Kayserispor après avoir résilié avec Valence

[dxd92]

Il se sera bien gavé cette ord...

[Odd]

Dragan, il aura pas voulu résilier avec nous ce fils de.

[bassir]

Le fils de... c’est celui qui a eu l’idée de le recruter et de le prendre 2 ans en prêt

[Dragan]

?

[gigi]

Le fils de... c’est celui qui a eu l’idée de le recruter et de le prendre 2 ans en prêt

+1

[boodream]

Abdennour n'a mis un flingue sur la tempe de personne pour signer chez nous, et s'est toujours bien conduit. Je ne vois pas pourquoi il faudrait l'insulter.

[gigi]

boodream, surtout que ces pipes de dirigeants sont allés le pecho à son aéroport de transit pour le signer en urgence alors qu’il allait signer au Zenit...

[Ryo Saeba]

Abdennour a juste respecté son contrat. C'est plutôt la direction et entraîneur de répondre à cette erreur. De même que pour sertic.

[boodream]

Ryo Saeba, j'aurais tendance à être plus dur avec eux pour Sertic que pour Abdennour parce que Sertic ce n'est pas de l'incompétence, c'est une magouille en bonne et due forme.

[Odd]

Certes l'insulte était de trop mais je vois pas ce qui l'empêchait de résilier ici si il avait tant envie de continuer à jouer au ballon. Là dès son retour à Valence il prend cette décision.

[peezee]

Ouais on va pas non plus faire comme si Abdennour pouvait pas aussi choisir de continuer à jouer au foot plutôt que prendre 2 ans de congés surpayés à rien foutre à Marseille - même si ouais la responsabilité première n'est pas la sienne.

[Johnny Rotten]

Information

Âgé de quarante ans, l'ex-attaquant international Peguy Luyindula (6 sélections, 1 but) va réapparaître dans le paysage de la Ligue 1 dans un rôle de «conseiller stratégique» à Dijon.

[Vodevil]

Bon vent champion et merci pour tout le bonheur que tu nous as apporté.

[Dragan]

Information

En janvier 2013, Peter Luccin disait de nouveau au revoir à Marseille et s'envolait pour un dernier contrat à Dallas. Une rupture des ligaments croisés d'un genou n'allait pas avoir totalement raison de lui et il allait pouvoir rejouer après l'opération, mais à 35 ans, il a fini par raccrocher. Six ans après, le Marseillais est toujours texan.

Il a connu la formation, il est désormais entraîneur-adjoint de l'écurie de MLS et c'est un observateur avisé du foot américain qui n'a jamais perdu la France de vue et surtout Marseille. Ses fils, Marlon et Lennon sont eux-mêmes devenus de petits footballeurs américains, l'aîné étant d'ailleurs entré dans l'Académie de Dallas. Retrouvailles.


Peter, comment avez-vous évolué en cinq ans ?

J'ai ouvert une académie pour les U14, puis le club m'a demandé de prendre sa propre équipe dans cette catégorie d'âge. C'est drôle, quand je jouais, jamais je n'aurais imaginé devenir un jour entraîneur et puis j'y ai pris goût, grâce à Oscar Pareja et j'ai vécu certains des meilleurs moments de ma carrière avec ces jeunes. J'ai pu développer des concepts auxquels j'avais réfléchi, avec des garçons intelligents et Oscar m'a pris de temps en temps avec lui, pour l'aider officieusement.

Les jeunes que vous avez vus arriver sont plutôt d'origine étrangère, de pays où la culture du foot est développée ?

La colonie mexicaine est considérable dans tout le Texas. Comme en Californie, ils ont cette culture, le foot dans le sang et ils aident notre sport à grandir ici. Ceux qui n'ont pas le foot dans leur ADN, peuvent comprendre que c'est un sport de passion.

Dans un pays si vaste où la différence est énorme entre les côtes et l'intérieur, il est dur d'avoir une opinion globale, mais le foot gagne-t-il en crédibilité ?

Je pense que oui. Surtout avec l'arrivée de joueurs tels que Ibrahimovic, Beckham, Rooney. Ça a fait une belle publicité, mais honnêtement, il y a encore du boulot. Le talent pur existe. Des amis venus d'Espagne qui travaillent dans des centres de formation, m'ont confirmé cette impression. Après, au niveau des compétitions de jeunes, ça pèche un petit peu, on perd du temps par rapport à l'Europe.

Comment expliquez-vous qu'il y ait un tel écart entre les féminines, meilleures du monde et l'équipe masculine ?

Le championat féminin américain n'est pas aussi important que celui des hommes, mais beaucoup de joueuses cadres ont évolué quelques années en Europe, à Lyon ou Paris par exemple. C'est ce qui manque à l'équipe hommes. Beaucoup trop de joueurs évoluent aux États-Unis. Je crois beaucoup en Christian Pulisic, qui vient de passer de Dortmund à Chelsea ; il a vingt ans, il va vivre une expérience formidable, je suis sûr qu'il va casser la baraque. Souvenez-vous de notre équipe de France 1998 : elle a puisé beaucoup de sa force dans ce que des cadres avaient pris en Italie ou en Angleterre. Il faudra aussi que le championnat US soit plus compétitif.

On connaît surtout les équipes de New York et LA. Que vaut DC United, le club de Washingtonque l'OM va rencontrer ?

Depuis sa création, ce club a toujours été respecté, sans être l'un des meilleurs. L'arrivée de Wayne Rooney les a envoyés dans une autre dimension, sur le plan du jeu comme sur le plan médiatique. Ce phénomène confirme ce que je pense : la MLS a besoin de plus de joueurs de ce niveau-là, et des plus jeunes aussi. Même si je comprends que les meilleurs Européens, Africains ou Sud-Américans préfèrent le Real, le Barça, le Bayern ou Milan...

Vous avez affronté DC United le 4 juillet dernier et vous les avez battus...

Oui, mais ils jouent vraiment au ballon et c'est dans ce domaine que Rooney leur a fait franchir un palier. Même s'il vient d'Angleterre, c'est quelqu'un qui aime jouer dans les pieds et pas forcément long. C'est comme Ibra à Los Angeles. Ils possèdent aussi un bon meneur de jeu, Acosta, qui a été expulsé contre nous. DC a un Français en défense centrale, Frédéric Brillant, venu de Sedan, un gars solide qui correspond au profil de la MLS où les duos de centraux sont toujours composés de deux costauds.

Et le jeu en général ?

Il est de plus en plus technique. Au départ, le sportif américian est un athlète, ça court vite, c'est costaud, physique, en misant sur les duels, les longs ballons. Depuis deux ou trois ans, 70 % des équipes évoluent vers un jeu plus technique, de possession, de passes. C'est vraiment positif et il faut souhaiter que ce soit validé par des résultats.

Comment est vu le football français ?

Avec beaucoup de respect. Dès qu'un Français arrive, que ce soit dans les médias ou dans les tribunes, il est bien considéré comme les Espagnols, les Italiens ou les Anglais, même si leurs championnats sont plus visibles. Mais les gens qui suivent le foot connaissent l'OM, le PSG, Lyon, Monaco et la Ligue 1 est de plus en plus regardée, sur beIN, Fox Sport, par le câble ou le satellite.

Que pensez-vous de l'initiative de la Ligue, avec ce tournoi à Washington ?

C'est une excellente idée. Moi, je suis un footeux, je vis entouré de gens qui aiment ça, je ne suis pas au fait des enjeux financiers mais si l'Angleterre et l'Espagne sont venues aux USA depuis des années, c'est qu'il est utile de savoir s'exporter. Je n'aime pas cette terminologie mais la L1 est un bon "produit à vendre". Un club comme le Bayern a déjà des partenariats et il faut que la France et l'OM infiltrent ce marché, par les droits télé, les droits dérivés, le merchandising. Un sondage a montré il y a deux ans que le Real vend beaucoup de maillots aux États-Unis.

La France est en retard ?

La démarche de la Ligue est très intelligente, je la soutiens à 100 %. La France n'a rien à envier aux autres, mais il faut le faire savoir, faire connaître notre football qui est déjà beaucoup regardé, mais où on doit occuper le terrain. Ça doit rapporter de l'argent et de l'image aux clubs français comme l'OM. Ce tournoi est un premier pas. Après, il faut que des clubs français comme l'OM participent à des tournois internationaux avec le Real, Manchester etc... Ces jours-ci, nous jouons contre Séville qui effectue une tournée.

L'échange est profitable à tous ?

Exactement. Avec Dallas, nous avons tout à gagner en nous frottant au niveau de Séville. Le foot du futur est là, dans l'ouverture et j'espère qu'on reverra l'OM aux USA. Ici, les ressources sont considérables, le marché sans limite et d'un autre côté, la MLS a tout à gagner en regardant vers l'Europe.

Vous aurez le temps de faire un saut à Washington ?

Malheureusement non. Nous sommes en plein championnat, jouons tous les trois, quatre jours. C'est dommage, j'aurais aimé venir dire bonjour aux Marseillais.


La Provence

[Dragan]

Information

PAPE DIOUF; "J'aurais probablement agi différemment..."; L'ancien président olympien (2005-09) évoque la gestion de l'OMet, notamment, l'utilisation des 200 millions d'euros de Frank McCourt par les dirigeants actuels. Interview


Vous avez assisté à la défaite de l'OM contre Nantes (1-2) au Vélodrome fin avril. Vous n'étiez pas revenu au stade depuis des années. Comment avez-vous vécu cette fin de saison cauchemardesque ?

Avec beaucoup de tristesse. Mon sentiment n'a jamais varié : j'ai toujours pensé que l'OM était l'un des plus grands clubs de France et qu'à ce titre, il devait chaque saison terminer sur le podium. Une année sans, ça peut faire partie du football. Mais il n'est pas naturel qu'aujourd'hui, ce soit une exception de voir ce club finir dans les trois premiers.


D'autant que ce n'est pas arrivé depuis le printemps 2013...

Il y a là comme un vice de forme. La qualification en Ligue des champions devrait être la règle, même si le PSG a des moyens infiniment plus importants. Mais l'OM ne rencontre pas Paris 38 fois en 38 matches !Je suis également choqué par la série de défaites enregistrées contre les Parisiens. Ils sont plus forts, certes. Mais pour les battre, il faut savoir les déstabiliser en dehors du terrain. Le jour du match, ils ne doivent pas venir en fumant la pipe ! De ce point de vue là, depuis quelques années, nous n'avons pas su utiliser les moyens qui conviennent... Mais il est également étonnant que nous ne parvenions plus à battre les "équipes de tête", comme Lyon ou Lille. Les victoires acquises contre les clubs du ventre mou ne passionnent pas les supporters marseillais.

Au printemps, le président Eyraud avait annoncé "des changements importants" dans l'effectif cet été, et évoquait une "fin de cycle". Le mercato est ouvert depuis un mois et demi, et l'OM actuel ressemble à celui de la saison passée, à l'exception de l'entraîneur...

Au fond de moi, comme tous les supporters, j'aurais évidemment souhaité voir l'OM procéder à un recrutement luxueux. Mais le football français est caractérisé par un vrai nivellement des valeurs. On a vu Lille au bord de la rupture en 2017-18 et être 2e en 2018-19. Il n'est pas interdit de penser qu'à la faveur d'un bon départ, les Olympiens puissent surprendre et faire un bien meilleur championnat que la saison dernière. Y a-t-il les moyens pour renouveler l'effectif ? Je ne sais pas... Il est vrai que lorsqu'on voit cette équipe-là, elle paraît déséquilibrée et ne semble pas avoir en son sein des joueurs capables de la transcender.

Depuis trois ans, les dirigeants ont surtout misé sur des noms et des joueurs déjà âgés. Il y a eu énormément d'erreurs de casting et beaucoup d'Olympiens sont surpayés, ce qui plombe les finances du club. Êtes-vous inquiet pour l'avenir ?

À partir du moment où le club manque singulièrement de liquidités, il y a de quoi être inquiet. Pour ne pas plomber les finances, il y a trois facteurs à nécessairement maîtriser : bien vendre, bien acheter et contrôler la masse salariale. Si l'un de ces trois facteurs n'est pas conforme à ce qu'il convient, il y a tout de suite un déséquilibre. Aujourd'hui, la masse salariale paraît être hypertrophiée. Il semble aussi que les joueurs achetés l'ont été à des prix qui n'étaient pas ceux du marché.

N'y avait-il pas mieux à faire avec 200 millions d'euros (la somme injectée par Frank McCourt en 2016 pour renforcer l'équipe) ?

Je pense... Moi qui ai été président et ai dépensé tout au plus 15 M€ sur un joueur, ça me fait rêver. Même si le PSG a dérégulé complètement le marché. Avant, nous n'avions peut-être pas de Zubizarreta, mais j'avais avec moi des collaborateurs capables d'aller voir dans les divisions inférieures quel type de joueurs il nous fallait. C'est ainsi que des Valbuena ou Kaboré sont arrivés à moindres frais. Nous faisions un travail préparatoire.

On a l'impression que les dirigeants actuels ont surtout manqué d'idées. Il n'y a pas besoin de cellule de recrutement pour faire revenir Payet et Mandanda, ou faire signer Balotelli cinq mois...

Chacun a sa manière de travailler. Dans le football, il n'y a pas de vérité absolue, mais lorsqu'on recrute, il y a des éléments dont il faut tenir compte. Dans un club comme l'OM, battu en brèche financièrement par le PSG et même peut-être par Lyon, il faut impérativement de l'imagination, de l'inventivité. Il faut faire différemment. Je ne sais pas si c'est ce que font les dirigeants aujourd'hui.

De quoi a besoin l'OM ?

Certains m'ont dit : "Il y a quand même un grand nom, Zubizarreta."J'ai déjà eu l'occasion de le dire, je le répète : il a probablement fait ses preuves dans le football international. Je ne remets pas en cause ses compétences, mais son utilité à l'OM. Il n'est pas habitué à travailler dans un club qui a besoin de recruteurs et d'observateurs allant chercher des joueurs sur des terrains parfois improbables. Zubizarreta a toujours joué du carnet de chèques du Barça, a toujours su aller au Bayern, à Manchester... Mais au vu de la situation actuelle, est-ce de cela dont l'OM a besoin ? Je m'interroge. Je préfère nettement quelqu'un comme José Anigo qui a su aller chercher des garçons que personne n'attendait.

Cela faisait très longtemps que vous n'aviez pas dit du bien de José Anigo...

Ça montre que je suis sincère dans ce que je dis.

Quel regard portez-vous sur Jacques-Henri Eyraud ?

Ce que je pense de lui est forcément subjectif dans la mesure où je ne le connais pas. Depuis qu'il est là, nous ne nous sommes jamais rencontrés. Il n'a jamais cherché à me contacter. Peut-être n'en avait-il pas le besoin ou l'utilité. Les seules fois où je le vois, c'est dans la presse. Sa communication n'est sans doute pas la mienne. J'ai une autre personnalité, qui m'aurait sans doute amené à communiquer autrement.

Pensez-vous qu'il est l'homme de la situation ?

Je ne sais pas car je ne suis pas à l'intérieur du club. Quand j'étais président, il m'arrivait de prendre des décisions parce que j'étais adossé à des éléments qui n'étaient pas forcément connus du grand public. J'ai été l'objet de critiques, c'est la règle du jeu. Je ne dirai donc pas que toutes les décisions prises par Jacques-Henri Eyraud et ses collaborateurs ne sont pas bonnes. Mais, une chose est évidente : j'aurais probablement agi différemment...

Vous êtes encore très apprécié par les supporters. Une banderole a même été déployée lors du dernier match contre Montpellier pour demander votre retour, avant d'être retirée après intervention des stadiers. Quel message voudriez-vous adresser aux amoureux de l'OM inquiets ?

Lorsqu'une telle banderole est déployée, ce serait mentir de dire que cela ne flatte pas l'ego. Cela démontre aussi que j'ai été apprécié durant la période que j'ai passée à la tête de l'OM. J'ai envie de dire aux supporters, de manière optimiste, que le club a plus de 100 ans, qu'il a connu des périodes noires, que tout y est cyclique et que si, aujourd'hui, les choses vont moins bien, j'ai le sentiment profond que demain, ça repartira. Soit avec les actuels dirigeants, qui changeraient de politique, soit avec d'autres.

À votre époque, l'OM rivalisait avec Lyon. Aujourd'hui, l'écart est de plus en plus grand. Vous avez eu beaucoup de passes d'armes avec Jean-Michel Aulas lorsque vous étiez président. Comment jugez-vous l'évolution de l'OL ?

De mon point de vue, Jean-Michel Aulas est sans doute le meilleur dirigeant du football français. Son équipe n'a jamais été dans le ventre mou ou en dessous. Quand des problèmes surgissent à Lyon, il est toujours en situation de les endosser lui-même, de mettre son monde à l'abri, aussi bien les joueurs que les entraîneurs, pour trouver des solutions. Il a une capacité de compréhension que beaucoup n'ont pas. Il a très vite assimilé les règles élémentaires pour diriger un club. On a beau ne pas l'aimer, mais il sait où il va. Il n'est jamais absent dès qu'il s'agit de travaux à la Ligue ou à la Fédération. Il est toujours là, dans la moindre petite commission. Il sait tirer les marrons du feu. Et il est trop seul à s'opposer au PSG.

À Nice, Jean-Pierre Rivère et Julien Fournier, que vous connaissez bien puisqu'il a été votre bras droit à Marseille, sont en passe de reprendre leurs fonctions avec le rachat du club par le milliardaire britannique Jim Ratcliffe. Avez-vous été tenté, par le passé, de trouver des investisseurs prêts à racheter l'OM afin de revenir ?

Avec Julien, nous avions évoqué l'hypothèse à une époque, lorsque nous sommes partis. Ensuite, il est allé à Nice et j'ai fait autre chose. Je ne peux donc pas affirmer que j'ai cherché des actionnaires, comme eux l'ont fait. Julien est quelqu'un qui a beaucoup appris. Il mérite d'être où il en est, c'est un grand dirigeant et il l'a démontré. Je suis ravi de savoir qu'il va revenir au premier plan à l'OGCN et poursuivre le travail admirable qu'il a déjà accompli là-bas. Évidemment, je regrette qu'un garçon comme lui ne soit pas à l'OM. Je ne suis pas étonné de son parcours. Il était l'un de mes collaborateurs les plus proches, j'avais une confiance aveugle en lui. Il est d'une parfaite probité, d'une honnêteté absolue. Et il est très compétent techniquement.

Aujourd'hui, si Frank McCourt venait à vous appeler, que répondriez-vous ?

D'abord, faudrait-il qu'il le fasse. Je ne peux donc pas répondre de manière directe à cette question. Je dirais probablement qu'il y a des choses qui me paraissent nécessaires : le club traîne un déficit très important. Quand je suis arrivé à l'OM, le déficit était loin d'être celui d'aujourd'hui... Il faudrait aussi discuter du véritable projet que voudrait mettre en place monsieur McCourt. Mais je suis très loin de tout ça !

Un autre club que l'OM vous a-t-il déjà contacté ?

Il y a toujours des contacts qui nous arrivent. Mais je suis tellement olympien et marseillais que je me verrais très mal aller travailler ailleurs. Après, concernant l'OM, il y a toujours des gens qui se disent proches de la direction ou de l'actionnaire et viennent vers moi pour me demander ce qu'il en est, mais je n'ai jamais attaché d'importance à tout cela.


La Provence

[Pancho11]

Je suis tellement marseillais que j'ai été joueur du psg