Luis Henrique [-> Juin 2025] (Prêt d'1 an à Botafogo)

Sur RMC Salomon Kalou qui a jouer avec lui a Botafogo en dit beaucoup beaucoup de bien

"Il va super vite, il est puissant, Il est jeune . Gros Dribbleur, il va vite, il y a beaucoup de feintes dans son jeu."

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Jeff Perez de Europe 1 annonce un transfert entre 8 et 10 M d 'euros

Et notre 9 ? Sinon, j’espère qu’il sera rétabli pour le retour contre le PSG

C'est exactement le genre de joueurs qu'on doit tenter, j'espère que ce sera une bonne pioche.
On va déjà voir si il signe, et on crachera dessus (ou on le sucera) très vite...

https://www.canalbotafogo.com/forum/topico.php?possvel-venda-de-lh-e-a-sa

Vous allez sur ce forum et vous faites traduire la page.
Les avis font peur. "Joueur stupide" , " ne sait que courir" et j'en passe.
Ça sent le Radonjic bis. Franchement pour être DS d'un gros club de foot ça fait peur le niveau d'incompétence, bien joué Longoria pour ce gros coup

Faut nuancer ceci et resituer les choses dans leur contexte peut-être car tout n'est peut-être pas très vrai. Il y a beaucoup de supporters de Botafogo qui sont dégoûtés à la fois en ce moment car ils sont relégables et ont besoin de vendre, et qu'ils en veulent à leur dirigeants car ils ne savent pas vendre non plus (ça vous rappelle qqc, non ?).

Ajoute à cela le fait que ce transfert potentiel passe très mal car pour eux Luis Henrique représente un des meilleurs du club. Pour eux il a une valeur de 20 voire 30 M. Ajoutons à cela aussi qu'ils ne comprennent pas les intérêts des autres parties qui possèdent le joueur (tierce propriété) à qui ils en veulent de se sucrer sur le dos du club, et qu'ils ont l'impression de se faire avoir par la comm de leurs dirigeants.
Et certains jugent le fait de ses absences dernières très suspect, ils ne croient pas à une réelle blessure.

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Transferts : qui est Luis Henrique, l'attaquant convoité par l'OM ?

La probable future recrue marseillaise Luis Henrique n'est pas un vrai n°9. Mais l'attaquant de Botafogo est une belle promesse.

Eric Frosio
21 septembre 2020 à 22h38
Au Brésil, quand on court après son rêve, il ne faut pas se fixer de limites. Surtout pas kilométriques. À seulement 13 ans, Luis Henrique n'a pas eu peur quand son père, Ronaldo Tomás da Silva, ancien attaquant de niveau régional, lui a déniché un club pour poursuivre sa formation. Et tant pis s'il fallait faire 4 000 bornes pour trouver des conditions et un encadrement à la hauteur des ambitions familiales.

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Avant de traverser le pays du Nord au Sud, jusqu'à Três Passos (25 000 habitants), considéré comme un village à l'échelle du Brésil, Luis Henrique avait grandi dans le Nordeste, l'une des régions les plus pauvres du pays. Il s'entraînait avec son petit frère à Solânea (30 000 habitants) dans l'association créée par le paternel '' un livre dans la main, un ballon dans les pieds ''. L'objectif ? « Transmettre des leçons de vies et préparer ces jeunes à embrasser le monde », idéalisait Ronaldo dans un journal local, en 2012.

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Il faut croire que la méthode du papa-coach n'était pas que théorique. Malgré l'éloignement et la saudade, Luis Henrique a réussi son adaptation en devenant le meilleur élément d'un petit club réputé pour la qualité de sa formation. Fort de cette réputation, le TAC (Três Passos Atletico Clube), commandé par Sandro Becker, un ancien joueur devenu agent, est invité à disputer un tournoi en Allemagne, en 2018.

Un essai au Bayern Munich
Luis Henrique n'a que 16 ans mais il tape dans l'oeil du Bayern Munich, qui l'invite à passer un test, dix jours plus tard. L'attaquant s'entraîne une semaine en Bavière et découvre l'excellence. « Ils ont estimé qu'il avait quelque chose de spécial mais on n'a rien signé. Il n'avait que 16 ans », a expliqué son agent à Radio Tupi. Ce test fait néanmoins office de visa pour aller voir plus haut. Ce sera à Botafogo, qui s'offre 40 % des droits du joueur avant de renouveler le prêt jusqu'en décembre 2022.

« Il doit s'améliorer dans la dernière passe mais il a du potentiel »
Un recruteur
C'est d'abord dans le Championnat carioca des moins de 20 ans que Luis Henrique fait parler sa vitesse, ses dribbles et son audace. C'est là que certains observateurs le repèrent. « Je l'ai vu plusieurs fois, début 2019, relate un recruteur. C'est un garçon rapide, qui a de l'explosion et de la force. Il doit s'améliorer dans la dernière passe mais il a du potentiel. »

Suffisamment pour convaincre Alberto Valentim de miser sur lui, fin 2019. Face aux lacunes de son secteur offensif, il l'invite avec les pros et lui donne sa chance lors des deux dernières journées de Championnat. Il l'installe même dans son onze, début 2020. Comme Paulo Autuori, qui succède à Valentim sur le banc, fin février.

« Ce gamin est un char d'assaut »
Victor Luis, arrière gauche de Botafogo
Autuori maintient sa confiance à un joueur au « potentiel incroyable », qui brille par son activité, le plus souvent sur le côté droit. De quoi gentiment irriter son coéquipier Victor Luis, l'arrière gauche de Botafogo : « Ce gamin est un char d'assaut ! Il a beaucoup de force et de technique. Lors des oppositions, je lui demande de me laisser tranquille et d'aller mettre la misère à Barrandeguy (le latéral droit). »

Fan de... Neymar, surnommé... Kylian
Si Luis Henrique est fan de Neymar, il porte le numéro 7 (comme Garrincha) et certains osent le comparer à Kylian Mbappé, même si ses stats ne sont pas épatantes (2 buts en 19 matches cette année). « Les supporters le surnomment Kylian car il est très rapide mais il est encore loin de son niveau, admet Davi Barros, qui suit Botafogo pour le site GloboEsporte. Il doit travailler le dernier geste et il en est conscient... »

Un constat confirmé par notre recruteur, pas forcément convaincu qu'il puisse s'intégrer rapidement : « Il faudra lui laisser du temps pour s'adapter à la L1. C'est un bon joueur, très prometteur, mais à ce prix-là (autour de 10M€), Marseille aurait pu trouver un joueur déjà prêt. »

La conclusion de l'article

On va forcément faire un 9. D'un profil complètement différent, pas jeune, pas prospect, en prêt ou libre. AVB lui même a jugé utile de dire deux fois (une sur Téléfoot, une en conf d'après match) que le jeune qui arrive ne fermait pas le mercato.

Le 5 octobre c’est n’est pas moi qui irai ramasser Boodream et qui lui ferai Le lavage d’estomac

L'Equipe

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MARSEILLE – Quel metteur en scène, cet André Villas-Boas. Avec l’en- traîneur de Marseille, le recrute- ment d’un attaquant est un feuilleton à suspense pour le sup- porter olympien, bien plus hale- tant que les deux derniers mat- ches à domicile de son équipe.

Premier acte tout en langueur, jeudi après la défaite face à Saint- Étienne (2-0): «On cherche, on va voir si on est capable d’en faire venir un mais on n’est pas trop pressés. Ça peut être dans cette fenêtre (du mercato estival) ou lors de la pro- chaine, histoire de prendre la meilleure décision possible.»

Second acte tout en optimisme, samedi matin, en conférence de presse à la Commanderie: «J’es- père dans les prochains jours, peut- être dans les prochaines semaines, faire arriver l’attaquant qu’on a choisi. Si tout se passe bien... » Troi- sième acte aguicheur, dimanche, après le nul de son équipe face à Lille (1-1): «Oui, un attaquant ar-
rive. Une petite pépite comme vous dites, un nom qui n’est jamais sorti dans la presse. Il peut jouer aux trois postes en attaque. Il est jeune, il a 18-19 ans. Les deux parties sont tombées d’accord.»
Ne manquait donc que l’identité du jeune homme tant convoité, et elle a été dévoilée hier : Luis Hen- rique, né le 14décembre 2001 et évoluant à Botafogo. Un qua- trième acte qui ne manquera pas de nous surprendre, encore une fois. Le prometteur Luis Henrique tend vers l’ailier vif et dribbleur plutôt que vers le registre du co- pieux numéro9. Il a peu à voir avec les profils ciblés depuis le début
d’année 2020 par l’ex-directeur sportif Andoni Zubizarreta et par Villas-Boas. Citons le Rennais M’ Baye Niang (25ans), le Rémois El Bilal Touré (18ans), l’Uruguayen d’Almeria Darwin Nuñez (21ans), finalement transféré à Benfica pour 25M€, le Colombien de Wat- ford, Luis Suarez (22 ans), ou le Mexicain des Chivas de Guadala- jara, José Juan Macias (20 ans). Des avants-centres de rupture, de réels concurrents pour Dario Be- nedetto, des buteurs plus puis- sants, plus aguerris, plus chers aussi...

Si le prix murmuré pour Luis Henrique (10M€, dont 60% pour
le Três Passos Atlético Clube, petit club formateur du Sud du Brésil, et 40% pour Botafogo) n’a rien de négligeable, vu sa poignée de matches en pros au Brésil (7), ce transfert est plus une opération de trading que le renforcement im- médiat de l’équipe type si souvent évoqué par «AVB» ces dernières semaines: le recrutement par le «head of football» Pablo Longo- ria, d’un prospect, en post-forma- tion, à polir et à revendre avec une forte plus-value.
Longoria mise sur la polyvalence
Une trajectoire à la Isaac Lihadji, l’élément le plus talentueux du centre de formation olympien parti au LOSC cet été, à un âge quasi-identique (18 ans et quel- ques mois). Appréciant le travail de Nasser Larguet, le directeur du centre, arrivé à l’été 2019, AVB comme Longoria ont un regard sévère sur les dernières généra- tions de la pouponnière olym- pienne, les trouvant trop peu four- nies en potentiel à exploiter. Longoria connaît le réservoir bré-
silien, il a saisi l’occasion alors que le mercato commence à s’agiter, ajoutant de la vitesse à un effectif qui en manquait selon lui (Florian Thauvin sera bientôt libre et Ne- manja Radonjic plafonne), tout en espérant que la polyvalence de- vienne un atout, pour être aussi à l’aise en ailier qu’en pointe. En privé, le dirigeant explique à ses interlocuteurs que l’OM n’a pas renoncé à embaucher un avant- centre plus classique. Mais il fau- dra «vendre avant», précise-t-il.

Depuis plusieurs mois, le mer- cato marseillais oscille entre deux tendances. Au vu des déficits ac- cumulés et ceux programmés, le président Eyraud souhaiterait cé- der un ou plusieurs joueurs avant de réinvestir, tout en annonçant la phase 2 du projet McCourt, dite du trading. De son côté, pour sa se- conde saison à l’OM, AVB fait tout pour garder son groupe en l’état, bâtir un mercato malin en dé- boursant peu et convaincre ainsi lepropriétairebostoniendedégai- ner le chéquier sur un buteur. L’arrivée de Luis Henrique se situe au milieu du gué.

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Au Brésil, quand on court après son rêve, il ne faut pas se fixer de limites. Surtout pas kilométriques. À seulement 13 ans, Luis Henrique n’a pas eu peur quand son père, Ronaldo Tomás da Silva, ancien attaquant de niveau régional, lui a déniché un club pour poursuivre sa formation, à 4000 bor- nes de leur domicile.


Avant de rejoindre Três Passos (25000 habitants), au sud du pays, Luis Henrique avait grandi dans le Nordeste, l’une des régions les plus pau- vres du pays. Il s’y entraînait avec son petit frère à Solânea (30000 habitants) dans l’as- sociation créée par le paternel, «Un livre dans la main, un ballon dans les pieds ». Malgré l’éloignement et la saudade, Luis Henrique est devenu le meilleur élément de son nouveau club, réputé pour la qualité de sa formation.

Fort de cette réputation, le Três Passos Atletico Clube (TAC), commandé par San- dro Becker, un ancien joueur devenu agent, est invité à disputer un tournoi en Allema- gne, en 2018. Luis Henrique n’a que 16ans mais il tape dans l’œil du Bayern Munich qui l’invite à passer un test, dix jours plus tard. L’attaquant s’entraîne une semaine en Ba- vière. «Ils ont estimé qu’il avait quelque chose de spécial mais on n’a rien signé. Il n’avait que 16ans», a expliqué son agent à Radio Tupi.

Ce test fait néanmoins office de visa pour aller voir plus haut. Ce sera à Botafogo, qui s’offre 40 % des droits du joueur avant de re- nouveler le prêt jusqu’en décembre2022. C’est d’abord dans le Championnat carioca des moins de 20ans que Luis Henrique fait parler sa vitesse, ses dribbles et son au- dace. «Je l’ai vu plusieurs fois, début 2019, re- late un recruteur. C’est un garçon rapide, qui a de l’explosivité et de la force. Il doit s’amélio-
rer dans la dernière passe mais il a du poten- tiel. » Suffisamment pour convaincre Al- berto Valentim de miser sur lui, fin 2019. Face aux lacunes de son secteur offensif, il l’invite avec les pros et lui donne sa chance lors des deux dernières journées de Cham- pionnat. Il l’installe même dans son onze, début 2020. Comme Paulo Autuori, qui suc- cède à Valentim sur le banc, fin février.

“Les supporters le surnomment
de Botafogo: «Ce gamin est un char d’as- saut! Il a beaucoup de force et de technique. Lors des oppositions, je lui demande de me laisser tranquille et d’aller mettre la misère à Barrandeguy (le latéral droit).»

«Les supporters le surnomment Kylian car il est très rapide mais il est encore loin de son ni- veau, admet Davi Barros, qui suit Botafogo pour le site GloboEsporte. Il doit travailler le dernier geste et il en est conscient... » Un constat confirmé par notre recruteur, pas forcément convaincu qu’il puisse s’intégrer rapidement: «Il faudra lui laisser du temps pour s’adapter à la L1. C’est un bon joueur, très prometteur, mais à ce prix-là (autour de 10M€), Marseille aurait pu trouver un joueur déjà prêt.»


Le nouvel entraîneur maintient sa con- fiance à un joueur au «potentiel incroyable», qui brille par son activité, le plus souvent sur le côté droit. De quoi gentiment irriter son coéquipier Victor Luis, l’arrière gauche
de Botafogo: «Ce gamin est un char d’as- saut! Il a beaucoup de force et de technique. Lors des oppositions, je lui demande de me laisser tranquille et d’aller mettre la misère à Barrandeguy (le latéral droit).»


«Il faudra lui laisser du temps pour s’adapter à la L1. C’est un bon joueur, très prometteur, mais à ce prix-là (autour de 10M€), Marseille aurait pu trouver un joueur déjà prêt.»

Le 5 octobre c’est n’est pas moi qui irai ramasser Boodream et qui lui ferai Le lavage d’estomac

Non mais tout va bien. On va vendre DCC ce qui nous permettra de mettre 10 milliions sur un gardien argentin de 15 ans. C'est notre besoin prioritaire. Connards.

Là, tu caricatures.
Pour le moment, on a fait un pari sur deux joueurs ( gueye et Henrique). C’est pas énorme.

Et le mercato n’est pas fini. Il va y avoir d’autres arrivées

Je suis pour qu'on prenne des jeunes. Ce n'est absolument pas le problème.

pour le moment on semble se diriger vers la premiere grosse saucisse de Momo Bouhafsi

boodream, Bah si tu n'a pas trop d'indésirables avec des salaires énormes, que tu as encore une belle enveloppe transfert, le recrutement de Henrique peut être sympa si tu sais que tu as encore 20m€ à coller sur un 9.
Ce ne semble pas être le cas.

Sinon on vend Sanson et on prend un 9 et on passe en 4231

Rocca, disons que la priorité c'est peut être de ne plus aligner Maxime Lopez en pointe quand Benedetto est absent. Je n'ai strictement rien contre l'idée de faire du trading, ça va peut-être devenir un super joueur avec nous et bienvenue à lui s'il vient, mais là, c'est acheter des meubles avant d'avoir une maison.

Par ailleurs, le discours officiel du club, notamment AVB en conf publiquement, a toujours concerné la recherche d'une alternative/doublure/concurrence à Benedetto. Je pense donc qu'on va faire les deux. Mais en prêt ou en attendant une vente comme dit Longoria, c'est du bricolage.

Bah surtout le souci c'est qu'apparemment il faut vendre pour acheter et je ne vois pas qui/comment on va faire. Personne ne veut de nos joueurs en particulier ceux qu'on veut vendre (Sanson Lopez).

pour le moment on semble se diriger vers la premiere grosse saucisse de Momo Bouhafsi

Ok il est pas tout blanc mais c’est pas un peu fort de traiter Bouhafsi de singe ?

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OM: Henrique arrivera plus tard que prévu
Luis Henrique n’a pas pris l’avion lundi soir du Brésil vers Marseille comme c’était prévu. L’attaquant brésilien de 18 ans est retenu dans son pays pour des raisons administratives liées au coronavirus. Ce qui ne remettra pas en cause son transfert à l’OM. Les deux clubs, Tres Passos et l'OM, se sont déjà mis d’accord. Si ses problèmes administratifs se sont réglés, Luis Henrique prendra l’avion demain soir.

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