MassaliaLive.com

[Pancho11]

Trop souvent absent pour être un taulier. T'as l'impression que la moindre blessure prend plus de temps avec lui

[Dragan]

C’est quoi son ratio de blessures ? Assez cata non ?

Qui plus est souvent en plein match ce qui désorganise complètement l’équipe

[jarlandine]

Pas fiable musculairement, un vrai Gourcuff, même en le rentrant à la 98eme pas certain qu' il finisse le match !
Dommage, il est bon quand il a mal nulle part !

[Arno26]

Il s’est beaucoup blessé parce qu’il mettait la tête ou les autres ne mettaient pas le pied

Il se donne à fond, et même s’il est limité, c’est utile dans un effectif

[Jester]

Il s'est pris des bons shoot en effet.

[Dragan]

[randoulou]

Comment le gars doit kiffer sa vie

[Dragan]

Gros match lui aussi. Même si ses relances devenaient de plus en plus approximatives au fur et à mesure du match

[Pancho11]

Solide et il enchaîne sans se blesser.

[Dragan]

Beau but, 2-3 gros tacles mais…

Et sur le 1er but du petit jeune monégasque, sur la touche lui et Rongier sont à la rue comme des gamins de 5 ans

[Dragan]

Information

Savanier-Gigot, canal du Rhône

Ils partagent les mêmes racines à leur propre épopée. L’un et l’autre ont grandi entre Montpellier et Marseille. À Arles-Avignon, éphémère club (2009-2016) entre folie des grandeurs et décadence. Pendant que certains futurs retraités (Niang, Zebina, Givet…) épuisaient leurs derniers souffles, le capitaine de l’OM, Samuel Gigot, et celui de Montpellier, Téji Savanier, ont entrepris leur ascension dans le monde pro au sein du club provençal du président Marcel Salerno. Ce mercredi à La Mosson, en clôture d’une première moitié de championnat teintée de frustration pour leurs clubs, les deux hommes échangeront une poignée de main comme un pacte tacite à une même reconnaissance tardive. Téji, et ses airs de petit génie mal compris, et Samuel, avec sa carrure de 3e ligne dur au mal, n’ont rien de deux clones. Mais ils ont appris à se sortir de la même galère sur les bords du Rhône le temps de deux saisons en commun (2013-15). L’un et l’autre viennent de loin.

Téji Savanier (31 ans) s’est expatrié de la cité Gély jusqu’à la lisière du Languedoc pour mieux revenir en maître de La Mosson via Nîmes (2015-19). Samuel Gigot (30 ans) a fait le tour de l’Europe. Lui aussi quitte Arles-Avignon en 2015, prend la route de la Belgique, à Courtrai, puis à Gand avant de passer à l’Est et au Spartak Moscou (2018-22) pour y conquérir un statut que Marseille accorde souvent à ceux qui partent. L’OM se construit avec ceux qui viennent du large plutôt qu’avec les minots.

« “Loulou” avait dit : “J’ai deux bons petits” » En 2011, pendant que Montpellier, et ses copains de la Gambardella (Belhanda, Cabella, Stambouli…), amorcent leur improbable course vers la postérité, Savanier file sauver Arles-Avignon d’une fatale disparition.

« Comme ils n’étaient pas gardés à Montpellier, je fais venir Téji et son grand copain Hugo Rodriguez. “Loulou” avait dit au président Salerno : “J’ai deux bons petits, tu devrais les voir”. Le “Boss”, et peut-être d’autres autour, avait bien vendu l’affaire. On est allés à Port-de-Bouc pour un essai face à une DH (aujourd’hui R1, NDLR)

, sur un terrain synthétique tout pelé », raconte Jean-Louis Saez, alors à la tête de la réserve du club provençal.

« À la fin du match, le président Salerno vient me voir et me dit : “Qu’est-ce qu’on fait ?” J’ai bien sûr validé. Ils signent un contrat de trois ans. Téji, il a fait deux ou trois matches avec moi, et je ne l’ai plus revu… », sourit-il, d’autant plus que la “réserve” s’entraînait à Arles, et les pros quarante kilomètres plus loin à Avignon.

« Hugo, qui était le meilleur joueur de sa génération, a mis un peu plus de temps à monter avec les pros, avant d’en devenir le capitaine », poursuit Saez, qui a retrouvé les deux vieux complices à Uzès aux obsèques d’Henri Stambouli.

Gigot, l’héritage ovale Gigot voulait s’affranchir de son passé d’ovale, et ses a priori un peu bourrin, pour faire sa place chez les footeux.

« “Sam”, plus jeune, était U19, il venait s’entraîner avec moi. Il venait du Pontet, il était d’une famille de rugbymen. Il en avait un peu honte », sourit Jean-Louis Saez. Si le magicien de La Mosson et Gigot, colosse robuste, n’ont pas le même profil, ils partagent ce goût de la gagne. Ou plutôt ce goût de réussir contre vents et marées, face à l’amer d’un monde pro qui se refuse à eux.

« Téji était déjà Téji. C’était un gagneur, un peu bagarreur comme il est aujourd’hui sur le terrain. Leader dans l’âme, il ne se laisse pas marcher sur les pieds. Ensuite, à Nîmes, il fera un gros travail athlétique, avant de devenir le joueur qu’il est », rembobine Jean-Louis Saez, actuel directeur sportif de l’équipe féminine de Montpellier.

« “Sam”, c’était une bête physique, c’était le stoppeur. Très dur sur l’homme, il aimait le combat et la gnac. Et c’était un super mec. » Brassard au bras ou pas, têtes toujours hautes, l’un et l’autre avancent toujours et encore avec l’orgueil de ceux qui ne renoncent jamais à leur rêve d’enfant, de ceux qui nagent à contre-courant. Tant mieux pour les équipes des tendres grincheux Der Zakarian et Gattuso, qui se reconnaissant un peu en eux. Marc Blaquière redac.sports@midilibre.com Savanier et Gigot ont partagé le maillot d’Arles-Avignon, avant de le quitter en 2015. J.-M. MART ET MAXPPP

Societe du Journal Midi Libre SA

[Dragan]

Information

Samuel Gigot : le capitaine de l'OM entre amis aux Halles; Avant de reprendre l'entraînement ce vendredi, le défenseur de l'OM passe les fêtes de Noël en famille à Avignon. Son frère Tony, rugbyman, l'accompagne.

C'est un rituel établi depuis des années : chaque 24 décembre, Samuel Gigot, le capitaine et défenseur de l'Olympique de Marseille, et ses amis viennent faire la fête durant l'après-midi chez "La Petite", l'une des buvettes des Halles.

C'est là, justement, qu'on a croisé le joueur de 1,87 mètre, en pleine conversation avec ses amis. "Ici, on n'est pas loin de l'endroit où j'ai grandi, du côté de la place des Carmes" confie l'ex leader d'Arles-Avignon (ACA). "D'habitude, quand je reviens ici, je reste en famille. Les deux endroits où je vais, c'est aux Halles et dans le restaurant italien de mon cousin rue Thiers", poursuit le joueur de 30 ans, né en 1993, l'année bénie de la victoire de l'OM en Ligue des champions.

Bientôt la coupe de France

Actuellement à 6e place de la Ligue 1, l'OM est en pleine trêve, comme ses homologues du championnat élite. "On est en repos jusqu'au 29 décembre et notre prochain match est le 7 janvier à Thionville, en 32e de finale de la coupe de France", précise Samuel Gigot, qui, pour "La Provence" a accepté de poser en photo avec sa tribu sur la place Pie. À ses côtés, un autre sportif de haut niveau, son frère Tony Gigot, ex-international de rugby à XIII, ainsi que Claude Tummino, adjoint de Cécile Helle au développement économique de la ville. Ce n'est pas un scoop : aux Halles, tout au long de l'année, politiquement, économiquement et sportivement, on refait le match, et même parfois avant qu'il n'ait eu lieu.

Fidèle de "La petite"

Virginie est la patronne de l'établissement "La Petite". "Samuel (Gigot Ndlr) je le connais depuis 15 ans, quand j'ai ouvert aux Halles. Il venait déjà avec ses copains, il était au début de sa carrière, qui, après, a pris une ampleur folle (il a notamment joué au Spartak Moscou avant de revenir en France, Ndlr)."

Personnage haut en couleur, Virginie distille la bonne humeur à ses clients, qu'ils soient anonymes ou VIP. "Ici, je reçois d'autres personnalités, comme l'ancien journaliste sportif Patrick Chêne ou les Chevaliers du fiel." Mais y crie-t-on "Allez l'OM !" ou "Halles et l'OM" ?

La Provence

[Dragan]

Toujours aussi intelligent…

[Pancho11]

Rouge alors que clauss peut récupérer le ballon derrière c'est chaud quand même

[Dragan]

Il est à 15 mètres sur le côté mais il peut récupérer le ballon…

[Pancho11]

Il le récupére même d'ailleurs

[Herpès Léonard]

[gigi]

Arrêtez de critiquer, Gigot se bat

[Serber]

Absolument d'accord.

[Dragan]

Il le récupére même d'ailleurs

Cette mauvaise foi. Même Lopez le dépressif l’aurait récupéré.

L’autre debile catcheur avait plaqué tout le monde sur le terrain.

Et c’est pas la première fois qu’il prend ce genre de rouge