Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
Règles du forum
Répondre

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

13 Mai 2018, 15:54

Je me fais pas trop de soucis sur son mental vu par quoi il est passé et revenu dans sa jeune carriere

Tant qu’il est épargné par les blessure

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

13 Mai 2018, 18:09

Idem, je pense qu'il est parfait pour jouer à droite. Son pied droit s'améliore. Il est capable d'éliminer, rentrer pour frapper, déborder à droite et centrer du droit. Et aussi, il défend sur son couloir (peut être moins avec 50 matches dans les jambes)

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

14 Mai 2018, 20:21

Information
Florian Thauvin « ON SE SENT PORTÉS, C’EST INCROYABLE »

L’attaquant marseillais veut croire qu’il est possible, avec le soutien populaire et les valeurs collectives montrées par l’OM cette saison, de renverser l’Atlético de Madrid en finale. de nos envoyés spéciaux


MéLISANDE GOMEZ et VINCENT GARCIA MARSEILLE – Il est arrivé jeune à Marseille (20 ans en 2013), en est reparti par la petite porte pour finalement revenir et tout casser. Florian Thauvin a une histoire peu commune et tourmentée avec l’OM, où il a déjà connu plusieurs vies. Mercredi à Décines (Rhône), l’ailier droit disputera la finale de la Ligue Europa contre l’Atlético de Madrid et, face à une des meilleures défenses d’Europe, les Marseillais auront besoin de lui pour casser le verrou. Hier, à la Commanderie, l’attaquant (25 ans, sous contrat jusqu'en 2021) est revenu sur son aventure olympienne et sur cette saison exceptionnelle, sa meilleure en Ligue 1 (22 buts, 10 passes décisives). Tout en self-control, il a surtout insisté sur les valeurs du collectif pour mieux montrer qu’il avait changé par rapport à ses débuts. Épanoui dans cette équipe et dans le vestiaire, redoutable sur le terrain, le voilà désormais à un match d’un titre européen avec son club de toujours.

« Les sollicitations médiatiques, les amis qui veulent des places. Cela vous perturbe-t-il un peu dans la préparation de cette finale ? Il faut faire attention parce qu’on peut vite avoir la tête à autre chose. Je ne pourrais même pas vous dire combien de places on m’a demandé, mais c’est beaucoup. Il faut essayer de rester concentré, ne pas tomber dans tout ce qui est hors football, ne pas se laisser mettre trop de pression. Le match se jouera sur le terrain, pas avant.

Vous arrivez à profiter du moment ? Oui, mais c’est l’extérieur qui nous met un peu de pression. Les médias, quand on croise quelqu’un, tout le monde parle de cette finale. J’essaie vraiment de prendre un peu de recul par rapport à tout ça.

Dans quel état d’esprit êtes-vous ? Excité, impatient ? Je suis calme, relax et content. Parce que je m’apprête à jouer un match exceptionnel. Je suis encore dans la récupération de mon match à Guingamp (3-3, vendredi), je pense à me reposer, à bien manger, à bien m’hydrater pour me mettre dans les meilleures conditions pour mercredi.

Y a-t-il cette peur de tout perdre ? Non, mais c’est vrai que c’est dans un coin de ma tête. On ne peut pas réaliser une saison aussi belle, aussi exceptionnelle, et ne rien avoir à la fin. J’espère que cela ne nous arrivera pas, cela nous ferait mal au cœur à tous.

L’Atlético de Madrid est un gros morceau, plus fort que les équipes que vous avez éliminées jusque-là (Braga, Athletic Bilbao, RB Leipzig, RB Salzbourg). C’est un grand club, une super équipe, de grands joueurs, un grand entraîneur, ils ont joué deux finales de Ligue des champions (2014 et 2016, défaites face au Real Madrid), ils ont l’habitude des grands matches européens. Ils sont clairement favoris mais on fera le maximum pour créer la surprise.

C’est une équipe qui prend très peu de buts. Oui, c’est un bloc bien organisé, solide ; donc le peu d’occasions que l’on aura, si on en a, il faudra les mettre.

Vous vous imaginez être le deuxième joueur de l’OM, après Basile Boli (Ligue des champions 1993, contre l’AC Milan, 1-0), à marquer un but en finale de Coupe d’Europe ? Ça fait rêver, après, il ne faut pas rêver, justement. Il faut se donner les moyens d’être au top, de faire un super match, et on verra.

Avec Godin et Gimenez, vous allez prendre quelques coups dans les côtes, non ? Ils sont des exemples pour tous les défenseurs centraux du monde, ils sont forts dans les duels, ils savent bien relancer, ce sont de grands joueurs, et nous, les attaquants, on s’attend à un match compliqué. Mais il ne faut pas s’en faire une montagne non plus. Il ne faut pas avoir peur d’eux sinon on va y aller sur la pointe des pieds.

On parle de la défense mais Antoine Griezmann et Diego Costa en attaque, c’est costaud aussi. C’est une attaque de rêve, deux des plus grands joueurs du monde. On espère qu’ils ne nous feront pas trop de misères. Donc Antoine, si tu m’écoutes, essaie de garder ton jus pour la Coupe du monde, merci !

Que répondez-vous à ceux qui pensent que l’OM n’a aucune chance ? S’ils le pensent, ils ont leurs raisons mais sur un match tout est possible et l’espoir est là. Dans cette équipe, il y a une âme, une force de caractère assez incroyables. On affiche un état d’esprit remarquable à tous les matches. Moi qui suis à l’intérieur du groupe, je vis quelque chose de magnifique cette saison parce qu’il y a le terrain et, en dehors, on est une bande de potes. On a tous envie de s’entraider, de donner le maximum pour le coéquipier. On en aura besoin plus que jamais pour la finale mercredi. À titre personnel, je tiens à remercier tous mes coéquipiers, ils m’ont fait vivre une saison magnifique autant sur le plan sportif qu’émotionnel.

Elle vient d’où, cette âme ? Pour moi, c’est déjà le profil des joueurs qui composent l’équipe. Des joueurs d’expérience, des joueurs de caractère, de grands joueurs, qui ont fait une super carrière et qui apportent beaucoup au groupe. Cette âme s’est construite un petit peu tous les jours. On apprend à gagner ensemble, à perdre ensemble, on est heureux ensemble, on pleure ensemble. On a tous compris que le collectif est le plus important, qu’il nous servirait à chacun, qu’il nous rendrait tous plus forts. C’est quelque chose que le coach nous a inculqué.

Cela n’a pas toujours été le cas, à l’OM… Exactement et j’ai connu ça. À Marseille, ce n’est jamais simple. C’est un club très médiatisé, souvent les joueurs ont du mal à gérer et ça part un peu dans tous les sens. Cette année, tout le monde a gardé la même ligne de conduite. On a tous tiré dans le même sens, vers le haut, cela a donné beaucoup de bons moments.

Par exemple, avec Dimitri Payet cela n’a pas toujours été simple. Vous avez grandi ? L’âge y fait beaucoup, c’est sûr, on gagne en maturité, en expérience. Quand on est jeune, on est fougueux, on pense qu’on peut s’en sortir seul. Alors que souvent une équipe est plus forte avec moins de talents mais des joueurs qui vont tous dans le même sens. Si chacun fait son petit numéro, on n’y arrive pas. Aujourd’hui, j’ai réalisé une très belle saison, je suis très heureux, mais je sais que je le dois aussi à mes coéquipiers.

On dit que les grands matches sont pour les grands joueurs. Cette finale est donc pour vous et Payet ? Je ne suis pas d’accord avec vous, si on le fait, on le fait tous ensemble. Le héros peut être celui qui sauve sur la ligne de but à la 90e.

Ces doutes qui continuent de vous escorter – que vous n’êtes pas assez présent dans les grands matches –, cela vous agace-t-il ? Je trouve surtout que c’est faux. J’ai réalisé un super match contre le PSG au Vélodrome (2-2, le 10 octobre, 1 but de Thauvin), je fais une passe décisive à l’aller contre Monaco même si on prend une rouste (1-6, le 27 août), je fais un bon match contre Monaco au retour (2-2, le 28 janvier), je marque en quarts de finale de Ligue Europa (au retour à Marseille contre le RB Leipzig, 5-2, le 12  avril), en demi-finales (à l’aller au Vélodrome face au RB Salzbourg, 2-0, le 26 avril). On ne peut pas plaire à tout le monde, je le sais bien. Mais si on veut m’attaquer, qu’on le fasse sur quelque chose de vrai. Donc ça me fait rire.

Vous avez perdu votre côté sanguin ? Il m’arrive d’avoir des coups de sang car on ne change pas comme ça une personnalité. La différence, c’est que je sais bien me gérer. Quand ça monte, je me calme avant que ça pète. Je suis très rancunier avec les gens que j’aime le plus. Mais j’ai compris que ça ne servait à rien d’être rancunier dans la vie. On n’avance pas. Je n’ai jamais été aussi fort sur le terrain depuis que j’ai laissé mon ego à la maison. Je pensais qu’avec Dimitri (Payet) on ne s’appréciait pas et, au final, on s’aime bien. Si j’avais laissé ma fierté parler, je n’en serais pas là aujourd’hui. Finalement, cela a été bénéfique pour nous deux. On est meilleurs quand on joue ensemble et ça sert à l’équipe. Dans le football, il faut parfois laisser son ego de côté car cela ne mène nulle part.

Ce discours sur le collectif n’est-il pas une manière de vous enlever la pression qui sera la vôtre avant la finale ? Ce n’est pas une façon de me soulager. Si aujourd’hui on est en finale, on ne le doit pas à un ou deux joueurs. On le doit à tout le groupe. Je n’aime pas me mettre en avant.

C’est vrai que les remplaçants cette saison ont apporté un vrai plus. L’état d’esprit a été remarquable et c’est pour cela qu’on a fait une grande saison. Il n’y a pas eu d’engueulade entre les joueurs. Ceux qui ont joué ont donné le maximum, ceux qui sont entrés n’ont pas fait la gueule. Cette saison a été longue, avec énormément de matches (60 matches disputés par l’OM), mais elle a été agréable à vivre.

Est-ce que ce discours d’unité peut tenir deux saisons de suite ? Aucune idée. J’espère, vu notre état d’esprit.

Quand on dit qu’une équipe a une âme, il faut des leaders. En faites-vous partie ? Je parle peu devant le groupe, j’en suis capable, mais je préfère prendre quelqu’un à part, discuter un peu avec lui. Je laisse aux plus anciens le rôle de leaders, Steve (Mandanda), Adil (Rami), “Dim” (Payet), Luiz (Gustavo), Rolando, j’en oublie certains.

C’est aussi le rôle de Rudi Garcia de créer cet équilibre. Il nous gère vraiment bien. Il nous félicite quand on a fait un bon match mais il nous dit aussi ce qui ne va pas. C’est la pression du coach au quotidien qui fait qu’on se sent aussi tous concernés.

En début de saison, il était avare de compliment avec vous. Il ne veut pas que je me repose sur mes acquis. Il me pousse à aller plus haut. Le coach parle aussi toujours des efforts défensifs pour les attaquants. Mais je pense que j’ai beaucoup donné toute la saison sur ce plan-là. Je n’ai jamais triché. Je peux attaquer tout le match mais aussi défendre tout le match. Je l’ai fait contre le PSG, je l’ai fait un an avec Bielsa (2014-2015). J’en suis capable.

Au-delà de l’importance de vos coéquipiers, comment expliquez-vous ces statistiques et ce sens du but ? Je me suis toujours procuré beaucoup d’occasions, le problème c’est que je ne les mettais pas toutes au fond. J’ai progressé aussi dans la dernière passe. Ce n’est pas seulement cette saison : l’année dernière j’ai mis 15 buts et donné 9 passes décisives (en L 1). Cette année, c’est beaucoup mieux, et il faudra encore que ce soit mieux l’année prochaine. J’ai été en réussite mais je me bats pour ça depuis des années. J’ai un début de carrière qui n’a pas été celui de tout le monde. J’ai déjà connu l’échec à Newcastle (2015), cela m’a beaucoup aidé, aujourd’hui je suis le plus heureux du monde quand j’entre sur le terrain.

À l’OM, vous avez connu aussi des hauts et des bas… C’est un club compliqué, magnifique, mais il faut que cela se passe bien, sinon c’est très dur. Tout ça fait grandir, sportivement et surtout humainement. Cela m’a beaucoup apporté et cela m’a rendu plus fort.

Avez-vous fait aussi le tri dans vos connaissances ? Oui. Quand on est jeune, qu’on débute, on ne se rend pas compte de l’importance de l’entourage. C’est aussi important que le foot. Il faut vraiment faire attention. Une fois qu’on fait le tri, on se sent mieux.

Le pari était risqué de revenir ici, après l’échec à Newcastle. Tout le monde m’avait déconseillé de revenir. C’était comme se jeter dans la gueule du loup. Je me suis bouché les oreilles, je me suis mis au travail, et je me suis imposé une ligne de conduite. Aujourd’hui, je ne le regrette pas.

Malgré votre très bonne saison, vous n’êtes pas assuré d’être appelé en équipe de France pour la Coupe du monde. Il y a beaucoup de très bons joueurs en France, surtout en attaque. Ça prouve qu’on est une nation forte. Cela ne me met pas de pression particulière, sauf celle de donner le meilleur de moi-même et d’être bon tous les week-ends.

Du fait de votre faible temps de jeu avec les Bleus, vous n’avez pas pu montrer ce dont vous êtes capable, n’est-ce pas frustrant ? Pour être honnête, c’est déjà un rêve de porter le maillot de l’équipe de France. J’aurais aimé montrer plus mais je suis déjà heureux. Ce n’est pas donné à tout le monde de représenter son pays.

Ça serait une déception de ne pas faire partie des élus pour la Coupe du monde ? Pour n’importe quel joueur présent dans la liste en mars, ça serait une déception. Le contraire ne serait pas normal. Comme je suis quelqu’un d’ambitieux, forcément oui.

Dans votre avenir à moyen terme, vous voulez gagner des titres ici, partir à l’étranger ? Y a-t-il un Championnat qui vous attire ? J’ai faim de titres, c’est ce qu’on retient en fin de carrière. Il y a un grand match à jouer mercredi. Concernant les autres Championnats, l’Espagne me fait rêver et j’aime bien l’Allemagne, car cela pourrait convenir à mon jeu. Mais je ne me pose pas de questions sur mon futur. J’ai eu un choix à faire dans le passé et j’ai fini par être malheureux. À l’avenir, je prendrai bien le temps de réfléchir mais je suis très bien ici. Je ne suis pas pressé de partir.

Vous considérez-vous désormais comme un ancien ? Non, mais une année compte double ici (rire). Quand c’est difficile, c’est pire qu’ailleurs mais quand c’est bien, c’est mieux que n’importe où, même si je ne connais pas tout, évidemment. On se sent portés en ce moment, c’est incroyable.

Vous auriez pensé vivre ça, une finale de Coupe d’Europe, l’équipe de France, quand vous êtes revenu à Marseille après Newcastle ? Je n’avais pas perdu confiance en moi mais j’aurais signé tout de suite quand même. Par le travail, tout est réalisable. Mais parfois, on se pose des questions. J’étais seul dans le nord de l’Angleterre avec ma compagne. C’était compliqué pour tous les deux. Je me demandais comment j’allais sortir de là.

Si c’était à refaire, feriez-vous les mêmes choix ? Je ne sais pas, franchement. Mais ce qui m’a permis de corriger mes erreurs, c’est de les faire. Aujourd’hui, je suis un autre homme. Je suis bien comme je suis et fier de mon parcours. Je me suis planté et je me planterai encore. Mais j’ai choisi d’écouter les conseils et de progresser. »


L'Equipe

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

14 Mai 2018, 23:59

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 22:30

Un Thauvin de primavera encore.
Tant qu'il aura ce blocage psychologique, il ne progressera pas.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:11

Il est passe completement a cote de sa finale. La difference avec Ocampos sur l'autre aile en debut de match etait flagrante.

Je pense aussi que c'est ce qui explique l'enervement de Lucas apres sa sortie quand il a vu le match en mode FANTOMAS de Thauvin

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:13

Dragan, On a eu besoin de Thauvin à cause de l'absence de 9, qu'il a compensé. Si on avait pas encore ce chantier en cours, je demanderai volontiers à son Bernès de l'enmener se faire enculer très loin. On ne peut malheureusement pas se le permettre. Mais au delà des poste clés va falloir un vrai talent offensif en plus dans ce groupe.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:23

boodream, c'est surtout que Payet va pas aller en rajeunissant, meilleure forme physique dans les 2-3 ans a venir et qu'il faudra des mecs qui cavalent sur ses cotes. Notamment dans les matchs a moindre enjeu.

Apres sur sa finale, si le Bayern ou l'Atletico etaient chauds sur lui, ca a du un peu les refroidir la :lol:

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:25

Le Thauvin des grands matches ce soir. Comme d'hab', quoi. :|

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:26

Dragan, Thauvin montre parfaitement ce soir que ce ne sera jamais un playmaker à la Payet justement. Paradoxalement, si Cabaye vient, il va nous faire du bien au niceau de la passe clé. Et à la place de Nijé faut à tout prix un vrai renfort, qui nous permettre de préparer l'exfiltration du Mandanda d'Orléans l'année suivante.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

16 Mai 2018, 23:33

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 07:26

Il m'a sacrément déçu.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 08:04

C'est un finisseur mais il a très peu d'influence à la construction sauf sur quelques combinaisons avec Sarr. Sur ce genre de matchs automatiquement, c'est pas bon pour lui.
Après, est-ce que c'est Garcia qui lui demande de ne pas dezonner en 10?

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 08:32

Il a touché 5 ballons ?

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 09:24

22 Buts cette saison mais absent des grands matchs malgré sa présence sur les pelouses :-k

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 11:00

Il est très bon pour la L1, il plafonne quand le niveau s'élève. On ne peut pas le lui reprocher, c'est ce qu'on dit depuis des mois. Saison exemplaire qui a compensé l'absence d'un 9, et s'est longtemps beaucoup battu même si ces dernières semaines, beaucoup moins. Il ne sera grand que dans un OM qui ne l'est pas encore assez.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 12:42

Depuis sa blessure, il a jamais vraiment retrouve le coup de rein

Il débordait pas mal avant. Il me semble que c'est sa première saison avec autant de matches

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 14:32

boodream a écrit:Il est très bon pour la L1, il plafonne quand le niveau s'élève. On ne peut pas le lui reprocher, c'est ce qu'on dit depuis des mois. Saison exemplaire qui a compensé l'absence d'un 9, et s'est longtemps beaucoup battu même si ces dernières semaines, beaucoup moins. Il ne sera grand que dans un OM qui ne l'est pas encore assez.

Ce que je pense aussi. D'où je dis qu'en cas de grosse offre anglaise pour lui, nous devons vraiment y réfléchir, hein M. Eyraud.

A l'instar du Rudi Garcia. Certes la sortie prématurée de Payet l'a certainement desservi, mais un grand joueur se montre, existe, pèse, en finale de CE.

Par ailleurs, peut-il répéter sa (grosse) saison en L1 ? Incertitude là dessus. Mais on lui doit clairement d'avoir été en course jusqu'au bout pour le podium. Sans lui on en serait très loin, peut être juste à la lutte avec Rennes et Bordeaux. Preuve s'il en est que l'effectif globalement reste vraiment limite. Merci à Laburne, La Cautio Marseillaisen et la Russe d'avoir tout pété à partir de 2011.

La finale d'EL est par conséquence un très beau parcours, mais ne soyons pas dupe, dû à des tirages favorables. on se mange l'AM (voire Arsenal, Milan, Dortmund, Napoli) en 16ème ou 8ème ç'aurait été fini depuis bien longtemps.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

17 Mai 2018, 14:35

Il l'a déjà répété cette année en mieux, sa grosse saison en L1.

Re: Florian Thauvin (épisode III) [-> Juin 2021]

26 Mai 2018, 01:08

Répondre