Actu politico-politique

http://www.francetvinfo.fr/replay-radio ... 44762.html

Leur tribune est violente, l'image du mouvement va en prendre un coup.

ça va cliver et clasher violemment. forcément, les mecs ont rassemblés et mis en résponsabilité quelques novices mais surtout beaucoup de déçus, de ratés, de frustrés d'anciens partis, des arrivistes issues du PS, du Centre, des LR...

L'assise tech de co qui a fait la campagne est déjà désenchanté, ce parti ne repose en faite sur rien, simplement sur l'image et la communication de Macron... ils oublient vite qu'on adore detester nos idoles en France... le retour de baton risque d'être bien sévère...

Ouais enfin là ce qui est décrit dans la tribune des 100 n'a pas grand chose à voir avec les sensibilités des autres partis, en revanche on voit que c'est un système complètement cadenassé alors que le mouvement avait été vendu comme participatif, ouvert à la discussion avec ses membres, ect.

Ca serait bien d'avoir le point de vue d'un membre du mouvement si y'en a sur le forum qui ne soient pas aussi fanatisés que Marcia machin.

Il s'est auto dissous après les élections.
Sinon ils ont fait passé la vaccination dans le plan de financement de la sécurité sociale sans prendre en compte les travaux du Professeur Gherardi et surtout en douce...
Cela sera effectif pour les nouveaux nés nés après le 01 janvier 2018....

Kenshi, Marcia Machin a lui aussi quitté le mouvement

superolive, Sans déconner ? Bah merde il avait l'air tellement convaincu à l'époque. Décidément tout fout le camp

Rob77, détendons nous 2 minutes je te sens un peu sur la défensive

Il est évident qu'au chômage tu "gagnes" moins d'argent qu'en bossant et je trouve ça normal voire vertueux.

La ou je veux en venir c'est que c'est à mon sens moins difficile à vivre d'être l'objet d'un licenciement quand tu es à 6 mois de la retraite comme ta collègue dont c'est le cas que pour l'autre. Car sa carrière et derrière elle et le besoin de retrouver rapidement un emploi et moins fort du fait que il ne lui reste que 6 mois à tirer.
Je te dis ça parce qu'une amie de ma mère est dans ce cas et elle n'a qu'une hâte c'est de prendre un repos mérité et donc elle n'a pas forcément envie de reprendre un boulot pour quelques mois. Je trouve ça compréhensible. Le père d'un ami c'était la même chose. Et il était dans le même état d'esprit.

Je pige pas trop l'orientation de ton post comme si j'avais une quelconque responsabilité ou que j'étais d'une quelconque connivence avec la personne qui a pris la décision de priver tes collègues de leur emploi.

J'ai juste peut être maladroitement exprimé que je compatissait peut être un peu plus pour l'une que pour l'autre parce que leurs situations sont différentes.

Je me suis permis de faire un commentaire parce que je connais dés gens qui ont vécu la même situation professionnelle sans aucune intention de dénigrer tes collègues d'aucune façon.

Ca c'était pour la réponse sur ce cas précis.

Sur l'économie en général et sur l'emploi, il n'est pas très utile que je donne mon avis vu comment tu réagis sur un commentaire anodin, je pense que c'est de nature à clasher sévère

L'orientation initiale de mon premier message sur le sujet était de vomir cette politique comptable. Des gens occupent de vrais postes, effectuent de vrais métiers et sont lourdés à la fin de leur CUI au prétexte que "ce ne sont pas des vrais métiers mais des outils statistiques" (ce sont les paroles d'un parlementaire LREM dont j'ai oublié le nom sur le LCP).


La seule chose que toi et Superoilve avez trouvé à redire sur la politique comptable menée à l'égard des CUI c'est : "t'es à six mois de la retraite, tu profites du chômage et basta". Ma posture te parait peut être défensive, je défends l'emploi de mes ex collègues et mes conditions de travail qui s'en trouveront impactées. A l'inverse, sur ta seule remarque, je constate une position offensive consistant à dire "tu profites du chômage et basta".

Chacun son positionnement, faut juste l'assumer et on en débat. Peu m'importe que ça clash sévère " ".

Qu'ils aient répondu à côté du message que tu souhaitais faire passer, c'est possible, cela étant dit, ils ont raison pour la très grande majorité des cas.

Si tu proposes à des gens (anonymement, car ils ne s'en vanteront pas forcément en société) d'être licencié à 6 mois de la retraite, tu auras une très grande majorité de gens qui diront oui.
Au final tu touches 57% de ton salaire brut, a priori en net (je vous laisse me corriger là-dessus, la seule fois où j'étais déclaré au chômage je ne touchais rien du tout, pas de droits), soit 76% du salaire net de l'année précédente, sans travailler. A moins qu'il y ait des cotisations sur l'indemnité chômage comme sur un salaire brut mais ce serait un peu bizarre, autant donner le montant net tout de suite...

Sachant qu'à la retraite (je vous laisse toujours me corriger), le régime de base (hors complémentaire?) c'est 50% du salaire moyen (brut ou net je ne sais pas) des 25 meilleures années (donc pas le dernier salaire, qui est en général le plus élevé). Donc si la personne est prête à faire valoir sa retraite et donc diviser son salaire par deux (et même plus potentiellement) dans 6 mois, en général elle est prête à toucher 76% de son salaire et être en vacances/retraite aujourd'hui.
Ou alors elle ne compte pas partir à la retraite dès qu'elle en a le droit pour continuer de gagner plus, par nécessité ou passion de son travail.

Je connais une femme qui cherchait par tous les moyens à se faire licencier par son employeur à 18 mois de la retraite, en flirtant avec la faute grave. Ca n'a jamais marché car cette entreprise a un statut particulier, ils ne cotisent pas à l'assurance chômage et indemnisent eux-mêmes les licenciés, donc forcément...

Après, il y a ce que les gens pensent au fond d'eux et ce qu'ils disent en société pour faire "bien". J'ai entendu une fois un gars qui bénéficiait d'un plan social où il partait en retraite à 52 ans avec 90% de son dernier salaire jusqu'à la retraite, donc sans même avoir besoin de rechercher un boulot. Et il était là à pleurer qu'il était licencié. Avantageux comme il était, qu'on me dise pas qu'il l'avait pas accepté volontairement ce plan social, parce que s'il l'avait refusé j'imagine qu'un autre collègue l'aurait pris à sa place. #Hypocrite

Pour la politique comptable, c'est malheureusement vrai partout, les deniers de l'Etat ne sont pas extensibles, c'est compliqué. Désolé en tous cas si tu te retrouves avec une surcharge de travail...

Va dire ça aux parents des handicapées qu'ils ne peuvent plus avoir quelqu'un pour s'occuper de leurs enfants pour avoir une scolarisation normale, aux villages qui ne peuvent plus avoir de garderie à l'école publique...
Alors que pour faire des cadeaux à certain on ne regarde pas les deniers de l'Etat, je pense au scandale de l'acide valproĩque...

Pearl, dans mon entourage, on attend la retraite avec impatience également.

Les plans sociaux sont de ce point de vue souvent attendu, car ils peuvent permettre, selon les modalités, un départ en pré-retraite dans de bonnes conditions.

Celui qui fait un travail qui souvent ne sert à rien, dans le but premier de ramener une paye à la maison, il est logique qu'il souhaite partir en retraite le plus tôt possible, dès lors que celle-ci lui permet de vivre correctement.

Le défi de notre société demain, est justement de sortir du mode de la rémunération par le travail. Projet ambitieux quant on sait que les inégalités partent de là, et que donc, certains n'ont pas un intérêt pécunier à changer de paradigme.

On ne traite que de bull shit.. PUTAIN 15000 scientifiques, nous alertent, on fonce dans le mur.

Qu'est ce qu'on en a foutre de la dette, des déficits, des milliardaires, et autres raclures...

On ne devrait avoir qu'une question à se poser comment on arrête ce putain de réchauffement climatique, comment arrête ces putains de pollutions à l'origine des cancers...

Faut ouvrir les yeux... On va crever de ce système à la con, soit par la pollution directement, soit la montée des eaux ou catastrophe météo, soit par un accident nucléaire.
On s'en fout, mais on tellement brillant qu'en France, on a des centrales qui une fois le niveau de l'eau montée de 75 cm se retrouveront sous l'eau..

Franchement, on va les mettre bien nos gosses, ils seront content d'être en dessous des 3% de Déficits, d'avoir 90% de dettes etc...

Too late.

Ben non justement pas si on se sort les doigts du cul...

Rob77, détendons nous 2 minutes je te sens un peu sur la défensive

Il est évident qu'au chômage tu "gagnes" moins d'argent qu'en bossant et je trouve ça normal voire vertueux.

La ou je veux en venir c'est que c'est à mon sens moins difficile à vivre d'être l'objet d'un licenciement quand tu es à 6 mois de la retraite comme ta collègue dont c'est le cas que pour l'autre. Car sa carrière et derrière elle et le besoin de retrouver rapidement un emploi et moins fort du fait que il ne lui reste que 6 mois à tirer.
Je te dis ça parce qu'une amie de ma mère est dans ce cas et elle n'a qu'une hâte c'est de prendre un repos mérité et donc elle n'a pas forcément envie de reprendre un boulot pour quelques mois. Je trouve ça compréhensible. Le père d'un ami c'était la même chose. Et il était dans le même état d'esprit.

Je pige pas trop l'orientation de ton post comme si j'avais une quelconque responsabilité ou que j'étais d'une quelconque connivence avec la personne qui a pris la décision de priver tes collègues de leur emploi.

J'ai juste peut être maladroitement exprimé que je compatissait peut être un peu plus pour l'une que pour l'autre parce que leurs situations sont différentes.

Je me suis permis de faire un commentaire parce que je connais dés gens qui ont vécu la même situation professionnelle sans aucune intention de dénigrer tes collègues d'aucune façon.

Ca c'était pour la réponse sur ce cas précis.

Sur l'économie en général et sur l'emploi, il n'est pas très utile que je donne mon avis vu comment tu réagis sur un commentaire anodin, je pense que c'est de nature à clasher sévère

L'orientation initiale de mon premier message sur le sujet était de vomir cette politique comptable. Des gens occupent de vrais postes, effectuent de vrais métiers et sont lourdés à la fin de leur CUI au prétexte que "ce ne sont pas des vrais métiers mais des outils statistiques" (ce sont les paroles d'un parlementaire LREM dont j'ai oublié le nom sur le LCP).


La seule chose que toi et Superoilve avez trouvé à redire sur la politique comptable menée à l'égard des CUI c'est : "t'es à six mois de la retraite, tu profites du chômage et basta". Ma posture te parait peut être défensive, je défends l'emploi de mes ex collègues et mes conditions de travail qui s'en trouveront impactées. A l'inverse, sur ta seule remarque, je constate une position offensive consistant à dire "tu profites du chômage et basta".

Chacun son positionnement, faut juste l'assumer et on en débat. Peu m'importe que ça clash sévère " ".

Qu'ils aient répondu à côté du message que tu souhaitais faire passer, c'est possible, cela étant dit, ils ont raison pour la très grande majorité des cas.

Si tu proposes à des gens (anonymement, car ils ne s'en vanteront pas forcément en société) d'être licencié à 6 mois de la retraite, tu auras une très grande majorité de gens qui diront oui.
Au final tu touches 57% de ton salaire brut, a priori en net (je vous laisse me corriger là-dessus, la seule fois où j'étais déclaré au chômage je ne touchais rien du tout, pas de droits), soit 76% du salaire net de l'année précédente, sans travailler. A moins qu'il y ait des cotisations sur l'indemnité chômage comme sur un salaire brut mais ce serait un peu bizarre, autant donner le montant net tout de suite...

Sachant qu'à la retraite (je vous laisse toujours me corriger), le régime de base (hors complémentaire?) c'est 50% du salaire moyen (brut ou net je ne sais pas) des 25 meilleures années (donc pas le dernier salaire, qui est en général le plus élevé). Donc si la personne est prête à faire valoir sa retraite et donc diviser son salaire par deux (et même plus potentiellement) dans 6 mois, en général elle est prête à toucher 76% de son salaire et être en vacances/retraite aujourd'hui.
Ou alors elle ne compte pas partir à la retraite dès qu'elle en a le droit pour continuer de gagner plus, par nécessité ou passion de son travail.

Je connais une femme qui cherchait par tous les moyens à se faire licencier par son employeur à 18 mois de la retraite, en flirtant avec la faute grave. Ca n'a jamais marché car cette entreprise a un statut particulier, ils ne cotisent pas à l'assurance chômage et indemnisent eux-mêmes les licenciés, donc forcément...

Après, il y a ce que les gens pensent au fond d'eux et ce qu'ils disent en société pour faire "bien". J'ai entendu une fois un gars qui bénéficiait d'un plan social où il partait en retraite à 52 ans avec 90% de son dernier salaire jusqu'à la retraite, donc sans même avoir besoin de rechercher un boulot. Et il était là à pleurer qu'il était licencié. Avantageux comme il était, qu'on me dise pas qu'il l'avait pas accepté volontairement ce plan social, parce que s'il l'avait refusé j'imagine qu'un autre collègue l'aurait pris à sa place. #Hypocrite

Pour la politique comptable, c'est malheureusement vrai partout, les deniers de l'Etat ne sont pas extensibles, c'est compliqué. Désolé en tous cas si tu te retrouves avec une surcharge de travail...

3/4 d'un salaire de 1200 (assistant d'éducation) ou 1300 (secrétaire) euros nets par moi, ce n'est pas ce que j'appelle une situation privilégiée.
Passons, je comprends ton point de vue.

Je souhaitais juste rebondir sur les "deniers de l'Etat ne sont pas extensibles".
C'est d'autant plus vrai que l'on cherche à en affaiblir la quantité par une série de dispositifs, de lois, ou d'absence de lois laissant totale liberté à certains comportements détestables en termes de "fraternité" et de "solidarité" => la République est sociale parait-il.

D'un côté :
Evasion, optimisation fiscale.
CICE, pacte de responsabilité.
Modification/suppression de l'ISF.

De l'autre côté :
Une finance incontrôlée ou mal contrôlée qui nous a amené à la crise de 2007/2009, laquelle n'est pas encore pleinement finie, laquelle a entraîné une explosion record du chômage, des déficits et de la dette, autant de maux qui servent aujourd'hui à défendre des politiques comptables antisociales qui touchent les personnes les plus dans le besoin. Oui, une école qui ferme, des hôpitaux qui fusionnent (donc qui ferment en partie), une poste qui ferme, des maisons de retraite qui sont sous équipées, ce sont autant de personnes dans le besoin qui sont impactées.


Bref.
La politique comptable est une farce qui permet aux détenteurs du pouvoir d'enrichir davantage une catégorie ciblée de population, les "premiers de cordée" en réduisant les mécanismes de transfert sociaux, donc la solidarité. Permet moi de ne pas apprécier.


Sinon,

https://blog.mondediplo.net/2017-10-01- ... -ou-la-rue

Très intéressant. Mélenchon en prend davantage pour son grade que Macron, ce qui d'une certaine manière n'est pas immérité.

On se répète ^^ :

L'état est devenu plus qu'hier un outil des intérêts privés.

Tant qu'on accepte que des pans entier de la collectivité comme l'éducation, le santé, le logement, l'alimentation, l'organisation du travail, la retraite... sont pilotées par des intérêts privés d'une toute petite minorité, on ne s'en sortira pas.

C'est en cela que l'impôt est insuffisant, car il ne remet pas nécessairement en cause ces sources de problèmes. Au mieux, il les corrige quelque peu. Les impôts, quand ils ont une visée de redistribution, servent à réduire les effets néfastes d'une société basée sur le capital et le travail salarié. A savoir qu'on compense par l'impôt l'accaparation du capital sur la "ressource humaine".

Ca c'est quand une (petite) partie de la population s'est sorti le doigt du cul pour l'intérêt général.

Mais la vrai solution consiste plutôt, de mon point de vue, à renverser le monopole de l'argent.

Mais vu qu'aujourd'hui, ceux qui se battent ne représentent presque plus rien, comparé aux résignés (dont je fais parti) où aux soumis, on a un état dont la politique consiste à détruire les progrès obtenu jusque là.

J'ai zappé par erreur ^^ sur la 3, une députée de LREM, j'ai failli vomir au bout de 3s tellement la violence de la langue de bois de l'auto-satisfaction mâtinée de trouille de dire le mot de trop. J'ai vite éteint.

peezee, ce qui est fantastique c'est qu'en raison des regles du temps de parole la REM a droit 2 fois plus de temps de parole que tous les autres partis d'opposition REUNIS, opposition qui inclut les "Constructifs" en plus

et Sarko toujours rien ?