MassaliaLive.com

[iamaseb]

"Je ne crois pas à la jalousie française qui consiste à dire 'il y a des riches, taxons-les, nous nous porterons mieux'." @ Macron

Non, lui il "croit" que les détenteurs de capitaux (riches) peuvent "taxer" le fruit du travail des pauvres, même les mettre en concurrence les uns les autres au quatre coin de la planète pour les rémunérer le moins possible, dans l'optique que les actionnaires se portent mieux.

Les deux ont raison.

On a juste élu un président qui travail pour la minorité riche, qui fait passer le profit avant les Hommes et tous le reste.

[richardB]

Pauvre riche qu'on déteste

L'argument le plus minable pour justifier des comportements de merde... ouin ouin on aime pas...

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=G6ik3Vi7ryk[/youtube]

[iamaseb]

L'emploi du terme "Jalousie" en dit plus sur sa façon de penser que sur ceux qu'il croit dénoncer.

[Rob77]

Le crypto-marxisme a vécu. Tous les économistes sérieux savent que l'actionnaire, le détenteur du capital est celui qui crée la richesse et par là, l'emploi.

Le problème c'est qu'en France on vit dans l'illusion que la richesse des uns se construit sur la pauvreté des autres. Cette façon conflictuelle de concevoir l'économie est plus que datée et s'est heurtée et se heurte toujours au principe de réalité.

Si vous voulez réussir, la société et l'entreprise vous le permettent. Suffit de s'engager, de prendre des risques et de bosser, bosser, et bosser encore. Stop à l'assistanat, ce mal français.

[iamaseb]

La conflictualité n'existe que dans la concurrence saine que se livrent les entreprises entre elles, avec pour conséquence une baisse des prix pour les consommateurs.

Amen

[Dragan]

[Delio]

Democratie, separation des pouvoirs bla bla bla

[iamaseb]

La démocratie c'est has been.

Le capitalisme c'est bien plus efficient. Pourquoi croyez-vous qu'on privatise les entreprises ?

[superolive]

iamaseb, tres bonne question en effet .

D'ailleurs quels sont les projets de privatisations en cours ? On en parle ?

[iamaseb]

https://www.franceinter.fr/economie/l-o ... cinq-dates

Pourquoi le transport serait une question citoyenne, où le plus pauvre serait à égalité du plus riche, sur la base du vote. L'appropriation par une minorité du transport est une bonne chose.

http://www.lemonde.fr/economie-francais ... 56968.html

Pourquoi l'énergie serait une question citoyenne, où le plus pauvre serait à égalité du plus riche, sur la base du vote. L'appropriation par une minorité de l'énergie est une bonne chose.

A ce sujet : http://www.huffingtonpost.fr/2017/09/04 ... _23195929/

Une démocratie c'est une société où chaque citoyen a un mot à dire, sur une base égalitaire. Il va sans dire que si 90 % de ce qui fait notre vie est régi directement ou indirectement par des entreprises privées (où l'on dort, ce qu'on mange, ce qu'on boit, ce qu'on respire, comment on se déplace, où et comment on se soigne, l'éducation, la retraite...), à la recherche de profit, dicté essentiellement sur la base actionnariale ... il ne s'agit pas de démocratie.

Et si en plus l'état rend finalement davantage de compte aux intérêts financiers plutôt qu'à l'intérêt général, en catimini parfois, à coup de propagande idéologique toujours... la messe est dite.

[Bibpanda]

[Bibpanda]

[Bibpanda]

[Jester]

Macron a réaffirmé son soutien au premier ministre Espagnol ce jour, concernant l'autonomie catalane.

[Rob77]

La chasse aux CUI fait des victimes dans mon bahut.
On perd une secrétaire (à 6 mois de la retraite) et une assistante d'éducation.
Parait que ce ne sont pas de vrais métiers, qu'ils ne répondent pas à de vrais besoins, mais simplement un outil statistique pour diminuer les chiffres du chômage.

Voilà ce que les libéraux économicistes voient quand ils regardent le monde du travail : des chiffres.

[Bibpanda]

Le modèle allemand.
http://www.boursorama.com/actualites/ca ... 7e3eab9a49

Information

La Commission européenne a effectué des inspections chez BMW dans le cadre d'une enquête sur une affaire de cartel impliquant au total cinq groupes automobiles allemands, a annoncé vendredi BMW.

Ces soupçons d'entente avait été révélés cet été par les médias allemands et avaient écorné un peu plus l'image des constructeurs automobiles allemands, déjà mise à mal par les tricheries sur les émissions polluantes des véhicules diesel, qui avaient été révélées en septembre 2015.

En juillet dernier, l'influent hebdomadaire Der Spiegel avait lancé l'affaire: selon lui, BMW, Daimler, Volkswagen, Audi et Porsche ont eu pendant plus de 20 ans des réunions secrètes pour s'accorder sur nombre d'aspects techniques de leurs voitures, notamment sur le système de filtration des émissions polluantes, lésant ainsi possiblement consommateurs et sous-traitants.

Vendredi, BMW a expliqué que cette inspection de la Commission européenne, liée à l'enquête qui vise cinq groupes automobiles allemands et révélée par des médias en juillet 2017, avait eu lieu à Munich, où se trouve son siège.

De son côté, l'exécutif européen a simplement affirmé avoir effectué des inspections non annoncées chez un constructeur automobile en Allemagne, sans dire lequel, dans le cadre d'une enquête sur un cartel impliquant plusieurs groupes automobiles allemands.

La Commission européenne, gardienne de la Concurrence dans l'UE, précise que ces inspections ont eu lieu le lundi 16 octobre et que des inspecteurs de l'Office allemand des cartels étaient présents.

"Les inspections sont des étapes préliminaires dans le cadre d'enquêtes sur des activités" soupçonnées d'être "anticoncurrentielles", a-t-elle précisé dans son communiqué.

- Politique de "clémence" -

Les cartels sont interdits dans l'UE puisqu'ils nuisent à la concurrence et aux consommateurs. La Commission européenne peut infliger de lourdes amendes aux entreprises qui s'entendent entre elles, le record ayant été atteint le 19 juillet 2016. L'Union européenne avait alors infligé une amende de 2,93 millards d'euros à quatre fabricants européens de camions, accusés de s'être entendus pendant 14 ans sur les prix de vente de leurs poids lourds.

La politique dite de "clémence" suivie par la Commission européenne encourage les entreprises à lui communiquer des preuves internes de l'existence d'un cartel.
La première entreprise membre d'un cartel qui entreprend cette démarche est exemptée d'amende. Cette stratégie s'est révélée très efficace pour démanteler les cartels.

Dans le cas du secteur automobile allemand, la Commission européenne a confirmé que le groupe Daimler coopérait avec elle et qu'il bénéficiait de son programme de clémence, après lui avoir fourni un certain nombre d'informations.

Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Volkswagen a dit "ne pas avoir reçu jusqu'ici la visite des inspecteurs de la Commission, ni à Wolfsbourg (siège de la compagnie, ndlr), ni à Ingoldstadt".

A la Bourse de Francfort, les actions des groupes automobiles étaient malmenées après la confirmation des inspections chez BMW.

Après les révélations du Spiegel en juillet, Berlin avait haussé le ton contre cette industrie, une posture tranchant avec la traditionnelle harmonie régnant entre le gouvernement allemand et ce secteur clé, l'un des plus grands employeurs et exportateurs d'Allemagne.

[Bibpanda]

[Dragan]

[Bibpanda]

[Bibpanda]