MassaliaLive.com

[lordsinclair]

Ouais mais Concombia il joue encore lui...

[Jester]

Longoria à Diarioas :

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"Ce que je ne comprends pas, c'est ce fatalisme autour de la perte de Mbappé et des droits de télévision, ainsi que cette phrase populaire selon laquelle "heureusement que le PSG est venu sauver les droits télévisuels du football français".
Remettons-nous en 2008. Le volume des droits télévisuels est similaire à celui que nous avons actuellement. Qu'est-ce que cela signifie? Les droits sont déterminés par la compétition elle-même et l'histoire que vous racontez autour de votre propre compétition. C'est le spectacle qui influence vos droits télévisuels, pas un joueur ou des stars. La Liga a continué de croître sans Neymar, Messi, Cristiano. Pourquoi ? Parce que vous racontez une histoire toute la semaine. Le niveau de jeu de la Ligue 1 est élevé. La plupart des stades sont de qualité.
Le niveau d'attrait et de télévision est bon, mais nous devons améliorer la narration quotidienne autour du championnat. Le problème en France est la manière dont nous racontons cette histoire au quotidien car nous sommes tombés dans le sensationnalisme. Nous devons revenir à parler de football, de sport, à raconter des histoires autour des matchs".

[Herpès Léonard]

Et pour raconter des histoires, il s'y connait le Pablo

[Vodevil]

Mince, un monde s'écroule, le Qatar ne serait pas le remède à tous les maux de la L1 ? Je tombe de ma chaise.

[Betsamee]

Et pour raconter des histoires, il s'y connait le Pablo

Te sens pas oblige de basher la moindre de ses phrases, surtout quand il a totalement raison comme ca

[spy]

Pour une fois que le Pablo est dans le vrai.

[spy]

Si bein achète l’intégralité de la l1, on n’a pas fini de prendre cher niveau arbitrage

[Vodevil]

Si BEIN achète la L1, ça va ruisseler sévèrement, je ne me fais pas de soucis.

[Dragan]

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VERS UN ÉCHEC DE DAZN SUR LES DROITS TÉLÉVISÉS DE LA LIGUE 1

Selon nos informations, un rendez-vous a eu lieu jeudi entre les dirigeants de DAZN et leurs homologues de la Ligue. Il n’a rien donné de nouveau et s’est même mal passé pour la plateforme britannique. Aucune nouvelle proposition financière n’a été faite.

Alors que les dernières semaines étaient très calmes sur le dossier des droits, les dirigeants de DAZN souhaitaient revoir leurs homologues de la Ligue dans un cadre plus formel malgré les multiples échanges qu’ils ont depuis de longs mois. Ce rendez-vous a eu lieu ce jeudi matin à la demande de DAZN donc. Selon nos informations, l’échange n’a rien donné de nouveau et s’est même mal passé pour la plateforme britannique. Aucune nouvelle proposition financière n’a été faite.

Les montants restent insuffisants par rapport à l’ambition de la LFP qui ne varie pas et qui lui a clairement exprimé sa déception. Un des points qui posent notamment problème est que DAZN ne dispose pas de garantie financière suffisante pour les montants discutés. De quoi raviver le mauvais souvenir du fiasco Mediapro au sein de la Ligue, qui se refuse à prendre le moindre risque. Une réunion sans élément nouveau donc, bien loin du rapprochement apaisé voulu au moment de la reprise de contact entre les deux parties la semaine passée, comme révélé par RMC Sport.

Elle se voulait constructive et devait permettre aux deux camps d'affiner leurs positions, deux mois environ après leur dernière communication. Même si rien n’est définitif dans cette négociation particulière, certaines sources estiment que la rupture n’est pas loin et que force est de constater que DAZN ne parvient pas à être dans la négociation à hauteur de son ambition affichée en termes de communication dans sa volonté de devenir le nouveau diffuseur du football français.

Déjà un boulevard pour beIN Sports?

Le seul axe de travail aujourd’hui de la Ligue est dirigé vers beIN Sports. La chaîne qatarie dit ne pas vouloir 100% des droits de la Ligue 1, car cet investissement n’était pas prévu dans le business plan sain et durable mis en place par son directeur général Yousef Al-Obaïdly. Mais pour la première fois, cette option est évoquée timidement en coulisses. Reste à affiner avec beIN la répartition entre droits domestiques et droits internationaux.

L’objectif de la LFP, qui n’a jamais varié, reste d’obtenir au global 900 millions d’euros. Une chose est sûre: avec ce refroidissement dans les échanges avec DAZN, et cette option unique envisagée avec beIN, les discussions en coulisses vont forcément concerner Canal+, diffuseur exclusif de beIN Sports. Les deux entités pourraient approfondir leur discussion afin d’envisager une issue favorable pour toutes les parties. Mais du côté de Canal+, les choses sont claires: aucun contact n’est envisagé directement avec la LFP qui de son côté acceptera une discussion si elle était sollicitée. De son côté, Amazon patiente toujours en attendant l'identité de celui qui remportera la majorité des affiches. La plateforme américaine pourrait ne s'adjuger qu'un seul match entre 80 et 100 millions d'euros.

https://rmcsport.bfmtv.com/football/lig ... 50468.html

[Gwenn]

Si BEIN achète la L1, ça va ruisseler sévèrement, je ne me fais pas de soucis.

Dans ce cas, j'arrête Amazon Prime et je suis la ligue 1 à la radio, cela me fera des économies

[Lo Provençau]

cet investissement n’était pas prévu dans le business plan sain et durable mis en place par son directeur général Yousef Al-Obaïdly.

Ils nous prennent vraiment pour des cons quand même.

[Dragan]

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Droits télé de la Ligue 1 : beIN Sports a les clés

Le diffuseur franco-qatarien cherche la meilleure solution pour acquérir les droits de la Ligue 1 pour la période 2024-2029. Ce sera a priori sans DAZN, mais une petite option existe avec Canal+.

Les rencontres européennes du PSG sont souvent le cadre d'entretiens entre Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG et de beIN Media Group, et Vincent Labrune, son homologue de la LFP. Un troisième personnage, un peu moins connu mais très important, Yousef al-Obaidly, le directeur général de beIN Sports France, est toujours de la partie. La réception, mercredi, du FC Barcelone au Parc des Princes tombe à pic pour faire le point sur le dossier ultra-sensible des droits de la Ligue 1 (période 2024-2029). Comme révélé dans L'Équipe, beIN Sports, plutôt en retrait depuis quelques années puisqu'il sous-licencie les deux affiches de L1 qu'il avait acquises jusqu'à la fin de la saison (le samedi soir et le dimanche après-midi) pour 332 millions d'euros annuels à Canal+, est étonnamment revenu en jeu.

Notamment grâce au soutien d'Emmanuel Macron, le président de la République, qui a fait ses meilleurs efforts auprès de l'émir du Qatar Tamim bin Hamad al-Thani pour favoriser la commercialisation du Championnat de France. « Depuis plusieurs mois, le président se montre disponible s'il faut se manifester auprès de tel ou tel (acteur du marché) pour aider le football français, nous expliquait tout récemment une source gouvernementale. Il l'a fait aussi auprès des Qatariens en disant toute l'importance que l'on y attache. »

Canal+ en complément ?

Depuis, les dirigeants de beIN Sports, encouragés par les différents pouvoirs politiques et l'activisme de Labrune, le président de la LFP, cherchent une formule pour répondre aux attentes, qui tournent autour de 700 millions d'euros annuels pour les droits domestiques de la L1 (et autour de 900 millions par an en y ajoutant les droits internationaux). Pour formuler une offre concrète, beIN doit d'abord discuter avec Canal+, qui lui règle aujourd'hui 250 millions d'euros par saison pour gérer sa distribution. L'idée est d'obtenir des garanties suffisantes pour se lancer sans trop perdre de plumes.

Mais une autre option est possible : celle de voir Canal+ prendre éventuellement un ou deux matches, à un tarif raisonnable, en complément de beIN. Encore hypothétique, d'autant que la chaîne cryptée a tout intérêt à jouer la montre, cette solution offrirait un total retournement de situation, puisque Canal+ répète depuis l'été 2021 ne plus être intéressée par la L1. Mais personne ne pensait non plus que beIN, qui a très largement revu à la baisse ses investissements dans les droits sportifs, serait attendu comme le sauveur...

Car la piste DAZN est très froide depuis des semaines. Une réunion avec les dirigeants de la LFP évoquée par RMC Sport, qui s'est tenue jeudi, a confirmé cette tendance. Le 11 novembre dernier, la plate-forme britannique a formulé une offre ferme de 500 millions d'euros annuels pour toute la L1 et n'a jamais vraiment bougé depuis. Cette proposition financière a tenu un mois, jusqu'au 11 décembre, mais elle a été immédiatement repoussée par la Ligue. DAZN reste toujours sur ce montant jugé insuffisant, même si ce nouveau venu sur le marché a accepté de céder un des huit matches par journée, évidemment pas le premier choix, pour permettre à la LFP de négocier une exclusivité avec un autre acteur. DAZN est ainsi entré en contact avec beIN pour sonder le terrain, mais n'a pas été accueilli favorablement.

Le traumatisme de Mediapro toujours présent
Lors de la dernière réunion, DAZN, par la voix de son patron Shay Segev, a même indiqué à la LFP, selon nos informations, ne même pas être certain de pouvoir régler les 500 millions d'euros de la première année du contrat si le deal n'était pas bouclé très rapidement. Selon lui, si un accord était trouvé ces prochains jours, il faudrait encore quelques semaines pour finaliser la signature du contrat, ce qui l'amènerait au mois de mai pour recruter une équipe éditoriale, monter un plan marketing et de communication et renégocier les modalités de ses contrats de distribution déjà signés (avec Canal+, SFR, Orange et Bouygues Telecom) et tenter d'en signer d'autres, notamment avec Free.

Si la Ligue a validé les garanties financières de DAZN lors de l'appel d'offres infructueux d'octobre dernier, cette pression et cette menace de renégociation de la première année d'un potentiel contrat ont effrayé la LFP. Dans un contexte différent, post-Covid, Mediapro avait en effet stoppé ses paiements dès la deuxième échéance expliquant vouloir renégocier le montant de sa première saison avant de finalement s'accorder avec la Ligue pour rompre prématurément le contrat et fermer sa chaîne au bout de six mois. Un traumatisme encore vivace pour les dirigeants du football français. Un accord avec beIN, adossé aux fonds du Qatar, aurait l'avantage de leur ôter quelques angoisses.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... es/1459623

[zoranik]

Le Qatar a ruiné l’attrait de la L1 tout simplement.

[Rony2D]

Je ne suis pas d'accord avec ça. La L1 n'a jamais été attrayante. Ni avant Qatar, ni après

[Herpès Léonard]

Rony2D, +1 et ca arrange bien les dirigeants des autres clubs à commencer par le notre, de se cacher derrière ça

[Jester]

Je ne suis pas d'accord avec ça. La L1 n'a jamais été attrayante. Ni avant Qatar, ni après

Désolé mais quand on se battait contre des Nantes, des Auxerre, des Bordeaux, des Monaco, des Lyon, c'était pas mal et y avait du suspens.

[Ryo Saeba]

La L1 des années 90 jusqu’au deux premiers titres lyonnais, elle était attrayante. Les clubs se tiraient la bourre car tout le monde pouvait chercher le titre (enfin 3/4 équipes).

Depuis c’est en baisse, hormis la période bordeaux, Marseille, Lille Montpellier sur les 20 dernières années

[Jester]

Les adversaires devaient se dire la même chose quand on trustait les titres dans les années 90/Tapie. Mais n'empêche que avant aussi, ce qu'on voyait sur les anciens Téléfoot c'était sympa !

[Jack73]

Le Qatar a ruiné l’attrait de la L1 tout simplement.

Lorsque l'OM dominait la D1 fin des années 90, les adversaires disaient la même chose.
Quand le LOL a dominé les années 2000, on pensait la même chose

Le souci c'est la faiblesse des "gros" clubs FR style OM, Monaco, OL incapables d'avoir des stratégies à longs termes et qui dilapident l'oseille en transferts hallucinants et montants salariaux ridicules n'est ce pas

Il faut arreter de se planquer derrière le Qatar qui truste une place de LDC quand cette saison il y en a 3 autres ( 2+ barrages) et qu'un club comme l'OM va passer à coté.
Un Brest qui risque fort de terminer second avec un budget du 16e, c'est pas très vendeur en terme de droits TV.
Mais c'est la faute aux gros clubs si ce genre d'équipe termine deuxième.
Les dirigeants longoria like ont pas fait ou mal fait le taf. Point à la ligne

[Ryo Saeba]

L’OM dominait début 90 mais avait des gros opposants comme Monaco, bordeaux, voire Auxerre.

Y avait des matchs faciles mais d’autres assez serré.
Lyon c’était comme ça au début de leur domination, à partir des 3 ou 4eme titre c’était mort dès le début de saison. Paris fait comme la grande période de Lyon, toutes les saisons sauf la première du qatar avec Montpellier et deux saisons avec Monaco et Lille.