MassaliaLive.com

[Rocca]

j'espère qu’on ira dans le championnat portugais pour recruter, ils sortent quand même régulièrement de supers joueurs de foot et pas seulement dans les 3 gros clubs

[Dragan]

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sur RMC JHE a confirmé à demie mot être en discussions avec AVB

C’est un peu plus nuancé quand même:

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Je ne confirme aucune information sur ce sujet. Il faut être patient. On a envie de travailler dans la sérénité autant que possible pour trouver la personnalité, le talent et l’expertise qui nous amèneront encore plus haut. Tant qu’on ne s’est pas mis d’accord avec qui que ce soit, on ne fera pas de commentaire. Si vous saviez le nombre entraîneurs qui nous ont sollicités, vous seriez bien surpris par leur nombre mais aussi par leur nom.

JhE@RMC

il y a eu beaucoup d’autres questions sur villas boas et il a lâché en y revenant que des discussions étaient en cours. C’etait Clair

[Dragan]

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« Le succès de José Mourinho a favorisé l'arrivée d'entraîneurs comme Leonardo Jardim ou André Villas-Boas, des intellectuels du football. Mais il n'y a qu'un Mourinho. Jardim est encore jeune et Villas-Boas, on attend encore de savoir si c'est un vrai bon entraîneur » , dégainait Daniel Bravo dimanche soir dans le Canal Football Club. Voilà où en est aujourd'hui la réputation de celui que beaucoup avaient très (trop ?) vite qualifié de « Special Two » , en référence au Mou. Il faut dire que le parallèle entre l'élève et le maître était facile à faire. Un jeune entraîneur inconnu qui débarque au FC Porto et gagne tous les trophées possibles sur une année, dont une C3, ne pouvait que ramener les souvenirs des premiers pas du Special One à la surface. Sauf qu'à l'inverse de Mourinho, le rêve bleu d'AVB n'a pas duré longtemps.

Avec 45% de victoires sur le banc de Chelsea, le Portugais ne pouvait espérer autre chose que d'être limogé en cours de saison. La chute est d'autant plus lourde que l'équipe qui, dit-on, lui avait pourri la vie dans le vestiaire, a décroché la coupe aux grandes oreilles deux mois et demi après son naufrage napolitain. Sa cote descend plus vite qu'une action un jour de krach boursier et l'oblige à retourner au pays pour se ressourcer avec sa famille. Il finit par se relever afin de prendre sa revanche sur la Premier League. Erreur, il se plante une deuxième fois, cette fois-ci avec les Spurs de Tottenham. Si les chiffres sont un peu plus flatteurs (près de 60% de victoires), la direction du club londonien n'a pas pu laisser passer les corrections infligées par Manchester City (6-0) et Liverpool (5-0). Ciao André, retour à la case départ.

Redorer son blason

Début 2014, on parle d'Italie pour Villas-Boas, on parle même du Barça. Mais la réalité, c'est que les grandes écuries doutent de plus en plus de sa capacité à gérer une équipe de classe mondiale. Il part se refaire une santé dans un Zénith en perte de vitesse. Le challenge est intéressant et la pression moindre comme il arrive en cours d'exercice et hérite d'un vestiaire en guerre contre les étrangers surpayés (Hulk, Witsel). Il termine la saison 2013-2014 à deux points du titre, juste derrière le CSKA Moscou. De bon augure pour la suite... Malgré une grosse frayeur lors des éliminatoires de la Ligue des champions contre l'AEL Limassol (défaite 1-0 à Chypre), le Zénith St-Pétersbourg s'est très vite rassuré à la faveur de deux ou trois raclées infligées à ses adversaires, à commencer par l'AEL, corrigé dans le jeu et battu 3-0 en Russie. La suite est un carnage. 4-0 contre l'Arsenal Tula et 8-1 contre Torpedo. Si, récemment, la clique d'AVB ne s'impose plus « que » par deux buts d'écart maximum, elle réalise un sans-faute depuis la mésaventure chypriote.

En cinq journées de championnat, Hulk & compagnie ont gagné autant de matchs et planté 15 banderilles pour deux pions encaissés. Évidemment, le championnat russe n'est pas la Premier League anglaise, mais ses adeptes n'hésitent pas à la mettre au niveau de la Ligue 1. La performance reste donc respectable. Ce Zénith fait peur à l'échelle nationale, et il compte bien se (re)faire un nom hors de ses frontières. Ou du moins faire mieux que l'année dernière, où il n'a dû sa qualification en huitièmes de finale de la C1 qu'au niveau de sa poule (hormis l'Atlético, Porto était méconnaissable et l'Austria de Vienne trop petit pour les menacer). L'objectif de Villas-Boas est donc de gagner le championnat russe, mais aussi d'atteindre les huitièmes, voire les quarts de la Ligue des champions. À titre collectif, c'est l'image du club qui repose sur les épaules du Portugais. Sur le plan personnel, c'est sa propre réputation qui est à sauver. Celle d'un coach talentueux adepte d'un jeu offensif. Parfois un peu trop.

Un effectif et des contraintes
Les premières sorties des hommes d'AVB vont dans le bon sens. Si les résultats sont convaincants, le jeu proposé par les Russes l'est peut-être encore plus. André Villas-Boas essaye clairement d'inculquer à son Zénith les mêmes valeurs que le Porto de 2011, à savoir celles d'un jeu court et horizontal dans l'axe et très vertical sur les ailes. Autrement dit, Witsel et ses potes axiaux ont pour consigne de lâcher le ballon le plus vite possible afin de créer des décalages pour les arrières latéraux, mais surtout Hulk et Danny (ou Shatov) à qui s'offrent ensuite plusieurs options : le centre en direction de Rondón (ou Kerzhakov), la frappe ou la passe en retrait pour recommencer le même cheminement ou bien frapper de loin. Si l'ancien voisin de palier de Bobby Robson se permet de jouer de manière aussi offensive, c'est qu'il a les armes pour le faire. Non seulement son effectif est rodé (du moins celui qui joue en Premier League russe, cf plus bas) car il a peu bougé cet été - Ansaldi est parti, Garay et Javi García sont arrivés -, mais il est en plus loin d'être composé de peintres. La charnière Neto-Garay n'est pas mauvaise, le milieu Danny, Witsel, Javi García a de la gueule et devant, Hulk s'entend à merveille avec Rondón.

Mais le vrai point fort de l'équipe de Villas-Boas demeure sa diversité offensive. Le Zénith sait marquer de près, provoquer des pénaltys, marquer de la tête et balancer des mines des 30 mètres. Évidemment, l'équipe est loin d'être invincible et présente aussi des points faibles, à commencer par le repli défensif des latéraux parfois laborieux en raison de leur forte implication dans les phases offensives, laissant ainsi la charnière Garay-Neto en galère. C'est un souci inhérent au jeu hyper risqué dont AVB est friand et ne compte visiblement pas se séparer malgré ses récents échecs anglais. Enfin, Villas-Boas doit, comme tous les clubs russes qualifiés pour l'Europe, composer avec un effectif à deux têtes étant donné que la Fédération russe oblige tous les clubs de la Premier League locale à avoir constamment quatre joueurs russes sur le terrain. Cela permet à certains joueurs de jouer principalement l'Europe et donc de rester frais, mais cela oblige AVB à changer de onze initial quasiment toutes les semaines. En Europe, le Portugais présentera donc difficilement une équipe à la fois compétitive sur le papier et rodée collectivement. Il lui faudra au moins gagner avec un tel handicap pour regagner du crédit.

Article intéressant sur son jeu par son foot du temps où il était en Russie.

Ca falloir recruter 2 latéraux

[coton]

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L'OM espère annoncer l'arrivée d'André Villas-Boas très rapidement. Le technicien est à Monaco, comme Jacques-Henri Eyraud.

Alors que se tient depuis lundi matin la Convention des clubs professionnels dans la Principauté, les discussions tournent beaucoup autour du football, ces jours-ci, à Monaco. Comme dimanche soir, par exemple, dans un restaurant de la ville, le Sass Café, où André Villas-Boas a croisé par hasard Vincent Labrune. Les deux hommes se connaissent depuis janvier 2014, à l'époque où le second, alors président de l'OM, espérait embaucher le premier comme entraîneur. Les négociations avaient achoppé sur le volet financier mais le courant était bien passé et ils étaient contents de se retrouver. Évidemment, le Portugais avait quelques questions à poser à l'ancien dirigeant, et l'OM fut au centre de la conversation, alors que « AVB » a fortuitement rencontré Frank McCourt, aux États-Unis, il y a un mois.

En discussions avec le club marseillais, Villas-Boas veut savoir où il met les pieds mais il doit en avoir une idée assez précise, déjà : cela fait plusieurs semaines qu'il est en contact avec Andoni Zubizarreta, le directeur sportif de l'OM, qui l'a choisi pour succéder à Rudi Garcia. « AVB » pense que le groupe actuel a du potentiel et aurait dû finir sur le podium lors de cette saison 2018-2019. Il ne semble pas au courant, en revanche, de l'ampleur du chantier sur l'effectif ou de l'épaisseur de l'enveloppe dédiée au mercato. Il reste donc des dossiers à approfondir, des détails contractuels à éclaircir, notamment concernant le staff du Portugais, et il faut aussi régler la question financière.

OM : André Villas-Boas, la priorité d'Andoni Zubizarreta

Lundi, plusieurs montants ont circulé, dans la presse anglaise notamment, faisant état d'une rémunération de 600 000 euros brut par mois, soit à peu près le double de ce que percevait Rudi Garcia. Les chiffres semblent très élevés dans le contexte actuel : l'OM négocie un accord de règlement avec l'UEFA dans le cadre du fair-play financier et doit encore trouver un terrain d'entente avec plusieurs membres du staff de Garcia (Bompard, Fichaux et Jobard en premier lieu) pour une séparation à l'amiable, ce qui n'est toujours pas acté. Au club, on a démenti catégoriquement ces sommes.

Un budget serré, les jeunes mis en avant

Les négociations salariales devraient toutefois être rapidement entamées. Réputé pour signer des contrats juteux, le technicien ne serait plus aussi gourmand après dix-huit mois sans poste depuis son départ de Shanghai, fin novembre 2017. Villas-Boas a-t-il déjà pu aborder la question de sa future rémunération avec Jacques-Henri Eyraud, présent lui aussi à Monaco pour le congrès de fin de saison, organisé par le syndicat Première Ligue ? Le président marseillais a participé au dernier débat de la journée au sujet de l'ECA et de la réforme de la Ligue des champions avant de dîner à la table de Gérard Houllier.

Le profil du Portugais peut étonner, en tout cas : il est habitué à des clubs à gros budget et l'OM doit composer avec des finances serrées sur le prochain mercato. Les dirigeants entendent miser sur les jeunes. Mais Zubizarreta est convaincu de son choix et, en privé, il rappelle le bon travail de Villas-Boas avec le FC Porto (2010-2011), où il n'a pas hésité à lancer des jeunes comme James Rodriguez (à 19 ans) ou Nicolas Otamendi (22). Les décideurs marseillais entendent donc aller vite sur le dossier du successeur de Garcia. Une annonce est même espérée rapidement dans la semaine.

[mamad_25]

Internement direct

Mais il est sérieux? Putin c'est grave là...

[prtdr]

A voir quel joueur on va faire venir de ProEleven.

[Jack73]

On a déjà eu au club un/des entraineurs Portuguais ?

[Cecco]

Franchement, faut qu'Eyraud arrête de s'occuper directement du football, on ne peut vraiment pas dire des trucs comme ça.

[Rocca]

Jack73, Gili et ARTUR Jorge

[boodream]

Cecco, le simple fait qu'il continue à montrer sa gueule en permanence chez son pote Bouhafsi montre qu'il n'a rien compris de ses propres erreurs. On peut faire une bonne saison façon Baup, mais ça finira mal, cette histoire.

[Rocca]

boodream, Galtier Comolli Fournier en 2020

[negrOM]

pretender, Rebocho

[gigi]

Internement direct

[Bibpanda]

J'ai vomi...Domenech est président de l'unecatef,cela doit être pour cela la gorge profonde de jhe.

[JUJUBE]

Il vient de perdre le peu de crédibilité qu'il avait encore avec moi avec cette phrase

[Arno26]

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Alors que se tient depuis hier ma- tin la convention des clubs profes- sionnels dans la Principauté, les discussions tournent beaucoup autour du football, ces jours-ci, à Monaco. Comme dimanche soir, par exemple, dans un restaurant de la ville, le Sass Café, où André Villas-Boas a croisé par hasard Vincent Labrune. Les deux hom- mes se connaissent depuis jan- vier 2014, à l’époque où le second, alors président de l’OM, espérait embaucher le premier comme entraîneur. Les négociations avaient achoppé sur le volet finan- cier mais le courant était bien
passé et ils étaient contents de se retrouver. Évidemment, le Portu- gais avait quelques questions à poser à l’ancien dirigeant, et l’OM fut au centre de la conversation, alors que «AVB» a fortuitement rencontré Frank McCourt, aux États-Unis, il y a un mois.
En discussions avec le club marseillais, Villas-Boas veut sa- voir où il met les pieds, mais il doit en avoir une idée assez précise, déjà: cela fait plusieurs semaines qu’il est en contact avec Andoni Zubizarreta, le directeur sportif, qui l’a choisi pour succéder à Rudi Garcia. « AVB » pense que le groupe actuel a du potentiel et au- rait dû finir sur le podium lors de cette saison 2018-2019. Il ne sem-
ble pas au courant, en revanche, de l’ampleur du chantier sur l’ef- fectif ou de l’épaisseur de l’enve- loppe dédiée au mercato. Il reste donc des dossiers à approfondir, des détails contractuels à éclair- cir, notamment concernant le staff du Portugais, et il faut aussi régler la question financière.
Hier, plusieurs montants ont circulé, dans la presse anglaise notamment, faisant état d’une ré- munération de 600 000euros brut par mois, soit à peu près le double de ce que percevait Garcia. Les chiffressemblenttrèsélevés:l’OM négocie un accord de règlement avec l’UEFA dans le cadre du fair- play financier et doit encore trou- ver un terrain d’entente avec plu-
sieurs membres du staff de Garcia (Bompard, Fichaux et Jobard en premier lieu) pour une séparation à l’amiable, ce qui n’est toujours pas acté. Au club, on dément caté- goriquement ces sommes
les jeunes mis en avant
Les négociations salariales de- vraient toutefois être rapidement entamées. Réputé pour signer des contrats juteux, le technicien ne serait plus aussi gourmand après dix-huit mois sans poste depuis son départ de Shanghai. Villas-Boas a-t-il déjà pu aborder la question de sa future rémuné- ration avec Jacques-Henri Ey- raud, présent lui aussi à Monaco pour le congrès de fin de saison, organisé par Première Ligue? Le
président marseillais a participé au dernier débat de la journée au sujet de l’ECA et de la réforme de la C1 (voir page15) avant de dîner à la table de Gérard Houllier.
Le profil du Portugais peut étonnerentoutcas:ilesthabituéà des clubs à gros budget et l’OM doit composer avec des finances serrées sur le mercato. Les diri- geants entendent miser sur les jeunes. Mais «Zubi» est convaincu de son choix et, en privé, il rappelle le bon travail de Villas-Boas avec Porto, où il n’a pas hésité à lancer des jeunes comme James Rodri- guez (alors 19 ans). Les décideurs marseillais entendent aller vite sur le dossier du successeur de Garcia. Une annonce est même espérée dans la semaine.

L’équipe

[barnoo]

Encore un qui a eu une bonne expérience avec AVB
https://rmcsport.bfmtv.com/football/gal ... 00491.html

[Remind]

Ca ne le fera pas j'en suis persuadé.

Un entraîneur psycho-rigide, choisi par un président psycho-rigide et lunaire qui ne comprend rien au football, il faudrait un miracle.

[Vodevil]

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Évidemment, l'équipe est loin d'être invincible et présente aussi des points faibles, à commencer par le repli défensif des latéraux parfois laborieux en raison de leur forte implication dans les phases offensives, laissant ainsi la charnière Garay-Neto en galère. C'est un souci inhérent au jeu hyper risqué dont AVB est friand et ne compte visiblement pas se séparer malgré ses récents échecs anglais.

Donc on a le choix entre un jeu porté vers l'avant si on a la maîtrise du ballon et des joueurs intelligents ou se prendre des vagues dans le dos de nos latéraux. Va falloir être costaud sur le recrutement, sinon nos malheurs passeront par les Amavi-like.

[DadooMarle(t)]

C'est peut être une quiche cet entraîneur mais j'ai des doutes sur le jugement de certains joueurs. Si t'écoute certains Deschamps était un nul...

Je me souviens de Mamadou Niang qui disait que le mec qui l'avait le plus marqué sur l'aspect tactique c'était Albert Emon