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OM : un premier but en Ligue 1, encore un penalty provoqué... Le vent de fraîcheur Robinio Vaz
Le jeune attaquant de l'OM a fait souffler un vent de fraîcheur sur le Vélodrome en provoquant un penalty et en marquant son premier but en Ligue 1, samedi face au Paris FC.
Il a traversé la pelouse du Vélodrome comme une fusée, bras en croix et sourire accroché au visage, pour aller au bout du monde et se jeter dans les bras des membres du staff de Roberto De Zerbi, avant d'être fêté par tous ses coéquipiers et le reste de la troupe. Robinio Vaz (18 ans) se souviendra longtemps de sa première réalisation en Ligue 1 et de sa célébration. Un boulet de canon monumental logé au premier poteau en angle fermé (90+ 6) pour parachever le succès olympien, samedi en fin de journée, contre le Paris FC (5-2). Et libérer le public marseillais, en extase après avoir longtemps souffert devant le jeu proposé.
Déniché par Ali Zarrak et cornaqué par "JPP"
Entré en jeu une vingtaine de minutes plus tôt pour suppléer Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d'un doublé salvateur, l'insouciant attaquant de l'OM, d'abord poursuivi par son compère Darryl Bakola, avait des raisons de piquer un sprint et de laisser éclater sa joie, lâchant au passage un joli pas de danse, pour fêter son baptême du feu. C'était aussi le moment de conclure de façon positive cette semaine cauchemardesque, marquée notamment par "l'affaire Rabiot" et son lot de rebondissements.
Le bonheur de l'ex-pépite sochalienne, dénichée l'an dernier en post-formation par Ali Zarrak, le responsable de la Pro2, et cornaquée par Jean-Pierre Papin, à la tête de la réserve, était beau à voir. Mais c'est surtout sa prestation, à l'instar de celle de Bilal Nadir, qui a fait plaisir aux supporters et, sans aucun doute, à son entraîneur, qui le cite souvent en exemple dans le vestiaire pour sa soif d'apprendre et sa faim de réussite.
"Quand Robinio rentre, il est souvent performant, relevait justement Nadir après le coup de sifflet final. Comme Darryl (Bakola) et Keyliane (Abdallah), c'est un jeune joueur qui fait du très bon travail à l'entraînement. Il essaie de pousser pour avoir plus de temps de jeu. (Samedi), c'est ce qu'il a réussi à bien faire. J'espère qu'il va continuer sur ce chemin."
Vaz : "Je rentre, j'obtiens un penalty, je marque. Il n'y a pas plus beau !"
Percutant et plein de culot, le minot du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie, ne s'est pas posé de question pour donner le tournis à Mbow et offrir un penalty à Mason Greenwood (85), comme la saison dernière face à Strasbourg, déjà. L'Anglais n'a pas converti cette occasion, manquant totalement le cadre, mais il a quand même rendu la pareille au Francilien en le servant en profondeur sur son but. "C'est ma première (de la saison) au Vélodrome, je rentre, j'obtiens un penalty et je marque. Il n'y a pas plus beau ! Merci aux supporters", commentait l'espoir olympien, apparu à deux reprises la saison dernière.
On imaginait l'onde de choc du côté de ses potes, à l'USC Mantes et au FC Mantois, ses clubs quand il était plus jeune. Robinio Vaz aura son mot à dire cette saison s'il poursuit ses efforts. L'OM mise en tout cas sur lui. C'est la raison pour laquelle au printemps dernier les dirigeants marseillais ont prolongé son contrat jusqu'en juin 2028.
Le jeune attaquant de l'OM a fait souffler un vent de fraîcheur sur le Vélodrome en provoquant un penalty et en marquant son premier but en Ligue 1, samedi face au Paris FC.
Il a traversé la pelouse du Vélodrome comme une fusée, bras en croix et sourire accroché au visage, pour aller au bout du monde et se jeter dans les bras des membres du staff de Roberto De Zerbi, avant d'être fêté par tous ses coéquipiers et le reste de la troupe. Robinio Vaz (18 ans) se souviendra longtemps de sa première réalisation en Ligue 1 et de sa célébration. Un boulet de canon monumental logé au premier poteau en angle fermé (90+ 6) pour parachever le succès olympien, samedi en fin de journée, contre le Paris FC (5-2). Et libérer le public marseillais, en extase après avoir longtemps souffert devant le jeu proposé.
Déniché par Ali Zarrak et cornaqué par "JPP"
Entré en jeu une vingtaine de minutes plus tôt pour suppléer Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d'un doublé salvateur, l'insouciant attaquant de l'OM, d'abord poursuivi par son compère Darryl Bakola, avait des raisons de piquer un sprint et de laisser éclater sa joie, lâchant au passage un joli pas de danse, pour fêter son baptême du feu. C'était aussi le moment de conclure de façon positive cette semaine cauchemardesque, marquée notamment par "l'affaire Rabiot" et son lot de rebondissements.
Le bonheur de l'ex-pépite sochalienne, dénichée l'an dernier en post-formation par Ali Zarrak, le responsable de la Pro2, et cornaquée par Jean-Pierre Papin, à la tête de la réserve, était beau à voir. Mais c'est surtout sa prestation, à l'instar de celle de Bilal Nadir, qui a fait plaisir aux supporters et, sans aucun doute, à son entraîneur, qui le cite souvent en exemple dans le vestiaire pour sa soif d'apprendre et sa faim de réussite.
"Quand Robinio rentre, il est souvent performant, relevait justement Nadir après le coup de sifflet final. Comme Darryl (Bakola) et Keyliane (Abdallah), c'est un jeune joueur qui fait du très bon travail à l'entraînement. Il essaie de pousser pour avoir plus de temps de jeu. (Samedi), c'est ce qu'il a réussi à bien faire. J'espère qu'il va continuer sur ce chemin."
Vaz : "Je rentre, j'obtiens un penalty, je marque. Il n'y a pas plus beau !"
Percutant et plein de culot, le minot du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie, ne s'est pas posé de question pour donner le tournis à Mbow et offrir un penalty à Mason Greenwood (85), comme la saison dernière face à Strasbourg, déjà. L'Anglais n'a pas converti cette occasion, manquant totalement le cadre, mais il a quand même rendu la pareille au Francilien en le servant en profondeur sur son but. "C'est ma première (de la saison) au Vélodrome, je rentre, j'obtiens un penalty et je marque. Il n'y a pas plus beau ! Merci aux supporters", commentait l'espoir olympien, apparu à deux reprises la saison dernière.
On imaginait l'onde de choc du côté de ses potes, à l'USC Mantes et au FC Mantois, ses clubs quand il était plus jeune. Robinio Vaz aura son mot à dire cette saison s'il poursuit ses efforts. L'OM mise en tout cas sur lui. C'est la raison pour laquelle au printemps dernier les dirigeants marseillais ont prolongé son contrat jusqu'en juin 2028.
https://www.laprovence.com/article/om/8 ... obinio-vaz
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