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Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

19 Nov 2025, 16:18

C'est lamentable on devrait presque ne pas y aller.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

19 Nov 2025, 16:49

Pluzun

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

19 Nov 2025, 17:10

Ben deja, en tant que supporter il faut boycotter cette mascarade.
C'est ce que je ferai.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

19 Nov 2025, 20:07

https://www.om.fr/fr/actualites/4806/ce ... 9-national

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

19 Nov 2025, 21:15

Ca n'a aucun sens de jouer le trophée des champions FRANCAIS au Koweit bordel (déjà que l'une des équipe est championne de rien :mrgreen: )

C'est quoi le but derrière en fait, il y a t-il eu un argument quelconque pour justifier cette blague ?

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

21 Nov 2025, 11:37

Kim Nielsen a écrit:


Cette blague.
Boycott total de ce truc qui sert à rien

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

25 Nov 2025, 16:48

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Le fumigène, un « défi à l’ordre établi »

Marseille|En dépit d’une interdiction stricte, l’usage d’engins pyrotechniques est toujours aussi répandu dans les tribunes. Plongée dans les virages du Vélodrome, avant la réception de Newcastle.

Derrière une immense voile à l’effigie de Bob Marley et un message familier des amateurs du chanteur iconique — « Don’t Give Up the Fight » (« N’abandonne pas le combat ») —, la partie inférieure du virage sud s’embrase pendant l’annonce de l’équipe marseillaise, opposée à l’Atalanta (0-1) début novembre. Outre les scénographies déployées dans les deux virages, des dizaines de torches sont allumées chez les Ultras, plongeant le Vélodrome dans un épais brouillard.

Dans la foulée, la sentence de l’UEFA tombe : ladite tribune est sanctionnée d’un sursis de deux ans et l’OM écope d’une amende supérieure à 70 000 €, dont la moitié correspond à « l’allumage des feux d’artifice et de fumigènes ».

Véritable marqueur de la culture ultra depuis son apparition au début des années 1950, le fumigène occupe une place essentielle dans l’univers marseillais. Si son utilisation est toujours prohibée dans les stades en raison de la dangerosité de sa manipulation, il est fréquent d’en voir « craqués » au Vélodrome par les supporters ultras à certaines occasions. « Quand plusieurs torches sont craquées dans une zone, c’est géré par le groupe et réalisé par des gens sûrs, confie un habitué des virages phocéens. Après, un touriste peut en allumer un et faire n’importe quoi, mais ça reste rare : il n’y a qu’à voir le ratio entre le nombre de fumigènes allumés et le nombre d’incidents constatés. »

« Pendant une minute, le temps s’arrête »

Membre d’un groupe marseillais, Nicolas* expose : « Quand on entre dans le mouvement, on ne craque pas comme ça. Il faut savoir le faire, porter des gants, un cache-cou ou une cagoule car ça reste dangereux et interdit. Mais c’est tellement excitant : tout le monde te regarde. Pendant une minute, le temps s’arrête, tu es dans ta bulle, figé, avec la tribune qui chante autour de toi… Ce sont des palpitations, ça fait partie du spectacle ! No pyro No party, comme on dit. »

Chez les Ultras, le fumigène a plusieurs visées : « Cela permet d’impressionner un groupe adverse. De plus, il y a un défi à l’ordre établi, à l’autorité : plus cet engin est interdit, plus il sera utilisé. Malgré les amendes de la Ligue et les tribunes fermées, son utilisation reste courante : le fumigène est dans l’essence du supportérisme actif, juge Sébastien Louis, auteur de l’ouvrage Ultras : les Autres Protagonistes du football. Il faudrait encadrer son usage de façon intelligente, par exemple avec des formations délivrées par des pompiers, et distinguer son utilisation, entre son caractère festif et le danger qu’il représente lorsqu’il est lancé. »

Du côté du club, dont la responsabilité est engagée à chaque rencontre à domicile, on avoue ne pas « les tolérer » mais « être obligé de vivre avec ». « Malgré les contrôles à l’entrée du stade, on sait qu’on ne peut pas totalement les empêcher. Tout au long de la saison, on échange avec les groupes, notamment via notre référent supporter, rôle clé et imposé par le règlement administratif de la LFP. Le club diffuse des messages de prévention et justifie auprès des instances sportives des mesures répressives prises par les autorités (interpellations suivies d’interdictions de stade). »

Durcissement des règles

Pour les anniversaires de groupes, souvent propices à des shows pyrotechniques, l’entité « s’y attend et s’y prépare mais en aucun cas ne se laisserait complice de ça. Ça reste illégal et interdit par le règlement intérieur ».

Le durcissement des règles en cas de condamnation, jusqu’à trois ans d’emprisonnement, 15 000 € d’amende et une peine complémentaire possible d’interdiction judiciaire de stade (jusqu’à cinq ans) selon le Code du sport, a d’ailleurs pu pousser certains supporters à s’en éloigner.

L’OM précise : « 0n milite pour qu’il y ait de plus en plus de sanctions individuelles. Mais quand 30 fumigènes sont allumés dans une zone, l’individualisation demeure compliquée à mettre en œuvre, donc c’est toute la zone qui prend. Ça nous enlève du soutien mais on fait notre maximum pour éviter les huis clos. »

À moins d’une hypothétique conciliation, les positions des différents interlocuteurs sur le sujet restent, en l’état, encore bien éloignées. Depuis mars 2023, la LFP est favorable à une expérimentation contrôlée de l’usage d’engins pyrotechniques dans les stades, avec des conditions rigoureuses à respecter — présence d’un artificier, zone délimitée, autorisation du préfet, validation de la Ligue. Une solution encore loin de faire l’unanimité dans le paysage ultra français.

Le Parisien

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

25 Nov 2025, 18:18

Autant dire que j'espère qu'ils vont quand même éviter les fumis ce soir (et le prochain) en VS, ça ferait quand même hautement chier de jouer contre Liverpool (et l'hypothétique barrage) avec le stade amputé :?

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

25 Nov 2025, 23:48

École Harald Schumacher ou Anthony Lopes?

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

26 Nov 2025, 14:41

Encore un sacré mic mac Rwanda / Qatar

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Le sponsoring en Occident au nom du développement; Au Rwanda, le pari du sport

Première nation d’Afrique à avoir accueilli les championnats du monde de cyclisme sur route, en septembre 2025, le Rwanda finance aussi des équipes de football de renommée mondiale. Si cette diplomatie sportive en plein essor lui permet de redorer son image, abîmée par un régime autoritaire et son implication dans la guerre des Kivus, l’objectif est aussi d’attirer des investissements dans ce pays enclavé.

À quelques jours du début des Mondiaux de cyclisme sur route (21-28 septembre), Kigali, la capitale du Rwanda, se parait des couleurs de l’Union cycliste internationale (UCI) quand, le 18 septembre, un couac à six mille kilomètres de là est venu perturber la communication bien huilée du régime. À l’aéroport de Bruxelles, le journaliste Stijn Vercruysse est empêché d’embarquer. Malgré une accréditation, signée par le ministère des sports rwandais et par l’UCI, les positions critiques de sa chaîne à l’égard du pouvoir lui ont finalement fermé les portes du vol Brussel Airlines à destination du « pays des mille collines ».

Rien ne devait gâcher le deuxième plus grand événement sportif mondial jamais organisé en Afrique, après la Coupe du monde de football en Afrique du Sud, en 2010. Pendant une semaine, la course a offert à ce pays d’Afrique centrale grand comme la Bretagne une visibilité exceptionnelle. Retransmise dans trente-trois pays, elle a rassemblé au moins trois cents millions de téléspectateurs, dont plus d’un million et demi rien qu’en France. Sept jours durant, des images idylliques, entre modernité et nature luxuriante, ont servi de plans de coupe lors de la diffusion des épreuves.

Un partenariat controversé avec le PSG

Si l’organisation de l’événement a été saluée par l’UCI et les coureurs, le pays a été accusé par des médias et de nombreuses associations d’utiliser le sport pour redorer son blason (sportswashing). Le président Paul Kagamé, qui se trouve à la tête de l’État depuis 2000 et a été réélu en 2024 avec 99,18 % des voix, chercherait à détourner l’attention internationale des atteintes aux droits fondamentaux perpétrées dans son pays. Cette diversion aurait aussi pour objectif de faire oublier son soutien à la rébellion congolaise, dénoncé notamment par l’Organisation des Nations unies (ONU) et la République démocratique du Congo (RDC) (1).

La réputation internationale du pays préoccupe évidemment Kigali. Mais, si le Rwanda investit aussi massivement dans le sport, c’est aussi, très prosaïquement, dans l’espoir de retombées économiques, notamment dans le tourisme, qui représente aujourd’hui 10 % de son produit intérieur brut (PIB). Les défis sont nombreux : le taux de croissance, très enviable, d’environ 8 % entre 2021 et 2024, profite principalement à « une élite restreinte du secteur formel », selon le rapporteur spécial des Nations unies Olivier De Schutter, après sa mission dans le pays en mai : « Les 1 % les plus riches des Rwandais perçoivent 20 % du revenu national, soit près du double de la part détenue par les 50 % les plus pauvres (2). » Face à ces écarts de richesse, le pays affiche toutefois des indicateurs sociaux — officiels — encourageants avec, par exemple, une pauvreté et un taux de mortalité infantile en fort recul (3).

Un modèle de croissance fondé pour partie sur le sport suscite nécessairement des critiques, s’agissant d’un pays classé au 159e rang (sur 195) sur l’indice de développement humain (IDH) des Nations unies. De fait, les sommes investies sont colossales, alors que 40 % du budget national dépend encore de l’aide internationale. Kigali verse 11,5 millions d’euros par an au club de football anglais Arsenal — de loin le club le plus populaire chez les Rwandais —, et entre 10 et 15 millions d’euros au Paris Saint-Germain (PSG) pour faire apparaître sa marque Visit Rwanda sur le maillot des joueurs. Si le partenariat avec le PSG a été reconduit malgré les protestations d’associations de supporteurs (4), celui conclu avec les Gunners prendra fin après la saison en cours. Depuis avril, la marque apparaît aussi sur les équipements de l’Atlético Madrid pour 10 millions de dollars par an, et elle ornera prochainement les survêtements des Los Angeles Clippers (basket-ball) et des Los Angeles Rams (football américain) grâce à un accord conclu le 29 septembre 2025.

En investissant dans ces clubs, le pouvoir s’assure une visibilité internationale, mais aussi une certaine popularité auprès des Rwandais, pour qui le football est, de loin, le sport roi. « Dans le maquis, dans les années 1990, les bataillons du FPR [Front patriotique rwandais] organisaient des tournois de foot », rappelle M. Aimable Bayingana, ancien porte-parole du FPR. En 1993, au moment des accords de paix d’Arusha, qui ont stoppé la guerre entre la rébellion menée par M. Kagamé et le gouvernement du président Juvénal Habyarimana, est même créée l’Armée patriotique rwandaise Football Club (APR FC), autrefois interdite de Ligue africaine, et aujourd’hui l’une des équipes-phares du pays. « Le sport occupait les troupes, les maintenait en forme, apportait de la discipline, apaisait les tensions… », poursuit M. Bayingana, qui a occupé le poste de président de la Fédération rwandaise de cyclisme de 2007 à 2019.

Le sport fait partie intégrante de l’ordre social promu par le FPR, qui a marqué de son empreinte la reconstruction du pays après le génocide des Tutsis et son million de morts (avril-juillet 1995). Les innombrables récits de rescapés ayant trouvé du réconfort dans les activités physiques sont souvent mis en avant (5). Aujourd’hui, le sport est utilisé pour promouvoir l’idéal d’une « société pacifique », active, où la population mène « une vie saine » — vision détaillée dans le plan de développement du ministère des sports (6). Un dimanche matin par mois, tous les Rwandais sont ainsi incités à se dépenser. La piste d’athlétisme de plusieurs kilomètres tracée autour du nouveau parcours de golf de la capitale est arpentée chaque jour par des centaines de Kigalois. Partout, dans les cafés et les boutiques, les écrans diffusent les championnats européens de football.

« Cette histoire [de compétition mondiale de cyclisme] n’émane pas de stratèges qui auraient réfléchi dans un bureau à la manière d’utiliser le vélo pour promouvoir et “laver le Rwanda” », assure M. Ivan Wulffaert, l’ancien patron belge de la brasserie Skol. Celle-ci fut longtemps le sponsor principal du cyclisme local. « En 2015, quand on a commencé à penser aux championnats du monde, avec Aimable [Bayingana], Olivier Grandjean [ancien directeur du Tour du Rwanda] et quelques autres, notre objectif était aussi et surtout d’amener des Rwandais dans les trente premières places », raconte-t-il vêtu d’une tenue de cycliste, son vélo de course posé à ses côtés. « Le président Kagamé n’a commencé à donner de sa personne qu’à la fin du processus de candidature, en 2018 », poursuit-il. « Une fois qu’il a vu que c’était possible, nous n’avons plus manqué de moyens », renchérit M. Bayingana.

Tourisme de luxe, finance et nouvelles technologies

Pour l’organisation des championnats du monde de vélo, « la logistique a coûté 16 millions de dollars [13,8 millions d’euros] », selon la ministre des sports Nelly Mukazayire. « Mais tout cet argent a été investi localement et a profité à des entreprises rwandaises, donc à la population », tient-elle à préciser lors d’un rendez-vous sur le stand Visit Rwanda, situé dans une fan zone mise en place au Convention Center. Il faut ajouter la redevance versée à l’UCI, « entre 5 et 10 millions de dollars », selon M. Sheja Vallière, porte-parole du Rwanda Development Board (RDB), qui n’a pas souhaité fournir le montant précis.

Toutes ces initiatives s’inscrivent dans une stratégie de développement pensée il y a presque vingt ans. En 2007, M. Kagamé a lancé le Conseil consultatif présidentiel (PAC), composé d’intellectuels et d’investisseurs de renom, comme les Américains Joe Ritchie et Michael Fairbanks. Dépourvu d’industrie, trop petit et trop peuplé pour miser sur l’agriculture intensive, le pays doit, selon le PAC, se tourner vers le tourisme de luxe et d’affaires — peu de visiteurs, afin de préserver l’environnement, mais avec un fort pouvoir d’achat —, la finance et les nouvelles technologies, sur les modèles de Singapour et de Monaco. Le Rwanda s’appuie aussi sur l’expérience du Luxembourg, qui soutient l’ambitieux projet du Kigali International Financial Center. M. Kagamé peut également compter sur l’émir Tamim Ben Hamad Al-Thani, dont il est proche : le Qatar, propriétaire du PSG et impliqué dans la médiation avec la RDC, est récemment devenu actionnaire de la compagnie aérienne RwandAir (49 %) et du futur aéroport international (60 %) en construction aux abords de la capitale, dont il sera le gestionnaire. L’émirat a tout intérêt à voir le nombre de touristes augmenter.

« Si vous visez une clientèle qui a beaucoup d’argent, vous ne misez pas sur des clubs low cost », résume l’ancien gardien de football international Eugène Murangwa. « Notre objectif est d’améliorer le niveau de vie des Rwandais, poursuit celui qui s’occupe désormais de sa fondation de promotion du sport, Ishami. Nous pensons que le sport ouvre des possibilités économiques et sociales. » Officiellement, cette stratégie est payante. Selon le RDB, le chiffre d’affaires touristique a été multiplié par deux depuis le lancement de la marque Visit Rwanda en 2018, pour atteindre 600 millions de dollars en 2024. Selon M. Vallière, il s’agit de parvenir à « 1 milliard de dollars d’ici cinq ans ».

La stratégie gouvernementale semble emporter l’adhésion. Même le seul parti faisant office d’opposition — dans un pays où les libertés d’association et d’expression sont strictement encadrées (7) — n’y trouve plus rien à redire. « Nous avons critiqué au début, admet M. Frank Habineza, sénateur et président du Green Party, qui a obtenu 0,50 % des voix à la dernière présidentielle. Nous trouvions que c’était de l’argent jeté par les fenêtres, qu’il aurait mieux valu investir directement dans le développement du pays. Mais aujourd’hui, nous voyons concrètement le résultat, comme les 25 millions de dollars investis par Masai Ujiri. » L’élu fait ici référence au complexe Zaria Court, comprenant hôtel, restaurant et terrains de sport, inauguré en juillet par M. Kagamé et l’ancien joueur nigérian de l’Association nationale de basket-ball américaine (NBA). Situé dans le quartier de Remera, accolé au stade Amahoro (45 000 places) et au centre de basket, le BK Arena (10 000 places), le Zaria Court est directement le fruit des réseaux tissés au sein du basket mondial : Kigali est devenue l’une des principales étapes de la Ligue africaine de basket, lancée en 2019 par la NBA et la Fédération internationale de basket-ball (FIBA). Et ce malgré les vives critiques de deux sénateurs américains — Mme Marsha Blackburn et M. Jeffrey Merkley —, qui reprochent à la NBA d’entretenir des « relations avec des dictateurs et des despotes (8) ».

Depuis 2024, le pays accueille également un tournoi de tennis du circuit ATP, dont le parrain n’est autre que l’ancien champion franco-camerounais Yannick Noah. Quant au retour d’une course de formule 1 sur le continent (la dernière a eu lieu en 1993 en Afrique du Sud), il est soutenu par le septuple champion du monde Lewis Hamilton. La présence du prince Albert de Monaco au côté de M. Kagamé lors de la remise des trophées, le 28 septembre, a renforcé l’idée d’un soutien du Rocher — qui accueille lui-même un grand prix depuis 1929 — à la candidature du Rwanda, pourtant dépourvu de circuit, face à l’Afrique du Sud, elle aussi sur les rangs.

Le Monde

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

28 Nov 2025, 16:03

Sinon en regardant d'autres résumés de ldc, on va en parler de Chelsea ? Ça a déjà été fait mais j'espère que les instances vont enfin se pencher sur ce trading digne de pokemon de leur part. Ils ont déjà preemptés trois joueurs forts d'équipe d'autres championnats et ça c'est juste ceux que canal a souligné. C'est une lessiveuse à pognon et c'est tentaculaire, encore plus avec leurs satellites.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

29 Nov 2025, 09:10

Ça commence à s’agiter autour de la date de la libération des joueurs pour la CAN
Sur la fin de l’année , en mettant de côté la cdf, il nous reste 2 matchs importants
La saint GIlloise le 9/12 et Monaco le 14/12

Il est actuellement question d’une libération des joueurs le ( ou à partir de ) 8/12, d’autres parlent du 15/12

Si je ne me trompe, seuls au final Aubam et Aguerd sont concernés
Le premier match du Maroc est le 21/12 et celui du Gabon le 24/12

Va t-on assister à une négociation au cas par cas ? Par pays ? Ou bien une date identique pour tous ?(ca j’y crois pas )

Dernier point , la reprise contre Nantes est le 4/1

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 12:21

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 13:05

Bienvenue à toi Coco Pocoloco

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 14:01

Et c'est bien ?

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 18:41

Tirage au sort des 32ème de Coupe de France ce soir 19h.

Une piécette sur l'OM contre une L1 ? Le classique hasard du tirage au sort...

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 19:12

alexduke, tant que c'est à domicile, peu importe.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

01 Déc 2025, 19:14

Thread dédié discussions-football/topic33554-80.html#p4317620

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

02 Déc 2025, 13:22

Au lieu de réfléchir à comment elle pourrait s’en mettre toujours plus plein les fouilles, la FIFA devrait commencer à évoquer les problèmes de santé mentale dans son sport. J’y inclus tout le monde, ce qui se passe à Nice y est bien entendu lié.

Re: [Brèves de foot] ** Le Bar MassaliaLive **

02 Déc 2025, 15:52

alexduke a écrit:Tirage au sort des 32ème de Coupe de France ce soir 19h.

Une piécette sur l'OM contre une L1 ? Le classique hasard du tirage au sort...

Le complot est tellement subtil qu'ils nous ont trouvé un adversaire bidon pour faire comme si le tirage n'était pas truqué et mieux faire passer celui du PSG. :nawak:
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