[PSG 2022-2023] Dîme bigger

Actualité, matchs, Olympique de Marseille, Ligue 1, championnats étrangers et football en général, c'est ici que ça se passe !

Modérateur: Modérateurs

Retourner vers Discussions Football



Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 28 Sep 2022, 23:20

Samba / Renan Lodi, Lacroix, Mbemba, Clauss / Lemar, Kondogbia, Guendouzi, Is. Sarr / Alexis, Aubameyang

Blanco / J. Firpo, Gigot, Seidu, R. Pereira / Harit, Soumaré, Ounahi, Mughe/ Ndiaye, Vitinha

Ventes : Touré, Balerdi, Lopez, Rongier, Veretout, Amavi, Lirola
Avatar de l’utilisateur
Dragan
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 76411
Enregistré le: 11 Mar 2007, 15:09
Localisation: En territoire ennemi

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Odd » 29 Sep 2022, 09:14

:gregs:
Avatar de l’utilisateur
Odd
Floodeur pro
Floodeur pro
 
Messages: 35570
Enregistré le: 31 Mai 2006, 08:20
Localisation: DTC lulu

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 29 Sep 2022, 09:55

Information
Les méthodes sulfureuses du Qatar au service de Nasser al-Khelaïfi; ENQUÊTE Un entrepreneur franco-algérien est arrêté à Doha début 2020 : Tayeb B. détiendrait des informations compromettantes pour le patron du PSG. Au terme de neuf mois d'une détention éprouvante, l'homme n'a été libéré qu'après avoir remis les documents aux avocats d'Al-Khelaïfi via un accord confidentiel.

C'est une enquête explosive, impliquant le tout-puissant patron du Paris Saint- Germain, Nasser al-Khelaïfi, et le gratin du barreau de Paris dans une scabreuse affaire de torture. Une affaire complexe, faite de chantages, de sévices et d'accords secrets, pour que rien ne s'ébruite avant le grand raout de la Coupe du monde de football au Qatar, la première au Moyen-Orient, qui se déroulera du 20 novembre au 18 décembre. Aucoeur de l'histoire figure Tayeb B., un entrepreneur franco-algérien de 41 ans, qui résidait au Qatar avec son épouse et leurs enfants et qui, le 13 janvier 2020, y a été arrêté et emprisonné durant de longs mois, au motif qu'il disposait de documents supposément compromettants pour «NAK», le président du PSG. Interrogé et mis sous une intense pression psychologique durant de long mois, l'homme d'affaires ne sera libéré que le 1er novembre 2020, après la remise aux autorités qataries de plusieurs supports numériques sur lesquels étaient stockées ces pièces sensibles.

Quelle est la nature exacte de ces documents ? Tayeb B., que nous n'avons pu rencontrer, assure par la voix de l'équipe d'avocats qui le représentent à Paris, et avec qui Libération a pu échanger, qu'il s'agissait de documents multiples : les premiers seraient de nature à étayer un peu plus les soupçons d'une action corruptive de l'émirat et de Nasser al-Khelaïfi dans l'attribution controversée du Mondial 2022, au sujet de laquelle plusieurs enquêtes judiciaires sont en cours dans trois pays, dont la France… Les deuxièmes détailleraient des faits de travail dissimulé dans l'entourage d'Al-Khelaïfi et les troisièmes, plus personnels, auraient trait à la vie privée du président du PSG dans la capitale française. Un sujet incandescent dans la mesure où il est de notoriété publique que NAK est un intime de l'émir en personne, Tamim ben Hamad Al Thani. Nos informations sont à rapprocher de celles publiées mardi soir par le JDD et le Parisien, et esquissent
des développements d'une tout autre ampleur. Les deux journaux ont révélé trois interpellations dans une affaire connexe, s'intéressant à une nébuleuse gravitant autour de la direction du PSG, et où l'on trouve a minima deux anciens policiers, dont l'un, ancien de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, future DGSI), a été nommé référent supporter du club en 2018. Le troisième homme en garde à vue, présenté comme un «lobbyiste», n'est autre que Tayeb B. Ce coup de théâtre, le convoquant dans une enquête préliminaire ouverte le 27 juillet 2021 notamment pour «viol du secret professionnel», «trafic d'influence» et «corruption», «faux et usage de faux», est-elle de nature à réinterpréter le récit de sa détention dans le Golfe ? Contactée par Libération, une source proche de ces investigations qualifiées d'«ultrasensibles» n'exclut pas «que Tayeb B. ait lui-même cherché à se placer ou à monnayer les documents qu'il avait obtenu en vue d'une contrepartie ou d'argent. En clair, qu'il ait fait chanter Nasser al-Khelaïfi à des fins crapoteuses.

Que ce soit des documents d'ordre financier, de vie privée, ou les deux, on peut aisément se dire que les autorités qataries voulaient empêcher que leur révélation puisse fracturer la success story parisienne d'Al-Khelaïfi. Cela ne justifie en revanche en rien le traitement inhumain qu'il dit avoir subi à Doha». Et de poursuivre : «Ces dossiers ouvrent les portes d'un inframonde sidérant, nous propulsant dans les coulisses du PSG. Le club avait comme une mini agence de renseignement autour de lui, qui semble commencer à se déchirer. Ça risque de violemment secouer ces prochains mois.»

Genèse d'un improbable thriller à tiroirs Quoi qu'il en soit, ces documents avaient semble-t-il assez de valeur pour qu'une improbable négociation aboutissant à un protocole confidentiel voie le jour. En effet, la libération de Tayeb B., après une détention très éprouvante, ne s'est faite qu'après la signature par l'ensemble des parties d'un accord secret que Libération a pu consulter. Signé par Renaud Semerdjian, l'un des avocats de NAK en France, au titre d'une délégation de pouvoir, et par Tayeb B., cet incroyable deal dispose que l'entrepreneur doit être strictement tenu au silence, sans quoi il sera redevable d'une somme de 5 millions d'euros «sans mise en demeure préalable». Dans ce protocole, Tayeb B. est également contraint de reconnaître «s'être approprié illicitement des documents confidentiels dont il a notamment altéré /falsifié l'objet et le contenu». Comment ces documents ont-ils été formellement obtenus ? Et depuis quand ? A ce stade, il est très difficile de l'établir, tant les versions contradictoires se multiplient entre les membres de l'entourage de NAK, tantôt alliés, tantôt rivaux, tantôt concurrents. Ce qui est certain, c'est que Tayeb B. a été en possession d'un certain nombre d'éléments, et les a mis en «sécurité». Ce n'est que plusieurs mois plus tard que le Qatar, avisé de la circulation des documents, a réagi en interpellant Tayeb B. Le début de neuf mois de privation de liberté et de mauvais traitements.

Installé avec sa famille au Qatar depuis 2019, le Franco-Algérien y travaille comme «consultant en géopolitique et en géo-économie» et agit dans l'entourage du docteur Ali bin Samikh al-Marri, au Comité national des droits de l'homme qatari (NHRC). Dit ainsi, le poste a de quoi faire sourire. Sauf que dans l'optique obsessionnelle de policer son image, d'étendre autant que possible son soft power, l'émirat adore promouvoir ce type de structures, et surtout y placer des étrangers, gage de leur volonté d'ouverture et de voie vers l'amélioration des droits humains, actuellement au coeur d'appels au boycott de la Coupe du monde. Une aventure brutalement interrompue par la détention du quadragénaire, donc, qui ne quittera définitivement Doha que le 1er novembre 2020, une fois l'accord scellé.

Le 18 août, Tayeb B. et son épouse Djamila (1) ont déposé deux plaintes contre X avec constitution de partie civile auprès du tribunal judiciaire de Paris, pour «extorsion commise en bande organisée, subornation de témoin», ainsi que «torture, arrestation et séquestration, et menaces de mort avec obligation de remplir une condition». Pour comprendre la genèse de cet improbable thriller à tiroirs, il faut revenir aux origines de l'ascension de Tayeb B. Né à Gennevilliers en 1981, il incarne en effet le profil type dont le Qatar est friand. Entrepreneur frénétique au vaste réseau, il dit avoir créé une quinzaine d'entreprises en France, principalement dans le secteur de la logistique. Dès 2006, il réalise des investissements dans le Golfe et en Afrique. Mais son entregent, son sens du relationnel et ses appuis diplomatico-politiques, notamment auprès de membres du parti Les Républicains, vont le mener plus haut. Son entourage fait également état de missions en tant que conseiller et médiateur auprès de plusieurs Etats africains, comme le Niger et la Libye.

En parallèle de ses activités commerciales, Tayeb B. s'investit dans le secteur associatif, notamment celui de sa ville d'origine. Ainsi, il a participé au projet «Pacte seconde chance» porté par la préfecture d'Ile-de-France, un dispositif facilitant l'accès à l'emploi des 16-25 ans, que le PSG et BeIn Sports ont accompagné. Enfin, il apparaît dans un troisième univers, celui des idées, avec la création en 2016 d'un think tank qui semble aujourd'hui assoupi, le Club géopolitique. Cet organisme, au site Internet attrayant et propret, multipliait les conférences en 2017, invitant chercheurs et intellectuels à débattre d'enjeux politiques et économiques, essentiellement sur l'Afrique et le Golfe. Certains événements ont ainsi été organisés dans la vénérable Maison de l'Amérique latine, dans le VIIe arrondissement de la capitale. C'est via la présidence de ce club, ainsi que pour ses activités associatives, assure Tayeb B., qu'il va entrer en contact avec Nasser al-Khelaïfi et son entourage. Toujours en 2017, un petit-déjeuner de travail sera notamment organisé avec le patron du club de foot, en présence de l'ancienne ministre déléguée à la Francophonie, et éphémère intermédiaire dans l'intrigue, Yamina Benguigui.

Menaces de mort et simulacres de tabassage Intéressés par le carnet d'adresses et l'influence de Tayeb B., le Qatar va par la suite lui proposer de s'engager dans une campagne de sensibilisation autour de la crise du Golfe qui, en 2017, avait conduit l'Arabie Saoudite et ses alliés - dont les Emirats arabes unis - à instaurer un blocus de l'émirat. L'entrepreneur se rapproche alors peu à peu des diplomates présents à l'ambassade à Paris, et fréquente le saint des saints pour qui veut faire des affaires à Doha : la prestigieuse «corbeille» du Parc des Princes, où le beau linge cultive ses relations pendant les matchs. On lui pro pose ainsi en octobre 2018 de seconder Ali bin Samikh al-Marri au NHRC en qualité de conseil, «pour valoriser sur la scène internationale, et notamment en France et en Europe, les efforts du Qatar concernant les droits de l'homme», dixit ses avocats. Huit mois plus tard, voilà donc les époux et leurs enfants à Doha, où ils bénéficient d'un titre de séjour valable jusqu'en juin 2020. Ils s'y domicilient aussi fiscalement, avec la promesse d'y faire fructifier le business dans la logistique.

Mais en janvier 2020, l'aventure vire au cauchemar. Tayeb B. est interpellé près de son domicile par une quinzaine d'agents se présentant comme des membres des forces de sécurité qataries. Comment une telle bascule a pu intervenir ? Deux versions divergentes émergent à compter de cette date. Dans l'entourage de l'homme d'affaires, on évoque une fuite ayant conduit à sa mise en danger immédiate. Du côté de Nasser al-Khelaïfi, on suggère «l'existence d'un chantage auprès d'officiels qataris, puis, faute de succès, auprès d'officiels émiratis», propriétaires de Manchester City, avec qui Doha entretient des relations diplomatiques très tendues.

Toujours est-il que, selon le récit qui nourrit sa plainte, Tayeb B. n'est informé ni des raisons de son arrestation ni de ses droits. Les agents lui disent simplement, de manière lapidaire, qu'il est appréhendé «sur ordre de l'émir». A son domicile, une perquisition brutale est menée. Elle durera plusieurs heures, avant que Tayeb B. ne soit forcé de signer un document en arabe (qu'il ne lit pas). Une cagoule noire est ensuite placée sur son visage et il est emmené vers un lieu indéterminé. Lorsqu'il est désentravé, Tayeb B. se trouve dans une pièce sans fenêtre en présence de plusieurs agents. Après une fouille corporelle intégrale, on lui remet une simple robe pour se couvrir. On l'enferme dans une pièce de deux mètres carrés, sans sanitaire, avec la lumière allumée en permanence pour le priver de sommeil. Du couloir, il entend des cris, des hurlements de douleur et des appels à l'aide.

L'acte I d'une folle négociation de plusieurs mois Un cycle d'interrogatoires va alors débuter. Les yeux bandés et les mains entravées, il est conduit à de multiples reprises dans une autre pièce close, mais comportant une vitre opaque. Les premières fois, on lui demande de rester debout immobile durant des heures, sans qu'aucune question ne lui soit posée. Elles n'arriveront que progressivement, au fil des jours. Si ses réponses sont jugées satisfaisantes, Tayeb B. aura le droit de s'asseoir. Sinon, il doit rester en station debout. Il essuie aussi des menaces de mort et des simulacres de tabassage. A mesure qu'il répondait «de manière satisfaisante» aux questions, Tayeb B. gagnait du temps de sommeil : quatre heures, puis six heures. Ce n'est qu'au bout d'une semaine, le 20 janvier, qu'un premier contact est permis avec son épouse. Ils sont placés ensemble dans une pièce. Au préalable, Tayeb B. avait été sommé de la prévenir qu'elle devait «coopérer pleinement à l'enquête car sa vie était en jeu». Sous bonne garde, l'entrepreneur demande à sa femme d'engager l'acte I d'une folle négociation de plusieurs mois, qui va consister à ramener au Qatar l'ensemble des supports numériques contenant les documents sensibles. Première mission pour Djamila : filer dans la maison familiale, en Algérie, et ramener «une valise rouge» dans laquelle des éléments avaient été stockés. Par ailleurs, il lui était formellement interdit d'informer les autorités françaises ou de solliciter l'assistance d'un avocat. A leur retour dans l'émirat, les supports numériques seront exploités et disséqués par les services de sécurité, ouvrant la voie à de nouvelles questions et à la poursuite du processus.

«Pour sauver son mari», Djamila se lance dans un voyage Qatar-Algérie-Qatar. Le 1er février, Tayeb B. est tiré du secret et transféré vers la prison de Salwa Road où il est placé à l'isolement total. Les interrogatoires s'y poursuivent tout aussi régulièrement. Lorsque les dires de Tayeb B. ne plaisent pas à ses geôliers, il est cette fois obligé de demeurer assis sur une chaise, sans bouger, durant une dizaine d'heures. Le 10 février, il est présenté pour la première fois à un magistrat, en l'espèce, selon son récit, le procureur général du Qatar. Le droit d'être assisté d'un avocat ou de bénéficier des services d'un interprète lui est refusé. Surtout, il lui est indiqué qu'il est soupçonné d'être un espion au profit d'une puissance étrangère. Sa détention fait désormais l'objet de renouvellements de quatre jours, puis de trente jours.

Le 9 mars, Tayeb B. se retrouve à nouveau en présence de son épouse. A cette occasion, il dit avoir réussi à lui demander discrètement de rentrer en France et d'alerter les autorités et de mobiliser son réseau de contacts politiques. Son départ vers l'Hexagone n'aurait été validé par les autorités qataries que pour continuer à faire le ménage, cette fois à Paris, en ramenant un autre support numérique qui s'y trouvait toujours. Un mois plus tard, le 13 avril, Tayeb B. est interrogé par un homme qui se présente comme directeur adjoint des services de renseignement. Une transaction lui aurait alors été proposée pour la première fois, au terme de laquelle il remettrait les documents en sa possession par l'intermédiaire de son épouse et en échange de sa libération. Pour la première fois également, l'hypothèse de figer un protocole d'accord lui serait suggérée.

Sur instruction de son mari, Djamila a contacté rapidement Yamina Benguigui, laquelle l'a ensuite orientée vers Rachida Dati. Cette dernière aurait été sollicitée en sa qualité d'ex-garde des Sceaux ayant des contacts privilégiés avec le Qatar. Contactée par Libération, Dati décrit une intervention mineure dans l'affaire, expliquant simplement avoir conseillé indirectement à la famille de saisir le cabinet d'Olivier Pardo, ponte du barreau de Paris, et connu des médias ces dernières années comme conseil d'Eric Zemmour. Le 18 mars, une convention d'honoraires, que Libération a pu consulter, est officiellement signée entre Djamila, Olivier Pardo et un autre avocat de premier plan. La suite est encore plus saisissante. Formellement désignés, les nouveaux conseils de Djamila vont engager des tractations avec ceux de Nasser al-Khelaïfi, le ténor du barreau Francis Szpiner et son associé Renaud Semerdjian, membre élu du Conseil de l'ordre du barreau de Paris. Alors même que Tayeb B. est détenu et violenté au Qatar, aucun de ces avocats ne jugera bon de s'inquiéter de ses conditions de détention, ni d'alerter officiellement les autorités françaises. Dans le plus grand secret, un deal va donc se mettre en place entre les deux capitales, Paris et Doha.

En France, les conseils affinent le modus operandi afin de trouver enfin une voie de sortie à l'imbroglio. Au Qatar, l'un des interlocuteurs officieux s'appelle Boudjellal B., numéro 2 du d'Ali bin Samikh al-Marri. Le 9 juin 2020, Djamila envoie le mail suivant à Olivier Pardo : «Je soussigné autorise maître Olivier Pardo à remettre des documents à maître Francis Szpiner.» Une courte semaine plus tard, le 15 juin, une remise de deux clés USB et d'un disque dur a lieu en mains propres dans les locaux du cabinet STAS et associés, celui de Francis Szpiner et de Renaud Semerdjian. Une attestation formalisant cet échange est signée par Francis Szpiner et Olivier Pardo.

«Un maître chanteur qui s'est brûlé» Le 1er juillet, Tayeb B. sort de prison après plusieurs mois extrêmement éprouvants. Ce même 1er juillet ne semble pas être le fruit du hasard, puisque Djamila remet également ce jour-là une toute dernière clé USB à la partie adverse. Une action consignée dans deux textos que lui adresse Olivier Pardo à 19 h 24 puis 19 h 33 : «Ils veulent la clé ce soir peux-tu la déposer je suis coincé à l'audience impossible de téléphone [sic].» Mais Tayeb B. n'est pas encore sorti du purgatoire. Il est assigné à résidence à l'hôtel, doit rester à la disposition des services qataris en cas de convocations intempestives. Dix jours plus tard, le sulfureux protocole transactionnel sera signé à Paris. Un collaborateur d'Olivier Pardo le fait parvenir à Doha pour que Tayeb B. y appose numériquement sa signature, ouvrant la voie à son retour en France.

Joint mercredi par Libération, Olivier Pardo a confirmé sa participation à l'affaire : «J'ai bien été saisi par Tayeb B. qui était en détention au Qatar, et j'ai tout mis en oeuvre pour obtenir sa libération. Ce que je peux dire, c'est que j'ai réellement eu peur pour sa vie, d'autant que c'était la période du Covid. Il était sous le régime de la détention administrative, ce qui peut durer jusqu'à six mois là-bas. Ça a été un très dur combat d'obtenir sa libération et je suis très heureux qu'on ait pu l'obtenir car ce qui lui est arrivé est terrible.» Quant au terme du protocole d'accord, à la clause de 5 millions d'euros en cas de publicité de l'affaire, Olivier Pardo a refusé de s'exprimer, «tenu par le secret professionnel». Sous couvert d'anonymat, un acteur du dossier résume ainsi la vocation numéro 1 du contrat : l'extinction totale de toutes volontés de poursuites de part et d'autre. Sollicités depuis plusieurs jours, ni Renaud Semerdjian ni Francis Szpiner, les avocats de Nasser al-Khelaïfi, n'ont souhaité faire de commentaire. Malgré ce dénouement, Tayeb B. doit encore patienter quelques mois avant de rejoindre la France. Alors qu'il pensait pouvoir décoller en septembre, il voit son interdiction de voyager maintenue. Ses avocats estiment que ce laps de temps a permis au Qatar d'expertiser l'ensemble des supports numériques, mais surtout à Nasser al-Khelaïfi de purger le procès du «Fifagate», dont la première instance avait lieu devant un tribunal pénal suisse à l'automne 2020. Sur ce point, le timing de la libération de Tayeb B. est a minima troublant : NAK est acquitté le 30 octobre. Le 31, l'interdiction de sortie du territoire de l'entrepreneur est levée et, le 1er novembre, il vole vers Paris. Aux yeux de l'entourage du patron du PSG, ces atermoiements n'auraient rien à voir avec le Fifagate, au contraire. Ainsi, un proche d'Al-Khelaïfi affirme : «Tayeb B. aurait systématiquement cherché à lier ses déboires qataris avec Nasser, alors qu'il existe d'autres contentieux entre lui et l'émirat, parfaitement étranger à NAK. C'est un maître chanteur qui voulait des millions d'euros et qui s'est brûlé. Point.» De retour à Paris, l'entrepreneur va néanmoins contre-attaquer. Atteint, affaibli, prenant réellement conscience de la détresse psychologique de sa famille selon ses avocats, le quadragénaire entame un certain nombre de démarches «réparatrices». En désaccord avec la méthode de conduite des négociations d'Olivier Pardo, il se sépare d'abord de son conseil, et conteste les dizaines de milliers d'euros d'honoraires versés devant le Conseil de l'ordre des avocats de Paris. Auprès de Libération, Olivier Pardo confirme l'existence de ce litige. Il y a quelques mois, Tayeb B. a également saisi la justice civile d'une annulation du protocole d'accord, que sa défense estime caduque car il ne peut servir, selon elle, à couvrir des faits criminels. Enfin plusieurs saisines ont été effectuées auprès du rapporteur spécial de l'ONU contre la torture et du groupe de travail sur la détention arbitraire. Contactés par Libération durant sa garde à vue, les avocats de Tayeb B. n'ont, pour l'heure, pas souhaité réagir.•Comment ces documents ont-ils été formellement obtenus ? A ce stade, il est très difficile de l'établir, tant les versions contradictoires se multiplient entre les membres de l'entourage de «NAK». Première mission pour l'épouse de Tayeb B. : filer dans la maison familiale, en Algérie, et ramener «une valise rouge» dans laquelle des éléments avaient été stockés. Par ailleurs, il lui était formellement interdit d'informer les autorités françaises ou de solliciter l'assistance d'un avocat.

Libération
Samba / Renan Lodi, Lacroix, Mbemba, Clauss / Lemar, Kondogbia, Guendouzi, Is. Sarr / Alexis, Aubameyang

Blanco / J. Firpo, Gigot, Seidu, R. Pereira / Harit, Soumaré, Ounahi, Mughe/ Ndiaye, Vitinha

Ventes : Touré, Balerdi, Lopez, Rongier, Veretout, Amavi, Lirola
Avatar de l’utilisateur
Dragan
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 76411
Enregistré le: 11 Mar 2007, 15:09
Localisation: En territoire ennemi

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Lo Provençau » 29 Sep 2022, 10:33

Attendons nous a de sévères conséquences. :clown:
Algarrade aux Aygalades
Embouligues aux Martigues
Castapiane à Mourepiane
Engambi à Menpenti
@Joe Corbeau & Quartiers Nords
Avatar de l’utilisateur
Lo Provençau
Habituel
Habituel
 
Messages: 9031
Enregistré le: 18 Juin 2004, 16:13
Localisation: Sainte-Marthe 13014

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Betsamee » 29 Sep 2022, 10:41

c'est tellement desesperant de savoir qu'il n'y en aura aucune (exceptees quelques Rolex et autres vacances tous frais payes)
"Mieux vaut consacrer son intelligence à des conneries, que sa connerie à des trucs intelligents"@ un mec bien!
Avatar de l’utilisateur
Betsamee
Jean jacte debout
Jean jacte debout
 
Messages: 69230
Enregistré le: 05 Jan 2003, 13:45
Localisation: Somewhere

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar gob » 29 Sep 2022, 12:45

Ce type là est une sacrée ordure quand même .
Avatar de l’utilisateur
gob
Amateur de raies
Amateur de raies
 
Messages: 74361
Enregistré le: 28 Jan 2003, 20:13
Localisation: Marseille

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar alexduke » 29 Sep 2022, 17:40

Mais savez vous que l'Olympique de Marseille !! : :gregs:
DAESH, ALQAEDA et autres extremistes sans courage, degagez de notre planete!!
Les peuples du monde auront votre peau!!


Avatar by BANKSY
Avatar de l’utilisateur
alexduke
Pilier de comptoir
Pilier de comptoir
 
Messages: 14255
Enregistré le: 03 Juil 2005, 23:04

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Dragan » 29 Sep 2022, 19:55

Information
PSG: MBAPPÉ, LES RAISONS DU SPLEEN

Une prolongation de contrat jusqu’en 2025 et un début de saison réussi, la rentrée de Kylian Mbappé a de quoi faire des envieux. Pourtant, l’attaquant originaire de Bondy a montré dans son comportement ou ses mots une forme d’agacement.

Choses promises, choses dues. Un proverbe qui explique bien la forme de lassitude ressentie par Kylian Mbappé quelques semaines après sa présentation avec un maillot floqué "2025" en mai dernier au Parc des Princes. L’issue d’un feuilleton palpitant, concrétisé par une prolongation de contrat de 3 ans, qui n’a pas encore livré tous ses secrets. Jusque dans les dernières minutes des négociations, le club de la capitale aura avancé minutieusement ses arguments pour convaincre son joyau de rester.

Le tout en étant soutenu au plus haut sommet de l’Etat par le Président Emmanuel Macron. Une prolongation de 3 ans de contrat (2 ans + 1 en option). Dans les hautes sphères du club, le sujet est encore aujourd’hui très sensible. "Absolument aucune promesse n’a été formulée. Nasser l’a bien dit, tout comme Kylian", confie une source. On sait tout de même que dans le projet exposé à Kylian Mbappé pour prolonger, il n'y avait pas Neymar. Le Français n'a pas milité pour le départ de son coéquipier comme ça a pu être dit, mais il l'avait donc accepté.

Pourtant, les signes d’agacement, de frustration et de déception chez l’attaquant parisien n’ont jamais été aussi visibles. "Il a toujours des hauts et des bas. Il est comme ça. Au début il y a eu un peu d’agacement avec Neymar et le pénalty. Mais tout va bien maintenant. On oublie vite qu’il n’a que 23 ans" ajoute un proche de la direction parisienne.

Une relation contrariée avec Neymar ?

Dans le board parisien on répète aussi qu'un départ de Neymar n’a jamais été demandé. Les récentes tensions ne seraient dues qu’à un peu de jalousie des joueurs. "Pas de quoi en faire en drame. Tout cela va finir par passer. Ce n’est rien", démine une autre source. Pourtant, la réalité semble toute autre. Cette friction entre Neymar et Mbappé s’est aussi accentuée pendant cette trêve internationale. Après la victoire facile du Brésil contre le Ghana vendredi dernier en amical au stade Océane du Havre (3-0), la star brésilienne s'est présentée en zone mixte. "Ney" a d'abord répondu aux questions sur la Seleçao avant qu’un autre journaliste ne le questionne sur sa relation avec son coéquipier au PSG. "Avec Kylian?", a rétorqué le meneur de jeu de la Seleçao, avant de souffler et de se précipiter vers la sortie du stade sans répondre.

De quoi relancer encore une fois les rumeurs et articles sur la relation difficile entre les deux joueurs. Pourtant, comme le soulignait Kylian Mbappé lors qu'il est intervenu en conférence de presse pour déminer le sujet, déjà, leur relation n’en reste pas moins basée sur le respect. Mais la cicatrice formée par le dernier pénaltygate contre Montpellier ne semble pas totalement refermée. Un lien régulièrement distant, comparable à celui avec d’autres joueurs. Prêté par le PSG à la Juventus, Leandro Paredes s’est montré expéditif sur ce sujet ce lundi. "Ceux avec qui je n'avais pas de relation, je ne peux pas vous en parler", explique-t-il froidement au sujet de son ancien partenaire.

Les promesses non tenues du mercato

Placé un peu plus dans la lumière après avoir paraphé son contrat, Kylian Mbappé a vu son coéquipier brésilien lui voler la vedette lors de la tournée estivale au Japon. Neymar impressionne, sur comme en dehors du terrain. Une condition physique optimale, un investissement dans le repli défensif et une ponctualité irréprochable, ce qui change par rapport à sa dernière saison parisienne. La star brésilienne a redoré son image le temps d’un été, au point de s’imposer sur le terrain comme le porte-drapeau du renouveau désiré par Christophe Galtier. Un modèle de rigueur et d’investissement. De quoi titiller son coéquipier à la recherche d’encore plus de liberté dans le secteur offensif. Après le match contre l’Autriche avec les Bleus, Kylian Mbappé a parlé de son positionnement: "J’ai beaucoup plus de liberté ici. Moi, je peux me balader, aller dans l’espace, demander les ballons. A Paris, c’est différent, il n’y a pas ça, on me demande de faire le pivot."

Des propos qui interrogent. Dans l’esprit des dirigeants au début de l’été, Mbappé devait jouer devant avec un attaquant capable de fixer les défenseurs. Ce numéro 9 n’est pas arrivé. Christophe Galtier s’est adapté. Kylian Mbappé aussi, par la force des choses. "Son analyse est juste, a déminé son entraîneur en conférence de presse ce jeudi. Il n'est pas dans la même configuration chez nous et en équipe nationale. C'est une discussion que j'ai eue avec lui lors de la préparation mais aussi avec le président et Luis Campos. On était tous convaincus qu'il fallait un quatrième joueur avec un profil différent. Ce 4e joueur n'est pas venu, c'est dommage mais c'est comme ça. Kylian a ce joueur de référence en équipe de France. Nous on a une autre animation, d'autres profils, mais qui sont aussi intéressants. La relation technique qu'il y a entre Ney, Leo et Kylian est différente de ce qui peut se passer en équipe nationale."

Le mercato d’été a été manqué par le club parisien. Un bilan assumé par le conseiller sportif Luis Campos lors de son interview dans Rothen S’enflamme. La star française fait le même constat en privé. A l’heure de prolonger son contrat, l’attaquant parisien a aussi reçu l’assurance d’évoluer en attaque. De quoi rendre cette équipe compétitive, faite pour gagner la Ligue des champions. "On lui a dit que l’équipe allait être améliorée, mais en étant toujours soumise aux règles du fairplay financier", confie une source proche des négociations. Notamment sur la table, un autre attaquant de classe mondiale. Un autre numéro 9 comme Scamacca, Lewandowski ou encore Dembélé et Rashford dont il est très proche. Malgré tout ça Kylian Mbappé garde des statistiques de très haut niveau depuis le début du championnat (7 buts en 7 matchs ) et a toujours envie de repousser ses limites et de battre des records.

RMC
Samba / Renan Lodi, Lacroix, Mbemba, Clauss / Lemar, Kondogbia, Guendouzi, Is. Sarr / Alexis, Aubameyang

Blanco / J. Firpo, Gigot, Seidu, R. Pereira / Harit, Soumaré, Ounahi, Mughe/ Ndiaye, Vitinha

Ventes : Touré, Balerdi, Lopez, Rongier, Veretout, Amavi, Lirola
Avatar de l’utilisateur
Dragan
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 76411
Enregistré le: 11 Mar 2007, 15:09
Localisation: En territoire ennemi

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar meh75 » 30 Sep 2022, 10:45

C'est Hollywood ce club
Lucho Gonzalez : "L'OM, ça me rappelle l'Argentine"
Avatar de l’utilisateur
meh75
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 14033
Enregistré le: 02 Aoû 2003, 19:47
Localisation: Paris

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar meh75 » 30 Sep 2022, 10:52

Information
L'attaquant du PSG Neymar a déclaré son soutien au président sortant d'extrême droite Jair Bolsonaro, ce jeudi à trois jours de l'élection nationale au Brésil.


Entre Galtier qui s'oppose au ramadan, Neymar qui soutient l'extrême droite, #-o #-o #-o
Lucho Gonzalez : "L'OM, ça me rappelle l'Argentine"
Avatar de l’utilisateur
meh75
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 14033
Enregistré le: 02 Aoû 2003, 19:47
Localisation: Paris

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Betsamee » 30 Sep 2022, 10:57

meh75, ca sort d'ou ca? La parole de Fournier la raclure?
"Mieux vaut consacrer son intelligence à des conneries, que sa connerie à des trucs intelligents"@ un mec bien!
Avatar de l’utilisateur
Betsamee
Jean jacte debout
Jean jacte debout
 
Messages: 69230
Enregistré le: 05 Jan 2003, 13:45
Localisation: Somewhere

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar superolive » 30 Sep 2022, 11:07

Betsamee, non Neymar a fait un tweet à ce sujet.
Avatar de l’utilisateur
superolive
Floodeur pro
Floodeur pro
 
Messages: 24640
Enregistré le: 18 Sep 2003, 11:41
Localisation: 94

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar meh75 » 30 Sep 2022, 11:08

Betsamee, Dans l'équipe du jour, il y a un sous entendu et un joueur du centre de formation de Nice l'avais dit sur twitter la veille de la parution de l'article dans L'Equipe.
Lucho Gonzalez : "L'OM, ça me rappelle l'Argentine"
Avatar de l’utilisateur
meh75
Rédacteur
Rédacteur
 
Messages: 14033
Enregistré le: 02 Aoû 2003, 19:47
Localisation: Paris

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar boodream » 30 Sep 2022, 11:43

superolive, :lol:

En tout cas, je ne sais pas si le Qatar va kiffer la polémique minable lancée par fournier. Quiconque ayant déjà fait le ramadan tout en pratiquant une activité physique sait évidemment que ça a un impact, c'est aussi vrai dans le BTP que dans le sport pro, c'est complètement fou de trouver ce constat discriminatoire. Ce qui serait discriminatoire c'est d'empêcher des joueurs de le faire, pas de s'obliger à inventer que ça ne pose aucun problème de récupération.
«On a fait une erreur dans ce mercato, c'est d'avoir eu des discussions avec un joueurs qui ont trop duré. Et ça, c'est une erreur qu'on essaiera de ne pas reproduire» :eyraud:
Avatar de l’utilisateur
boodream
Poète nain
Poète nain
 
Messages: 55484
Enregistré le: 29 Mai 2004, 17:43

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar aristote2 » 30 Sep 2022, 12:36

Des footeux brésiliens qui soutiennent une raclure. Ca montre leur ... (mettez le synonyme d'idiotie que vous souhaitez).
Bon, en face, c'est Lula, condamné pour corruption... Il a certes payé sa dette envers la société, mais quand même...
Avatar de l’utilisateur
aristote2
Pilier de comptoir
Pilier de comptoir
 
Messages: 14533
Enregistré le: 26 Mai 2008, 19:39

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Delio » 30 Sep 2022, 12:36

Ben la en l’occurence ca parle d’une pression mise par Galtier pour que ses joueurs ne le fassent pas. C’est quand meme tres grave.
Delio
Banni
Banni
 
Messages: 13979
Enregistré le: 21 Juil 2016, 01:35

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar boodream » 30 Sep 2022, 12:45

Delio, je ne vois pas comment le Qatar l'aurait recruté s'il avait fait ça. Ca ressemble vraiment à une peau de banane un peu aigrie par un mec qui donne des leçons de foot à l'univers entier et vient de se faire préférer Anigo en Grèce. Le simple fait de mélanger la question du ramadan avec celle du recrutement de Brahimi c'est hardcore je trouve.
«On a fait une erreur dans ce mercato, c'est d'avoir eu des discussions avec un joueurs qui ont trop duré. Et ça, c'est une erreur qu'on essaiera de ne pas reproduire» :eyraud:
Avatar de l’utilisateur
boodream
Poète nain
Poète nain
 
Messages: 55484
Enregistré le: 29 Mai 2004, 17:43

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Delio » 30 Sep 2022, 12:54

Ca c’est debile meme si je ne vois pas ce lien etre fait dans ma lecture.

Le Qatar n’en n’a strictement rien a foutre, ils ont pris en grandes pompes Lucas et Neymar, soutiens affichés et assumés d’un president d’extreme droite notoirement islamophobe aussi.

Peut etre aussi qu’ils n’en n’avaient pas totalement conscience ou penseraient que ca ne sortirait pas. Galtier c’est d’abord le choix de Campos, qui est venu là en ayant la certitude de pouvoir l’avoir a mon avis.
Delio
Banni
Banni
 
Messages: 13979
Enregistré le: 21 Juil 2016, 01:35

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar Serber » 30 Sep 2022, 13:19

Delio a écrit:Ben la en l’occurence ca parle d’une pression mise par Galtier pour que ses joueurs ne le fassent pas. C’est quand meme tres grave.

C'est moins choquant que le fait de laisser Payet faire un "ramadan inversé". :|
Image
Avatar de l’utilisateur
Serber
Habituel
Habituel
 
Messages: 9729
Enregistré le: 14 Aoû 2005, 02:36

Re: [PSG 2022-2023] Dîme bigger

Messagepar gob » 30 Sep 2022, 13:37

Delio a écrit:Ben la en l’occurence ca parle d’une pression mise par Galtier pour que ses joueurs ne le fassent pas. C’est quand meme tres grave.


Et pourquoi ce serait grave ?
La religion est d’ordre privé et n’a pas à impacter ton employeur .

Sans parler au rythme alimentaire peu adaptée au sport de haut niveau.
Avatar de l’utilisateur
gob
Amateur de raies
Amateur de raies
 
Messages: 74361
Enregistré le: 28 Jan 2003, 20:13
Localisation: Marseille

PrécédenteSuivante

Retourner vers Discussions Football

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Google [Bot] et 29 invités