Les douze travaux de notre Eyraud

Jacques-Henri Eyraud l’avait annoncé d’emblée : il comptait pleinement profiter des cent jours de grâce initiale pour réformer le club à marche forcée. Il était donc inévitable de voir tous les observateurs de la planète football, rivalisant d’imagination et d’originalité, se précipiter dès le 101e jour pour dresser le bilan de son action et pointer les écarts entre effets d’annonce et actes effectifs.

 

Si ce n’est qu’en l’espèce, lesdits écarts vont être difficiles à débusquer. Sauf à user de mauvaise foi, ce dont on ne saurait soupçonner l’élite des journalistes sportifs français, qu’ils officient dans les pages de l’Équipe, à Canal + ou sur les ondes de RMC.


« Tu vas prendre mon Power Point dans la gueule ! »

Trois mois, cent jours : 300 raisons d’y croire toujours

Cette courte période d’euphorie pendant laquelle les forces vives de la communauté sont mobilisées derrière le nouveau décideur est bien connue de tout dirigeant fraîchement élu ou nommé. Ensuite, les premières réticences et résistances se font jour. Les inévitables critiques commencent à claquer. La gueule de bois après la nuit de noces en somme…

Il nous a d’ailleurs paru intéressant d’y inclure le mercato d’hiver, car de toute évidence, cette première grande échéance allait donner des indications fortes sur les capacités réelles de toute l’équipe dirigeante.

Cette dernière, mise en place et chapeautée par JHE, devait s’atteler à une titanesque accumulation de besognes dont la difficulté n’avait rien à envier aux douze travaux d’Hercule. De là à dire qu’il fallait une sorte de demi-dieu pour les mener à bien, il n’y avait qu’un pas que nous avons allègrement franchi. Vous nous connaissez, sauter à pieds joints dans le lyrisme le plus échevelé ne nous fait pas peur. On craint dégun, nous !

Ainsi, il arriva en ces temps troublés que les Rois-supporteurs décidèrent de mettre à l’épreuve leur nouveau Eyraud : ils lui demandèrent donc d’accomplir douze tâches réputées irréalisables…

Enrôler la masse idoine de grosses légumes

Les deux premiers fruits dans le panier du nouvel OM ne pouvaient être des pommes pourries. C’est en effet sur eux qu’allait reposer la politique sportive du club pour les années à venir. Plus question pour cet OM nouveau de remettre son sort entre les mains de cornichons de son entourage, ni de truculents Messieurs Patate, chéris des médias, mais n’ayant jamais rien prouvé sur le long terme et si communs en L1.

Truculent : adj. gentil euphémisme pour « insupportable grande gueule ».

Par conséquent, un entraîneur confirmé, ayant réussi partout où il était passé et un directeur sportif prestigieux étaient ciblés. Toutefois, des professionnels de ce calibre ne se recrutant pas chez Pôle Emploi ni parmi les consultants des médias, il fallut faire preuve de l’audace d’Hercule dérobant les pommes d’or du jardin des Hespérides.

Eyraud sut donc profiter de diverses fins de cycles dans des clubs de très haut niveau pour aller cueillir Rudi Garcia et Andoni Zubizarreta à même les branches de la Roma et du Barça soi-même, excusez du peu.

Ce premier exploit donnait des indications claires sur les orientations choisies et les ambitions nourries par la nouvelle direction : ce faisant, on évitait l’agriculture intensive et la spéculation maraîchère à la Campos* pour choisir des cultivateurs raisonnés.

Seul l’avenir nous dira si ce choix est le bon, mais il rassure certainement les supporteurs.

* Luis Campos, actuel conseiller sportif du LOSC

Déjouer la conjuration des incapables

Ah ! Le fameux « contexte marseillais » ! Celui-là même qui permettait à certains commentateurs d’expliquer d’un air entendu pourquoi l’OM était un club invendable… jusqu’à sa vente ! Quelles qu’aient été les parts de fantasme et de réalité derrière cette expression, une chose était évidente : notre club était miné par l’amateurisme.

Copinage et Népotisme faisaient office de DRH, provoquant nombre d’épisodes lamentables autour et au sein de la vénérable institution marseillaise, devenue la risée des médias parisiens. Pire encore, ces péripéties suscitaient la honte des fans, obligés de ravaler leur fierté pour assumer les « particularismes » locaux.

Des dirigeants renvoyés devant la justice pour des transferts douteux aux mauvais choix de chasubles ou de crampons par les petites mains du club, c’est à tous les niveaux que la médiocrité et l’incompétence pointaient sous la surface, quand elles n’éclataient pas au grand jour.

Ainsi, de jeunes talents formés au club partaient éclore sous d’autres cieux, faute de leur avoir fait signer un contrat « pro » avant de les exposer. Des équipes de jeunes se déplaçaient à l’autre bout de la France pour s’entendre dire qu’elles n’étaient pas qualifiées, car pas inscrites dans les délais impartis. Des fax ne partaient pas à temps pour permettre à une recrue de disputer un match important, etc.

Autant d’exemples criants du laisser-aller qui fragilisait l’institution OM, éléphant aux pattes d’argile.

Nettoyer les écuries d’Augias… au Kärcher

Tout cela sans parler des multiples cambriolages chez des joueurs, des rumeurs de noyautage du club par la pègre locale ni des soupçons de commissions occultes. Comme si tout cela était spécifique à Marseille… Il y a des coups de pied occultes qui se perdent !

Au demeurant, personne ici n’osait croire qu’il serait possible d’assainir rapidement la situation. Pourtant, après plusieurs audits sur la sécurité et les compétences au sein du club, les départs se succédaient à un rythme soutenu, compensés par des embauches faites sur CV et non plus sur des accointances variées.

Avec en point d’orgue le remplacement du responsable de la sécurité Guy de Cazademont – à tort ou à raison trop connoté « ancien OM » – par Thierry Aldebert, un ancien du GIGN. On pouvait être sceptiques, mais la fosse semblait avoir été bien nettoyée. Ça commençait à sentir bon.

Rudi et Zubi sont dans un bateau… mais pas en galère.

Extraire l’or de nos terres…

Du fait de l’envol délirant du prix des joueurs sur le tout-puissant « Marché », plus aucun club ne peut se permettre de négliger le repérage et l’enrôlement des jeunes talents. Sauf à être financé par le Qatar et avoir les bourses pleines pour l’achat de joueurs déjà confirmés. Et encore ! Même l’actuel et richissime PSG est loin de négliger cet aspect du recrutement.

L’un des chantiers prioritaires du nouveau staff était donc de développer les réseaux de détection du club. Car jusqu’ici, il se contentait de la portion congrue de la production locale. Situation d’autant moins tolérable que la région constitue un gisement de jeunes pépites que l’Olympique de Marseille n’a que trop rarement su détecter et aller chercher à leur porte !

L’un des premiers mouvements de la direction a donc été de reprendre contact puis de tisser des liens avec les clubs amateurs et formateurs de la région. Partant, les premières conventions sont en discussion avec des orpailleurs notoires comme Consolat, Burel, les Caillols, etc.

En parallèle, l’autre grand terroir fournisseur de perles étant la région Île-de-France, un réseau semble avoir été rapidement créé sur place, avec à la clé déjà quelques signatures de jeunes espoirs pour le futur. Charge ensuite au centre de formation, de tailler et polir les gemmes brutes pour en faire les pierres précieuses tant attendues.

… pour forger les joyaux de la couronne olympique

Or, avec une vingt-deuxième place sur trente-cinq au dernier classement national, la pouponnière marseillaise n’était certainement pas au niveau attendu pour un club du standing de l’OM. Les vrais bijoux issus de la formation interne se dénombraient sur les doigts des deux mains, même en comptant certains diamants partis faire le bonheur d’équipes étrangères plus promptes à réagir.

Au contraire, les pseudo-talents portés par les responsables sont légion, qui n’ont jamais dépassé le potentiel de joueur lambda de L1, L2 voire de CFA. « L’or des fous » en somme, mais qui s’en souciait ?

C’est ce qui a en grande partie conditionné le choix d’Andoni Zubizarreta comme directeur sportif. Orfèvre en matière de détection et de formation puisqu’ancien responsable de la prestigieuse Masia barcelonaise, il doit nous apporter ses réseaux, son expérience et son savoir-faire.

De bonnes bases, certes, mais encore fallait-il mettre les moyens en adéquation avec les ambitions du club dans ce domaine. Qu’à cela ne tienne ! Le budget formation/scouting a été doublé. Merci Mister McCourt ! Du reste, la présence remarquée du propriétaire et du président à un récent tournoi de tout jeunes est venue à point nommé pour envoyer un message fort dans ce sens.

Construire un monument pour les siècles à venir

L’OM avait tendance à s’enorgueillir de ses installations du centre Robert-Louis Dreyfus. Pourtant Bielsa avait déjà exigé des retouches à la Commanderie. Garcia n’a pas dû être plus impressionné puisque, lui aussi, a réclamé dès son arrivée des améliorations substantielles.

Fort heureusement, notre nouvel actionnaire n’a pas fait fortune dans l’immobilier pour mégoter sur ce point ! Eyraud a donc récemment annoncé dans l’Équipe la mise en chantier dès l’été prochain de nouvelles installations plus vastes et plus modernes, intégrant une clinique du sport. Plus qu’un projet, il s’agit d’une mise à niveau des facilités du club pour le XXIe siècle.

Dès lors, l’OM sera paré, sinon pour les siècles à venir du moins pour les prochaines décennies.

Sauver le navire des chutes de Liguedeux

Œuvrer pour l’avenir est louable et nécessaire. Néanmoins, si l’équipe première était tombée en L2, le projet en aurait pris un sérieux coup sur la tête… d’affiche.

Or, à la passation de pouvoirs entre Margarita Louis-Dreyfus et Frank McCourt, la question pouvait se poser. L’OM de Passi était au mieux médiocre et au pire désespérant de bêtise et de vacuité tactique. Il plafonnait à une peu reluisante douzième place, à cinq points du premier relégable et cela, avant une série de matchs contre les cadors du championnat.

De plus, le jeu produit et le spectacle proposé n’incitaient guère à l’optimisme et le navire s’enfonçait dangereusement dans les courants de la relégation. Tandis qu’écœurés, les fans bleu et blanc se résolvaient à abandonner le vaisseau Vélodrome qui se vidait lentement, mais inexorablement.

L’urgence était donc de fixer un cap hors des turbulences, en attendant le mercato d’hiver pour se renforcer. L’apport du commandant Garcia à la barre se fit rapidement sentir avec une manœuvre périlleuse, mais payante pour éviter le naufrage au Parc des Princes.

Puis vint la définition en quelques semaines d’un équipage type, avec l’intégration des matelots Rolando en qualité de bosco, et Lopez en vigie.

Enfin, il fit battre le tambour pour galvaniser les énergies et coordonner les efforts du bel arroi qui, souquant ferme, allait mouiller à une inespérée sixième place pour la trêve. Le bâtiment naviguait désormais sur des flots plus tranquilles. Mission accomplie.

Recruter des loups de mer et évincer les marins d’eau douce

Pour autant, tout n’était pas réglé. Les grains successifs essuyés face à Monaco et Lyon étaient là pour démontrer aux optimistes que de sérieuses carences plombaient encore le potentiel de l’équipe. Le mercato d’hiver arrivait au bon moment pour tenter de consolider les fissures les plus dangereuses dans la coque, voire colmater les trous béants que constituaient certaines parodies de joueurs.

Plusieurs besoins urgents avaient été définis. Concernant les postes, la priorité allait à un arrière gauche, un attaquant de couloir gauche, un milieu relayeur – dans l’optique d’un départ de Diarra – et une doublure au poste d’avant-centre.

Dans le domaine qualitatif, il fallait absolument un quartier-maître expérimenté, capable d’incarner le relais de l’entraîneur sur le terrain. Il fallait aussi de la finesse technique et de l’intelligence de jeu, denrées qui faisaient cruellement défaut en cantine. Enfin, de la polyvalence aux postes défensifs avec la capacité de relancer proprement serait la bienvenue pour éviter des déconvenues (comme le dernier but de Lyon en championnat qui pique encore un peu notre amour-propre).

Objectif pratiquement atteint avec les recrutements du moussaillon Morgan Sanson et des bourlingueurs Patrice Evra et Gregory Sertic, même si ce dernier semble ne pas faire l’unanimité parmi les supporteurs.

Seule la doublure de Gomis est portée manquante. Il faudra donc tenir jusqu’au mercato d’été.

Hélas, ce vœux pieu a été brisé hier soir lors d’un choc contre Nantes, et pour l’avant-centre marseillais, tout contre Diego Carlos, un Canari de soixante-dix-neuf kilos…

Cet incident hypothèque évidemment la fin de saison olympienne ponctuée d’échéances majeures face au PSG en championnat et Monaco en huitième de finale de Coupe de France.

Il n’y a plus qu’à croiser les doigts, prier la Bonne Mère, et maudire une fois de plus l’héritage catastrophique des années Labrune-MLD…

Objectif mené à bien ou presque, mais Zeus est joueur.

Ramener d’Albion la cerise pour le gâteau

Dimitri Payet, un joueur « prêt à ch… » ?

L’arrivée de « Tonton Pat » était déjà une signature de prestige. Manquait cependant encore un joueur dans le haut du panier européen actuel pour affirmer les ambitions nouvelles du club tout en étant susceptible de bonifier sérieusement et immédiatement le jeu de l’équipe.

Dimitri Payet répondait à ces deux critères.

Son recrutement fut obtenu de haute lutte au terme d’un long bras de fer avec West Ham. Cette arrivée offrait en outre une revanche sentimentale à tous les amoureux du beau jeu qui avaient été désespérés par son départ à un prix ridicule pour un club de seconde zone de Premier League.

Bonus appréciable à l’approche de la Saint-Valentin, ses ouvertures lumineuses, ses coups de pied arrêtés précis devraient rapporter des points à une formation visant une qualification en Europa League dès cette saison.

Développer la business class

Les négociations avec West Ham autour du transfert de Dimitri comme celles avec Louis Nicollin pour Morgan Sanson l’ont bien montré : la façon de traiter les affaires de JHE diffère notablement de celle de son prédécesseur. Comme sa formule imagée l’a clairement énoncé, l’OM ne doit plus être considéré comme un « chéquier sur crampons ».

Autrement dit, si le budget est en augmentation, pas question de faire n’importe quoi avec l’argent de McCourt ni avec celui du club ! Une sacrée différence avec nombre de ses devanciers ! Car ledit chéquier est maintenant dans la poche d’un chef d’entreprise qui a passé sa carrière à travailler dans le milieu des affaires et non à tremper dans les affaires du milieu.

Le Réunionnais à trente millions d’euros alors qu’on en évoquait quarante-cinq avant négociations,  Sanson à douze quand Loulou en demandait quinze dans ses moments de quasi-lucidité, voilà deux belles performances dans la partie de poker menteur qu’est devenu le mercato !

Démontrer son sérieux pour ne plus apparaître comme le pigeon du Landerneau footballistique, ne plus passer pour un perdreau de l’année face aux vautours, agents et intermédiaires de toute plume était vital. C’est désormais chose faite.

Et parlant d’oiseaux…

Chasser les oiseaux de mauvais augure

« Dire c’est faire rire, faire c’est faire taire ». L’aphorisme d’André Dacier, modernisé par Jacques-Henry Eyraud, a fait florès tant dans la presse que chez les supporteurs. Mais avec un écho différent. Chez les seconds, il a résonné comme une promesse, « vous allez voir ce que vous allez voir », là où les premiers le recevaient comme une sorte d’avertissement.

André Dacier, philologue et traducteur français (1651-1722)

Pourtant les journalistes sportifs, tels les oiseaux du lac de Stymphale que dut affronter Hercule, ont continué leur insupportable caquetage. Malgré les accomplissements, le doute et la condescendance amusée ont prévalu dans la presse. Même l’arrivée de Payet a donné lieu à des commentaires bilieux ou dubitatifs et à des arguties sur le prix ou l’apport présupposé du joueur. Quand Depay à Lyon était accueilli en héros de la L1, tout comme Draxler au PSG…

C’est qu’on avait tellement pris l’habitude des excentricités de ces fadas de marseillais – et réviser son jugement demande tant d’efforts… – que les articliers ne voulaient pas lâcher la carcasse qui constituait leur fonds de commerce !

Il va falloir faire grand bruit et lancer de nombreux traits pour disperser les charognards. Mais si les victoires et les titres viennent, ils suivront le vent. Comme ils l’ont toujours fait.

Ressusciter le rêve évanoui

Compétence et professionnalisme jouent désormais à plein et les nouveaux dirigeants ne nous font plus rire jaune ou rougir de honte.

Avec un mercato d’hiver encourageant faisant miroiter la promesse d’un onze titulaire digne du beau nom d’équipe, c’est même un nouveau départ qui se profile. Le vrai, le seul, celui qu’on n’attendait plus. Pour l’heure, les résultats sont encore irréguliers et l’animation offensive inefficace, mais le rendement est en hausse et le jeu se fait plus spectaculaire : sportivement, il y a du mieux.

La saison de transition sans enjeu qui se profilait débouche finalement sur une course à une qualification européenne qui pourrait s’avérer palpitante. De même, et bien que très hypothétique, la quête d’une onzième coupe de France n’apparaît plus impossible…

En conséquence, l’envie de suivre les matchs et d’en discuter avec les copains ou au travail revient peu à peu à Marseille. L’OM rythme à nouveau la vie et les conversations de la cité phocéenne. De plus, la politique commerciale finaude de prix cassés sur les matchs à faible attractivité et la relance des abonnements pour une campagne hivernale contribuent à remplir peu à peu les travées du Vélodrome.

La promesse d’un nouveau printemps, d’une renaissance est là. Notre rêve n’est plus inaccessible. Que tout cela se confirme et fleurisse cet été, et le doux fruit de la passion s’épanouira de nouveau.

Notre Eyraud aura alors réalisé des miracles. Et les douze travaux auront été accomplis.

Allez l’OM.

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A propos de selfmade footix


Artiste sur le terrain, viril mais correct dans la vie. Ou le contraire, ça dépend. Amoureux de la vie, de l'amour, du beau jeu et de l'amour du beau jeu. Accro aux parenthèses et autres digressions. Loisir : Lapins crétins spotting sur les pelouses de France et de Navarre.
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6 Réponses pour Les douze travaux de notre Eyraud

  1. le premier des travaux aurait peut-être été de prolonger ou vendre @Lass_Officiel mais de casser son contrat… #incompétence

    • La résiliation du contrat de L. Diarra est intervenue au moment même de la publication de cet article, mettant un terme à l’un des problèmes hérités de l’ancienne équipe dirigeante. #mauvaise_foi #impatience #prétexte

  2. avatar De selfmade footix le 14 février 2017 à 22h36

    Mais vous n’avez rien de mieux à foutre pour la Saint-Valentin que de lire mes co… mes bêtises ? Qu’en pensent vos tendres moitiés ? 😉

  3. Excellent travail de SMF et de Toti. Du très bon boulot d’équipe ! Bravo à tous !

  4. Excellent article, excellentes illustrations, excellents retours sur les RS ! 👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽👏🏽

    • Il faut saluer l’excellent travail de Selfix. Les retours sur les RS sont mérités, surtout depuis le temps qu’on court après. Ça n’est qu’un début. 😉