même si je ne sais pas trop où tu veux en venir.
je te reprenais quand tu proposais de considérer la création d'israel comme un fait acquis. cela, accepté alors par les consciences, nous offrirait "un grand bon en avant". sur le cas précis, je n'ai pas de réponse. pour généraliser, je ne vois pas en quoi, en terme d'histoire, accepter comme immuable tel ou tel fait, consitue une avancée. puisque, par définition, l'histoire est mouvement. (meme des +inattendus!)
2. Je ne connais pas le gars. Mais la parole objective n'existe pas ; et ce n'est pas une position dogmatique. Cela dit, contrairement à Peezee, je ne monterais pas sur mes grands chevaux à l'énoncé du titre de la conf.
euh il ya eu quiproquo la. le titre était celui de l'article, la conf était sur le conflit au moyen-orient. du reste je n'ai pas dit qu'il avait "la parole objective", mais "une des +objectives" notamment grace a sa profonde connaissance du sujet.
Parce que les deux positions existent de fait : le spectre de l'antisémitisme est effectivement agité pour défendre certains aspects parmi les plus discutables de la politique israélienne. Par ailleurs, cette critique est quelquefois, mais pas toujours, le paravent d'un antisémitisme réel.
absolument.
"C’est un jeu qui n’a pas de vérité, qui n’a pas de loi, qui n’a rien. Et on essaie de l’expliquer. Mais personne n’arrive à l’expliquer. C’est pour ça qu’on peut toujours parler de football." Platini