aristote2, sujet extrêmement compliqué, et je dis çà d'abord parce que j'ai trouvé effectivement choquant les propose ce jour du président de la Conférence des évêques de France.
En faisant quelques recherches j'ai trouvé çà :
"En 2019, lors d'un travail parlementaire au Sénat, Olivier Ribadeau Dumas, alors secrétaire général de la Conférence des évêques de France, estimait ainsi que le secret sacramentel était un secret professionnel, "au même titre que le secret médical ou la relation entre un avocat et son client". Mais les prêtres et aumôniers n'apparaissent dans aucun texte de loi consacré au "secret professionnel", à la différence des avocats ou des médecins.
Cette interprétation repose donc uniquement sur d'anciennes décisions de la chambre criminelle de la Cour de cassation. "Le secret de la confession, comme opposabilité à l'obligation de dénonciation d'un crime, est une construction de jurisprudence", explique à franceinfo l'avocate Antoinette Fréty, auditionnée par le Sénat en 2019 et par la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise."
Me semble donc que l'Etat devra aussi clarifier çà.