
Liberec ! Délivrec ! Je ne regarderai plus l’OM, plus jamaic ! Liberec ! Delivrec ! Ils ont fini par me dégoutec !
Liberec ! Délivrec ! Je ne regarderai plus l’OM, plus jamaic ! Liberec ! Delivrec ! Ils ont fini par me dégoutec !
Battus à domicile par le promu angevin, les joueurs de l’Olympique de Marseille s’enfoncent dans les profondeurs du classement. A moins d’une semaine du déplacement à Paris, le temps commence à compter si le club phocéen a encore quelques ambitions sur la scène nationale.
Le SCO Angers… Promu en Ligue 1… Le vélodrome… Virages vides… Match médiocre et soporifique au possible et défaite ! 2-1 pour l’adversaire, et pour enfoncer un peu plus le clou l’OM a eu un pénalty généreux sinon le score était plus « propre » pour les visiteurs. Je crois que le tableau est vite dressé. C’est désolant. Encore un non match. Les notes ? Bon ok. Allons-y Alonzo !
Depuis le début de la saison, l’OM ne parvient pas à enchainer les bonnes prestations. L’équipe ne progresse pas, et au lendemain de la septième journée, ne compte que huit petits points et une onzième place. Il devient urgent de réagir et de remonter au classement. Cela commence dès dimanche avec la réception du SCO dans un stade vidé de ses virages, juste avant un déplacement périlleux en terre parisienne.
Menés au score contre le cours du jeu et réduits à dix après l’exclusion record de Benjamin Mendy, les Marseillais ont su trouver les ressources pour aller arracher le point du nul, bien aidés en cela par des Toulousains qui ont fini le match à neuf.
Une tribune vide devant les caméras. Des chants marseillais. Et Toulouse qui joue en contre. Non, ce n’était pas un match dans un Vél’ à moitié suspendu, mais un match au Stadium de Toulouse !
Au terme d’une rencontre électrique gâchée par les incidents dans les tribunes, obligeant même l’arbitre à arrêter le match, les deux Olympiques se séparent sur un score de parité.
Docteur Jekyll et M. Hyde, l’OM a affiché deux visages ce soir : apathiques en première mi-temps, il a fallu attendre l’expulsion d’Alessandrini pour que les dix joueurs restants se révoltent et lancent enfin leur match après vingt-cinq minutes d’interruption en raison de l’imbécillité de certains pseudo-supporters. Un match nul inespéré au vu de la physionomie de la première mi-temps.