
Jacques-Henri Eyraud l’avait annoncé d’emblée : il comptait pleinement profiter des cent jours de grâce initiale pour réformer le club à marche forcée. Il était donc inévitable de voir tous les observateurs de la planète football, rivalisant d’imagination et d’originalité, se précipiter dès le 101e jour pour dresser le bilan de son action et pointer les écarts entre effets d’annonce et actes effectifs.