
En ces temps difficiles pour nous supporteurs de l’Olympique de Marseille, il m’est apparu comme une évidence (toutes proportions gardées) de m’inspirer du début de la lettre d’Emile Zola adressée au président de la République de l’époque, Félix Faure, au sujet de l’affaire du capitaine Dreyfus (pour ceux ou celles qui ne viendraient de découvrir à l’instant tous ces noms, c’est ici). Evidemment, mon inspiration s’est arrêtée à l’idée et non à la forme, car loin de moi l’outrage et le talent nécessaire pour imiter du Zola que cela soit Emile ou même Gianfranco.