Décalage de genre ou d’époque, se faire voler en ligue 1 de nos jours est devenu glamour voire carrément fashion.
Décalage de genre ou d’époque, se faire voler en ligue 1 de nos jours est devenu glamour voire carrément fashion.
L’OM réussit des matchs exceptionnels face à l’OL, mais au score, c’est plutôt l’OM qui réussit bien à l’OL. Soirée frustrante avec en engagement revenu à son meilleur, mais des approximations techniques, un but injustement annulé et des regrets, des regrets, des regrets.
Après avoir évoqué les clubs et nos souvenirs d’anciens combattants, le dialogue continue sur le match.
Après des années de vaches plus ou moins maigres, les Olympiques se retrouvent. Match pour le titre si l’on veut y croire, ou pour la seconde place, si l’on se laisse impressionner par le Doha-St-Germain-vainqueur-de-Mourinho. Un avant-match aux petits oignons avec un dialogue entre Torben Frank, fan de l’OL, et Jester et fourcroy, supporteurs de l’OM.
Depuis le début de l’année 2015, les protégés de Marcelo Bielsa avaient commencé à inquiéter leur monde, à tel point que certains prédisaient déjà la fin et l’échec de la méthode « El loco ». Vendredi soir, cependant, on a enfin retrouvé le visage séduisant de l’OM qu’on a tellement aimé en début de saison. La réussite est de nouveau de notre côté !
Comme chaque semaine depuis toujours, l’OM est plus ou moins en crise avant de se déplacer à Toulouse. Les Olympiens sont pourtant face à une situation simple : la suite de leur saison dépend en grande partie de leur bon vouloir, ils le savent, et les semaines à venir nous diront s’ils s’en foutent.
Que dire après le spectacle offert hier soir ? Le match en lui même n’a pas été soporifique, ça non. Caen a joué, puis encore joué. Sans s’arrêter. Et tout cela au Vélodrome, se baladant parmi des marseillais qui n’ont fait illusion que quelques minutes au final. L’Olympique de Marseille, notre cher OM, menant au score 2-0 puis perdant 3-2 sur son terrain. C’est bel et bien une faute professionnelle. Des images de Bielsa dépité, le regard dans le vide au coup de sifflet final, limite en sanglots à la conférence de presse. De la confiture aux cochons. Rien de plus.